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04 mars 2024
Les informations contenues dans cet article ont été tirées et adaptées du matériel de formation créé dans le cadre du projet « Formation sur l’adaptation aux changements climatiques et la réduction des GES en production porcine ». Pour en connaître davantage, visitez le site Web du CDPQ au www.cdpq.ca, section Projets. Lire la suite
28 novembre 2023
Le méthane produit par les bovins représente le talon d’Achille de la filière. Lors de cette conférence, nous verrons pourquoi les bovins produisent du méthane, quels sont les impacts par rapport aux autres GES et comment en réduire les émissions grâce à certains additifs, mais surtout grâce à une agriculture basée sur des sols en santé. Présentation PowerPoint (PDF) de la conférence présentée lors du Congrès Boeuf le 7 octobre 2022.  Une initiative du Comité bovins de boucherie du CRAAQ. Lire la suite
Savoir transformer les résidus d’élevage en produits à valeur économique et écologique
08 avril 2022
Des scientifiques poussent plus loin la vaste expérience du Centre de recherche et de développement de Sherbrooke en valorisation des fumiers et des lisiers grâce à la Plateforme de recherche technologique sur les effluents d'élevage. Leur principal objectif : créer les meilleurs procédés possibles, parfaitement adaptés aux besoins d'une ferme laitière ou porcine de taille moyenne, pour convertir les fumiers, les lisiers et autres résidus agricoles en bioénergie et en bioproduits (sous-produits) de grande valeur économique.  (For the English version : How to transform livestock waste into products of economic and ecological value) Lire la suite
Les rotations de cultures diversifiées permettent d’augmenter les rendements, d’améliorer la santé des sols et de réduire les émissions de gaz à effet de serre
08 décembre 2021
Des cultures très importantes, dont le maïs, sont sensibles aux phénomènes météorologiques extrêmes comme les sécheresses prolongées, et ces phénomènes se produiront probablement plus souvent dans l’avenir. C’est pourquoi des chercheurs d’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) se sont rendus dans les champs pour étudier comment diverses rotations de cultures peuvent aider le maïs à répondre à des conditions météorologiques extrêmes tout en améliorant la santé du sol pour la production future. An English version is also available: Diverse crop rotations shown to increase yields, improve soil health and lower GHGs) Lire la suite
18 août 2021
Ce rapport d'étape présente les résultats de quantification des émissions des gaz à effet de serre (GES) de 21 entrepises agricoles en production laitière, bovin de boucherie et ovine situées dans la région du Bas-Saint-Laurent.
04 mai 2021
Dans quelle mesure la production laitière contribue-t-elle au changement climatique anthropique? Comment les producteurs peuvent-ils déterminer leur impact individuel et comment peuvent-ils continuer à réduire les émissions? Collaboration de Sylvestre Delmotte et Guillaume Jego. Cette conférence est également displonible en vidéo. Présentation PowerPoint (en format PDF) de la conférence présentée lors du Symposium sur les bovins laitiers du 3 et 4 novembre 2020.  Une initiative du Comité bovins laitiers du CRAAQ. Lire la suite
Le Laboratoire vivant - Québec, exemple inspirant de collaboration gagnante
16 mars 2021
Suite à des rencontres scientifiques internationales dans le cadre du G20, l’Initiative des laboratoires vivants d’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) a pris naissance. Le Laboratoire vivant – Québec a récemment commencé ses activités dans la région du lac Saint-Pierre. L’Union des producteurs agricoles du Québec joue un rôle de leader du consortium régional. Dans un laboratoire vivant, l’approche de travail se base sur une collaboration étroite et directe entre les agriculteurs et les scientifiques, soutenus par l’expertise d’autres partenaires de la communauté locale. Ces liens rapprochés entre la science et la réalité des producteurs et de leur communauté favoriseront l’adoption rapide de bonnes pratiques et de technologies agricoles bénéfiques, que ce soit pour les sols, l’eau, l’air et la biodiversité dans les zones agricoles, ou comme mesures d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques. (The English version of this article is also available on AAFC website: Living Lab - Quebec, an inspiring example of winning collaboration) Lire la suite
Mesures de GES selon quatre itinéraires de transition en grandes cultures biologiques afin d’évaluer leur potentiel de réduction d’émissions (fiche synthèse)
