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560 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Fiers de diffuser leur expertise
Mise à jour
10 mai 2024
Information sur la quantité d'ascospores projetables à partir d'échantillons standardisés hivernés dans les vergers pilotes. Moyenne des ascopores forcées par cm2 pour les sites Date d'observation Compton Franklin Oka Rougemont Dunham St-Bruno St-Joseph Québec 2024-03-28 0,00 0,00 0,00 0,46 0,53 0,82
2024-04-05 2,88 2,11 13,22 2024-04-09 41,25 12,50 5,09 0,74 2,38 2024-04-12 14,46 16,95 5,16 24,07 9,43 0,00 0,67 0,00 2024-04-16 19,05 9,52 62,74 8,46 10,58 29,30 16,60 0,00 2024-04-19 193,50 127,24 201,92 21,76 871,21 188,72 163,48 0,00 2024-04-24 1230,15 1115,55 1334,15 570,51 1651,50 138,01 18,52 0,00 2024-04-26 178,61 150,25 364,05 103,16 0,46 2024-04-30 652,35 784,12 183,32 570,78 615,28 100,38 637,71 0,00 2024-05-03 152,69 4042,45 1839,82 436,44 298,56 3106,36 1,59 2024-05-07 1709,28 458,54 505,04 165,54 8,46 364,41 0,65 2024-05-10 1988,37 36,11 527,03 264,33 338,86 0,53 Niveau faible 0 à 100 Niveau moyen 100 à 1000 Niveau fort 1000 et plus (max de l'ordre 9000 enregistré) Ces niveaux d'éjection (faible, moyen, fort) sont en lien avec notre historique avec cette technique. Le nombre de spores éjectées dans chaque verger est différent, mais la courbe d'évolution des éjections peut aider à déterminer le début et la fin des éjections pour un site. En absence d'échantillon reçu au laboratoire, la case reste vide. Cumul des captures par date pour chaque site Moyenne des ascopores forcées par cm2 pour les sites Date d'observation
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26 avril 2024
Fiche synthèse et rapport final d'un projet exploratoire d'une durée de un an, réalisé en 2023 sur une entreprise de l'Estrie, portant sur la noctuelle fiancée, s'attaquant aux choux chinois en fin de saison. Ce projet a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation dans le cadre volet
2 du programme Prime-Vert (2018-2023).
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09 avril 2024
Conférence présentée dans le cadre du Webinaire sur les ravageurs du maïs sucré le 3 avril 2024. La présentation fait une rétrospective de la situation de la pyrale du maïs en tant que ravageur du maïs sucré. Mme Gagnon passe en revue les recherches récentes effectuées sur ce ravageur, en tentant notamment d’identifier
les raisons de son déclin. Enfin, elle aborde les perspectives concernant son avenir en tant que ravageur, en tenant particulièrement compte des changements climatiques. Une vidéo de la conférence est disponible. Le Webinaire est une initiative de l'IRDA en collaboration avec le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), Agriculture et Agroalimentaire Canada et Groupe PleineTerre. Ce projet est financé par l’entremise du Programme Innovation bioalimentaire 2023-2028, Volet 5 - Soutien au transfert de connaissances et à la diffusion, en vertu du Partenariat canadien pour une agriculture durable, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec.
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09 avril 2024
Conférence présentée dans le cadre du Webinaire sur les ravageurs du maïs sucré le 3 avril 2024. Les outils de suivi sont pertinents et à utiliser en complémentarité! Pour viser la réussite, il est important de comprendre les ravageurs et les stades où la culture est à risque! Par la suite, il est donc plus facile d’appliquer
les bons produits aux bons moments et ainsi réduire les applications à l’essentiel. Une vidéo de la conférence est disponible. Le Webinaire est une initiative de l'IRDA en collaboration avec le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), Agriculture et Agroalimentaire Canada et Groupe PleineTerre. Ce projet est financé par l’entremise du Programme Innovation bioalimentaire 2023-2028, Volet 5 - Soutien au transfert de connaissances et à la diffusion, en vertu du Partenariat canadien pour une agriculture durable, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec.
