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737 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Mise à jour
30 avril 2024
Information sur la quantité d'ascospores projetables à partir d'échantillons standardisés hivernés dans les vergers pilotes. Moyenne des ascopores forcées par cm2 pour les sites Date d'observation Compton Franklin Oka Rougemont Dunham St-Bruno St-Joseph Québec 2024-03-28 0,00 0,00 0,00 0,46 0,53 0,82
2024-04-05 2,88 2,11 13,22 2024-04-09 41,25 12,50 5,09 0,74 2,38 2024-04-12 14,46 16,95 5,16 24,07 9,43 0,00 0,67 0,00 2024-04-16 19,05 9,52 62,74 8,46 10,58 29,30 16,60 0,00 2024-04-19 193,50 127,24 201,92 21,76 871,21 188,72 163,48 0,00 2024-04-24 1230,15 1115,55 1334,15 570,51 1651,50 138,01 18,52 0,00 2024-04-26 178,61 150,25 364,05 103,16 0,46 2024-04-30 652,35 784,12 183,32 570,78 615,28 100,38 637,71 0,00 Niveau faible 0 à 100 Niveau moyen 100 à 1000 Niveau fort 1000 et plus (max de l'ordre 9000 enregistré) Ces niveaux d'éjection (faible, moyen, fort) sont en lien avec notre historique avec cette technique. Le nombre de spores éjectées dans chaque verger est différent, mais la courbe d'évolution des éjections peut aider à déterminer le début et la fin des éjections pour un site. En absence d'échantillon reçu au laboratoire, la case reste vide. Cumul des captures par date pour chaque site Moyenne des ascopores forcées par cm2 pour les sites Date d'observation Compton Franklin Oka Rougemont Dunham St-Bruno St-Joseph Québec 2024-03-28 0,00 0,00 0,00 0,46 0,53 0,82 2024-04-05 0,00 2,88 0,00 2,11 13,68 0,53 0,82 2024-04-09 41,25 2,88
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Nouveau
22 avril 2024
Phytophthora abietivora est un organisme qui cause des pourritures racinaires chez le sapin. Une fois établi dans une parcelle, il peut y causer des dommages durant des décennies. Pour plus d’information sur les symptômes et la propagation de cet organisme, consultez cette fiche d’information.
27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se
rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque. La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial.
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27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se
rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque. La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial.
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26 mars 2024
Des pommes de terres galées (présentant des symptômes de la gale commune) ont été obtenus de 24 producteurs (36 champs distincts) localisés dans 8 régions administratives du Québec. Les Streptomyces spp. responsables de symptômes de la gale commune ont été isolés en cultures pures à partir de ces pommes de terre, permettant
d'obtenir une représentativité de la diversité des Streptomyces spp. causant la gale commune à l'échelle provinciale... Consultez le Rapport final joint. Ce projet a été cofinancé par le Programme de recherche du Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec (CRPTQ), étant financé par les Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ).
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