19 novembre 2020
Ce projet visait à documenter et comparer quatre itinéraires agronomiques de transition en grandes cultures en mode biologique en regard des émissions de GES (CH4, CO2 et N2O) et de la dynamique de l’azote dans le cadre d’un dispositif expérimental en parcelles avec quatre répétitions mis en place en 2017 sur la ferme expérimentale du CETAB+ à Victoriaville. Des cadres pour le captage des GES ont été incorporés dans le sol dans un inter-rang de chacune des 16 parcelles de ce dispositif en 2018 (maïs-grain) et 2019 (soya) et les GES ont été captés périodiquement à l’aide d’une chambre-couvert, d’une seringue et de tubes sous vide. Les GES ont été quantifiés avec un chromatographe pour les gaz. Cela a permis d’établir les quantités de GES émises ou captées par les sols selon les traitements. Des différences significatives d’émissions selon les itinéraires ont été mesurées. L’implantation d’un engrais vert de trèfle rouge en 2017 dans les parcelles de trois des quatre itinéraires alors cultivées en orge a permis de démontrer que c’est celui sans apport de fumier qui s’est avéré émettre le moins de GES et d’obtenir la plus grande marge économique positive. Selon les résultats obtenus, l’implantation d’un engrais vert performant dans une céréale sans apport subséquent de fumier s’avère le meilleur itinéraire agroéconomique et environnemental dans le cadre d’une transition en grandes cultures biologiques utilisant une rotation annuelle céréale, maïs-grain et soya alors que l’incorporation de fumier avec un labour au printemps lors de l’année en maïs-grain a été l’itinéraire émettant le plus de N2O. L’analyse économique a permis d’extrapoler les réductions d’émission de N2O mesurées aux échelles de la ferme et du secteur des grandes cultures (mode biologique et mode conventionnel devenant biologique) ainsi que d’aborder la perspective de la mise en place d’un marché du carbone associé. Lire la suite
Mesures de GES selon quatre itinéraires de transition en grandes cultures biologiques afin d’évaluer leur potentiel de réduction d’émissions (rapport final)
19 novembre 2020
Ce projet visait à documenter et comparer quatre itinéraires agronomiques de transition en grandes cultures en mode biologique en regard des émissions de GES (CH4, CO2 et N2O) et de la dynamique de l’azote dans le cadre d’un dispositif expérimental en parcelles avec quatre répétitions mis en place en 2017 sur la ferme expérimentale du CETAB+ à Victoriaville. Des cadres pour le captage des GES ont été incorporés dans le sol dans un inter-rang de chacune des 16 parcelles de ce dispositif en 2018 (maïs-grain) et 2019 (soya) et les GES ont été captés périodiquement à l’aide d’une chambre-couvert, d’une seringue et de tubes sous vide. Les GES ont été quantifiés avec un chromatographe pour les gaz. Cela a permis d’établir les quantités de GES émises ou captées par les sols selon les traitements. Des différences significatives d’émissions selon les itinéraires ont été mesurées. L’implantation d’un engrais vert de trèfle rouge en 2017 dans les parcelles de trois des quatre itinéraires alors cultivées en orge a permis de démontrer que c’est celui sans apport de fumier qui s’est avéré émettre le moins de GES et d’obtenir la plus grande marge économique positive. Selon les résultats obtenus, l’implantation d’un engrais vert performant dans une céréale sans apport subséquent de fumier s’avère le meilleur itinéraire agroéconomique et environnemental dans le cadre d’une transition en grandes cultures biologiques utilisant une rotation annuelle céréale, maïs-grain et soya alors que l’incorporation de fumier avec un labour au printemps lors de l’année en maïs-grain a été l’itinéraire émettant le plus de N2O. L’analyse économique a permis d’extrapoler les réductions d’émission de N2O mesurées aux échelles de la ferme et du secteur des grandes cultures (mode biologique et mode conventionnel devenant biologique) ainsi que d’aborder la perspective de la mise en place d’un marché du carbone associé. Lire la suite
03 juillet 2020
La production du veau d’embouche est responsable de 80% des émissions de gaz à effet de serre (GES) dans la chaîne de production de viande bovine. Or, les pâturages pourraient atténuer ces émissions grâce à leur potentiel de stockage du carbone (C). Mais pour ce faire, ils doivent être productifs le plus longtemps possible durant la saison. Ceci peut être réalisé avec des mélanges fourragers complexes, mais la régie de paissance de ces mélanges est peu étudiée. Voici le lien du rapport final. Lire la suite
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