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09 avril 2024
Conférence présentée dans le cadre du Webinaire sur les ravageurs du maïs sucré le 3 avril 2024. Quelle est l’évolution des populations de ravageurs du maïs sucré depuis 15 ans et comment nos stratégies de gestion ont-elles évolué pour y répondre? Les conférenciers font une analyse du passé et des suggestions pour l'avenir.
Une vidéo de la conférence est disponible. Le Webinaire est une initiative de l'IRDA en collaboration avec le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ), Agriculture et Agroalimentaire Canada et Groupe PleineTerre. Ce projet est financé par l’entremise du Programme Innovation bioalimentaire 2023-2028, Volet 5 - Soutien au transfert de connaissances et à la diffusion, en vertu du Partenariat canadien pour une agriculture durable, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec.
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25 mars 2024
Rapport complet La performance de 5 méthodes de protection contre le gel des fruits a été évaluée dans un contexte de production de bleuets sauvages cultivés pour le marché frais, à Normandin, au Lac-Saint-Jean. Les méthodes qui ont été évaluées dans ce projet pilote sont : une machine à vent (Tow and
Blow 250H), des bâches de 19 et 38 g/m2 (Novagryl plus, Berry Agriculture), des brise-vent (pins matures), de l’irrigation par aspersion (LF2400LR, Rain Bird) et le maintien d’un statut hydrique du sol près de la capacité au champ. Autres publications sur ce projets : Un format « de poche » du rapport est également disponible : Voir synthèse du projet Un épisode du balado (EAU)trement dit porte exclusivement sur ce projet : Voir épisode "Bleuet gel" Présentation concise de huit minutes sur les faits saillants : Vidéo explicative
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14 mars 2024
Ceci est la fiche synthèse du projet : " Développement, dans les systèmes de culture conventionnelle en grandes cultures, de diverses stratégies de lutte contre l’amarante tuberculée en vue de réduire l’usage des herbicides ". L’objectif général du projet était d’évaluer l’efficacité des différentes méthodes de lutte contre
l’AMATU. Les objectifs spécifiques du projet étaient de : 1.1) Évaluer l’efficacité des différentes méthodes de lutte intégrée contre l’AMATU. 1.2) Réaliser une analyse économique des coûts des méthodes de lutte intégrée, incluant l’arrachage manuel, contre l’AMATU. 2.0) Évaluer différentes méthodes sécuritaires et efficaces de disposition des plantes d’AMATU suite à un arrachage manuel. 3.0) Évaluer l’efficacité de deux moyens de lutte thermique (pyrodésherbage et vapeur d’eau) pour le contrôle de l’AMATU. Le projet a été une collaboration entre le CÉROM, le MAPAQ, l'IRDA, la CSC, en partenariat avec GMABE (volet désherbage à la vapeur d’eau) et il a été financé par le ministère de l’agriculture, des pêcheries et de l’alimentation dans le cadre du volet 3 du programme prime vert et est lié à la stratégie phytosanitaire québécoise en agriculture 2011-2021.
