L’avenir de la production porcine québécoise à la merci de la main-d’oeuvre étrangère
La charge relative à la main-d’oeuvre représente une proportion importante du coût de production du porc. De plus, le secteur porcin fait actuellement face à une pénurie de main-d’oeuvre qui devrait s’intensifier d’ici 2025 selon une étude du Conseil canadien pour les ressources humaines en agriculture (CCRHA)1. Alors que le secteur devra
hausser les embauches pour atteindre ses objectifs de production dans les prochaines années, le bassin de main-d’oeuvre canadienne se resserre et le nombre d’emplois risquant de demeurer vacants pourrait s’élever à 123 000 d’ici 2029. Cela pourrait freiner la capacité de l’industrie à répondre à la demande du marché international pour
ses produits.
hausser les embauches pour atteindre ses objectifs de production dans les prochaines années, le bassin de main-d’oeuvre canadienne se resserre et le nombre d’emplois risquant de demeurer vacants pourrait s’élever à 123 000 d’ici 2029. Cela pourrait freiner la capacité de l’industrie à répondre à la demande du marché international pour
ses produits.