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12 avril 2023
Le scarabée japonais (Popillia japonica) est un ravageur polyphage en augmentation dans la culture de la vigne au Québec. Les adultes, qui ont un mode de vie grégaire, consomment les feuilles, les fleurs et les fruits causant des dommages importants à la culture. Il est documenté que la présence de bandes florales de types plantes pièges offre un environnement plus alléchant pour les prédateurs phytophages. De plus, l’ingestion de fleurs des géraniums des jardins (Pelargonium x hortorum) permet de paralyser les scarabées japonais qui tombent au sol et meurent de déshydratation. D’autre part, la mouche parasitoïde Istocheta aldrichi, un insecte parasite du scarabée, est attirée par des plantes pour se nourrir.  Afin de favoriser le contrôle biologique du scarabée japonais dans la culture de la vigne, des bandes florales ont été aménagées chez deux vignerons de Lanaudière pour évaluer leur efficacité à contrôler les populations de ce ravageur. Le projet visait à évaluer, sur une période de 3 ans, l’impact de l’utilisation des bandes florales : 1) de type « attractive » pour attirer les parasitoïdes, notamment la mouche I. aldrichi; 2) de type « piège » pour tenir les scarabées japonais à distance de la vigne. Après deux années de travaux, il n’est pas possible d’évaluer l’impact des aménagements floraux sur la pression du scarabée japonais et de son parasitoïde. Nos observations ont démontré que la bande florale n’a pas eu d’impact sur ces insectes puisque la pression était soit trop faible (pas de défoliation ni de dommage au niveau du fruit), soit trop élevée (défoliation complète menant à l’absence de fruit dans la vigne). De plus, il n’a pas été non plus possible d’y observer, ni de capturer le parasitoïde sur les sites d’essai, bien que celui-ci était bien présent (présence d’œufs et mortalité liée au parasitoïde I. aldrichi chez les scarabées japonais). Il s’avère également que la gestion des mauvaises herbes est un défi de taille dans l’entretien des bandes Lire la suite
11 avril 2023
Le scarabée japonais (Popillia japonica) est un ravageur polyphage en augmentation dans la culture de la vigne au Québec. Les adultes, qui ont un mode de vie grégaire, consomment les feuilles, les fleurs et les fruits causant des dommages importants à la culture. Il est documenté que la présence de bandes florales de types plantes pièges offre un environnement plus alléchant pour les prédateurs phytophages. De plus, l’ingestion de fleurs des géraniums des jardins (Pelargonium x hortorum) permet de paralyser les scarabées japonais qui tombent au sol et meurent de déshydratation. D’autre part, la mouche parasitoïde Istocheta aldrichi, un insecte parasite du scarabée, est attirée par des plantes pour se nourrir.  Afin de favoriser le contrôle biologique du scarabée japonais dans la culture de la vigne, des bandes florales ont été aménagées chez deux vignerons de Lanaudière pour évaluer leur efficacité à contrôler les populations de ce ravageur. Le projet visait à évaluer, sur une période de 3 ans, l’impact de l’utilisation des bandes florales : 1) de type « attractive » pour attirer les parasitoïdes, notamment la mouche I. aldrichi; 2) de type « piège » pour tenir les scarabées japonais à distance de la vigne. Après deux années de travaux, il n’est pas possible d’évaluer l’impact des aménagements floraux sur la pression du scarabée japonais et de son parasitoïde. Nos observations ont démontré que la bande florale n’a pas eu d’impact sur ces insectes puisque la pression était soit trop faible (pas de défoliation ni de dommage au niveau du fruit), soit trop élevée (défoliation complète menant à l’absence de fruit dans la vigne). De plus, il n’a pas été non plus possible d’y observer, ni de capturer le parasitoïde sur les sites d’essai, bien que celui-ci était bien présent (présence d’œufs et mortalité liée au parasitoïde I. aldrichi chez les scarabées japonais). Il s’avère également que la gestion des mauvaises herbes est un défi de taille dans l’entretien des bandes Lire la suite
01 avril 2021
Le chiffrier est un outil de simulation de coûts de 7 modèles de bande riveraine (selon le guide « À chacun sa bande »), et de réalisation de devis d'aménagements personnalisés. Il permet de comparer les gains et pertes des aménagements par rapport au maintien en culture de la surface. Ainsi, il permet de prévoir les coûts à la charge des producteur(trices) sur une période de 5 ans grâce au montage financier intégrant les subventions applicables. L'outil vise donc deux types d'utilisateur(trice)s, soit; dans un premier cas, les acteur(trice)s du milieu : il(elle)s pourront effectuer des simulations globales de projets types et utiliser les résultats à titre indicatif pour comparer les gains et pertes liés à l'aménagement d'une bande riveraine par rapport au maintien en culture de la surface. À l’aide des 7 modèles pré-établis, il est possible de simuler les coûts sur 5 ans d'un projet d’aménagement cohérent et réaliste rapidement et sans pré-requis technico-économiques spécifiques. Dans le deuxième cas, il peut servir aux producteur(trice)s agricoles et conseiller(ère)s: ils(elles) pourront réaliser des devis détaillés pour