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08 mars 2024
Ce projet de recherche visait à optimiser les pratiques de binage tardif pour la suppression efficace des mauvaises herbes tout en maximisant le rendement des cultures semées à rangs étroits. Il s'est déroulé à la Plateforme d'innovation en agriculture biologique de l'IRDA à Saint-Bruno-de-Montarville en 2019, 2021 et 2022,
avec les cultures de haricot vert, de petit pois et de soya. Les objectifs de l'étude étaient : 1) l’évaluation des outils et vitesse appropriés pour le binage tardif; 2) la détermination des stades optimaux des cultures pour le binage tardif; 3) l'évaluation de l'effet de l'utilisation de voies d'accès et de l'espacement entre les rangs sur le rendement des cultures; 4) l'évaluation de l'impact de l'ajout d'un système de guidage avec caméra combiné à la bineuse sur la vitesse et la précision du binage. Les résultats de l’objectif 1 indiquent que l'utilisation des socs plats à 4 ou 6 km/h, ainsi que des socs à pattes d'oie à 6 km/h, semble être la stratégie de désherbage la plus efficace pour le binage tardif dans les cultures à rangs étroits étudiées. Pour les stades optimaux de croissance, le petit pois pouvait être désherbé jusqu’au stade de 5-6 entrenoeuds, le soya jusqu’au stade de trois feuilles trifoliées et le haricot vert jusqu’au stade de deux feuilles trifoliées, sans dommages. Pour l’objectif 3, l’ajout de voies d’accès n’a pas eu d’effet sur les rendements dans le petit pois, cependant, les parcelles avec voies d'accès semblaient favoriser une plus grande présence de mauvaises herbes. Pour le haricot vert, un espacement plus étroit (19 cm) a entraîné un rendement supérieur par rapport à un espacement plus large (76 cm), malgré que les espacements plus large (38 et 76 cm) facilitaient le contrôle des mauvaises herbes. Pour le soya, les rendements étaient généralement plus élevés avec un espacement de rang plus étroit (19 cm) sans binage tardif, tandis que le binage tardif avait tendance à réduire les rendements. Mais contrairement au haricot,
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16 février 2024
Le cas du maïs sucré – En 2016, le ver-gris occidental du haricot (VGOH), Striacosta albicosta, a fait son apparition dans les champs de maïs sucré au Québec, tandis que la pyrale du maïs (PM), Ostrinia nubilalis, exerce une pression moindre depuis plusieurs années. Cette situation soulève des questions concernant l’évolution
des populations de lépidoptères ravageurs du maïs sucré et suscite la nécessité d’adapter les stratégies d’intervention. Pour répondre à ces questionnements, l’IRDA a mis sur pieds en 2020 le projet : « Dynamique des populations des ravageurs lépidoptères du maïs sucré et recommandations d’adaptations des stratégies de lutte ».
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30 janvier 2024
Dans le cadre de son projet Portrait du compostage à la ferme des résidus végétaux générés par les entreprises maraîchères québécoises : fermes type, suivis et défis, l’IRDA a développé des outils pour aider les producteurs maraîchers et les agronomes à élaborer des stratégies de gestion des résidus végétaux par le compostage.
À propos du projet Bien que le compostage soit un mode de gestion connu depuis de nombreuses années, son application sur les fermes est encore aujourd’hui marginale. Le présent projet visait entre autres à comprendre pourquoi, en dépit des avantages qu’il procure, le compostage ne parvient pas à s’implanter de façon pérenne sur les exploitations agricoles maraîchères québécoises. Pour tenter d’y répondre, des consultations et rencontres ont été faites auprès de certains producteurs maraîchers et entreprises maraîchères situées dans diverses régions du Québec afin d’identifier notamment les freins et les leviers concernant les activités de compostage à la ferme. Malgré les différents défis identifiés, il s’avère que le compostage suscite toujours de l’intérêt comme technique de gestion des RV et de production de compost?; de nombreuses questions tant sur les avantages et les techniques du compostage à la ferme que sur les caractéristiques du compost et les avantages liés à son emploi comme amendement de sol. Ce projet a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation dans le cadre du programme Prime-Vert. Les outils pour les producteurs agricoles maraîchers et les agronomes 1. Aide-mémoire pour les conseillers Cet outil vise à rappeler les différents éléments à considérer avant de commencer à composter ou encore pour effectuer un suivi du compostage ou valoriser le compost produit. 2. Fiche synthèse du projet 3. Cadre règlementaire applicable au compostage de résidus végétaux à la ferme Au Québec, les activités de compostage et d’utilisation de compost à la ferme sont encadrées par certaines lois, des règlements,
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