la réalisation d'aménagements individuels, en ayant accès à un vaste choix de fournitures, configurations, pratiques de plantation et d'entretien. Avertissement: L'utilisateur doit avoir une version d'Excel 2010 ou plus récente pour s'assurer du bon fonctionnement du chiffrier. La première étape pour démarrer le logiciel est de cliquer sur le nombre d'aménagements que l'on veut planifier dans le premier onglet, en cliquant en haut à droite sur un des chiffres en vert. Ensuite il vous faut choisir un modèle (soit selon les 7 présentés ou personnalisé) en cliquant sur la case Choisissez votre modèle en vous référant à l’onglet BandesRiverainesModèles, et ensuite vous aurez accès aux autres cases. Pour plus de questions, vous pouvez contacter Catherine Mercier du Groupe ProConseils au courriel catherine.mercier@groupeproconseil.com ou Lire la suite
17 avril 2020
Cet essai consiste en une enquête qualitative retraçant les parcours de cinq aliments de base à partir d'un panier d'épicerie typique et abordable, sélectionné par l'équipe du projet REPSAQ. Ces parcours d'aliments commencent auprès de quinze des détaillants alimentaires les plus visités de la région. Ceux-ci ont été identifiés à travers l'enquête régionale sur les habitudes des ménages "Demain Québec " (2011), révélant les habitudes de déplacement des citoyens pour faire leur épicerie.  Le projet de recherche « Vers une alimentation territorialisée et durable : une recherche participative pour comprendre le système alimentaire de Québec » (REPSAQ) repose sur un partenariat entre une équipe interdisciplinaire de recherche de l’Université Laval et quatorze organismes gouvernementaux et non gouvernementaux des régions de la CapitaleNationale (CN) et de la Chaudière-Appalaches (CA). Le projet a bénéficié d’une subvention du Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (2016-2019). Pour toutes les informations et la documentation issue du projet, consultez le site http://www.systemealimentairequebec.info/. Lire la suite
Trousse à outils pour la remise en culture des terres agricoles dévalorisées au Bas-Saint-Laurent
08 novembre 2016
Les terres agricoles dévalorisées : un potentiel de développement ! La valorisation des terres agricoles abandonnées représente un enjeu de taille pour plusieurs intervenants régionaux et ce, depuis plusieurs années. La Planification stratégique du secteur bioalimentaire bas-laurentien 2013-2018, qui résulte d'échanges et de consultations des membres de la Table de concertation bioalimentaire du Bas-Saint-Laurent (TCBBSL) et des partenaires de la filière agroalimentaire bas-laurentienne, identifie différents moyens qui mèneront à l'utilisation des terres agricoles dévalorisées. Dans ce contexte, la Direction régionale du MAPAQ au Bas-Saint-Laurent a été identifiée comme porteur, en collaboration avec différents partenaires, dans la mise en œuvre de deux objectifs du plan stratégique, visant à remettre en culture les TAD et à favoriser le développement des productions traditionnelles et émergentes pour lesquelles la région bénéficie d'un avantage comparatif générateur de développement. La trousse contient 21 fiches d'information réparties en trois catégories: les productions émergentes de grandes cultures, les productions horticoles et les productions animales. De plus, trois fiches synthèses résument l'Étude sur la santé des sols agricoles et l'Inventaire et caractérisation des TAD du Bas Saint-Laurent et Info-sols. Lire la suite
09 mai 2016
Les empoisonnements d’abeilles par la dérive des pesticides vers les ruches sont faciles à éviter. Une étude des distances à respecter dans la canneberge sera présentée.  Résumé et présentation PowerPoint de la conférence présentée lors du Colloque Apiculture «Pollinisons l'avenir» du 27 février 2016.  Une initiative du Comité Apiculture du CRAAQ.  Lire la suite
07 novembre 2011
La culture de la canneberge est peu connue du grand public et plusieurs sont préoccupés par le développement durable du secteur. Pour répondre aux interrogations des différents acteurs du milieu, la Direction régionale du Centre-du-Québec du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec (MAPAQ) a vu la nécessité d’établir un portrait sectoriel de la canneberge. Ce dernier a pour principal objectif de diffuser de l’information sur le secteur, autant sur le plan régional que provincial, et de positionner l’industrie de la canneberge du Centre-du-Québec sur les marchés en démontrant ses possibilités, les occasions d’affaires et les enjeux de son développement. Lire la suite
13 août 2009
Malgré l’essor de la production de canneberges au Centre-du-Québec et les efforts mis en place par les entreprises du secteur afin de respecter l’environnement, cette culture demeure méconnue et très controversée. C’est pourquoi le présent essai a pour objectif de déterminer si le modèle de production de la région respecte les objectifs de développement durable. Suite à l’analyse des différents impacts sociaux, environnementaux et économiques engendrés par la culture de la canneberge, il a été conclu que cette production respecte la majorité de ces objectifs et du même coup, le concept de développement durable. Lire la suite
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