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171 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
04 mars 2024
Les informations contenues dans cet article ont été tirées et adaptées du matériel de formation créé dans le cadre du projet « Formation sur l’adaptation aux changements climatiques et la réduction des GES en production porcine ». Pour en connaître davantage, visitez le site Web du CDPQ au www.cdpq.ca, section
Projets.
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05 décembre 2023
La baisse de la teneur en protéine des aliments permet de réduire l’excrétion et les émissions azotées des porcs contribuant ainsi à réduire l’impact environnemental des élevages porcins. La mise à disposition de nouveaux acides aminés de synthèse (ex. Leucine, Isoleucine, Histidine) pour formuler les aliments
permet de baisser la protéine à des niveaux peu explorés et dont les effets sur les performances sont peu connus. Cet essai avait donc pour objectif d’évaluer les effets d’une baisse importante de protéine permise par l’ajout, entre autres, d’isoleucine et d’histidine sur les performances des animaux, les émissions gazeuses au bâtiment et sur la composition du lisier.
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16 novembre 2023
Illustré de photos et de schémas originaux, le document synthèse L’agroforesterie au bénéfice des sols et des cultures – Un atout face aux changements climatiques résume de nombreux résultats de projets de recherche menés sur les effets des systèmes agroforestiers, plus précisément au niveau des sols,
et leur application en contexte québécois. Cette synthèse de connaissances est accompagnée de trois vidéos tournées sur des entreprises agricoles québécoises. Préparés à l’intention des conseillers et conseillères, ainsi que des producteurs et productrices agricoles, ce document et ces vidéos démontrent les gains qui peuvent être obtenus au niveau de la parcelle suite à l’implantation de tels systèmes agroforestiers. Les systèmes agroforestiers peuvent apporter de nombreux bénéfices aux entreprises agricoles, face aux changements climatiques : à la fois pour s'adapter aux aléas et aux risques qui découlent de ces derniers, pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et pour séquestrer du carbone. Ces aménagements, sous forme de haies, de plantation intraparcellaire ou de bandes riveraines par exemple, apportent des effets concrets sur l'amélioration de la santé du sol et de la gestion de l'eau pour la ferme.. Les capsules vidéos qui accompagnent le guide sont accessibles au lecteur via son compte CRAAQ sur le site www.craaq.qc.ca. Version numérique
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08 avril 2022
Des scientifiques poussent plus loin la vaste expérience du Centre de recherche et de développement de Sherbrooke en valorisation des fumiers et des lisiers grâce à la Plateforme de recherche technologique sur les effluents d'élevage. Leur principal objectif : créer les meilleurs procédés possibles, parfaitement
adaptés aux besoins d'une ferme laitière ou porcine de taille moyenne, pour convertir les fumiers, les lisiers et autres résidus agricoles en bioénergie et en bioproduits (sous-produits) de grande valeur économique. (For the English version : How to transform livestock waste into products of economic and ecological value)
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06 avril 2022
L'agriculture joue un rôle essentiel dans l'atténuation des changements climatiques, alors que ce secteur contribue à la hauteur de 9% aux émissions anthropiques canadiennes de gaz à effet de serre (GES). Or, depuis 2005, le secteur agricole peine à réduire ses émissions de GES (1,4%) alors que d’autres secteurs, dont ceux
de la production d’énergie, ont réduit de 6 à 12% leurs émissions. Pourtant, certaines mesures d'atténuation au niveau des exploitations agricoles se sont révélées efficaces et les nouvelles connaissances scientifiques acquises en ce domaine continuent à accroître leurs potentiels. Néanmoins, une estimation des retombées économiques liées à l’adoption de mesures de réduction des GES est essentielle pour une bonne gestion des entreprises agricoles et la pérennité de ces mesures. Ainsi, cette présentation porte sur les retombées économiques et environnementales d'adoption de pratiques régénératrices pour la réduction de GES de fermes laitières. Une brève description des principales sources de GES agricoles sera présentée suivi de trois pratiques régénératrices (optimisation du troupeau, gestion du lisier et cultures de couverture) applicables dans une stratégie globale de réduction de GES à l’échelle d’une ferme laitière.
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08 décembre 2021
Des cultures très importantes, dont le maïs, sont sensibles aux phénomènes météorologiques extrêmes comme les sécheresses prolongées, et ces phénomènes se produiront probablement plus souvent dans l’avenir. C’est pourquoi des chercheurs d’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) se sont rendus dans les champs pour
étudier comment diverses rotations de cultures peuvent aider le maïs à répondre à des conditions météorologiques extrêmes tout en améliorant la santé du sol pour la production future. An English version is also available: Diverse crop rotations shown to increase yields, improve soil health and lower GHGs)
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04 mai 2021
Dans quelle mesure la production laitière contribue-t-elle au changement climatique anthropique? Comment les producteurs peuvent-ils déterminer leur impact individuel et comment peuvent-ils continuer à réduire les émissions? Collaboration de Sylvestre Delmotte et Guillaume Jego. Cette conférence est également displonible
en vidéo. Présentation PowerPoint (en format PDF) de la conférence présentée lors du Symposium sur les bovins laitiers du 3 et 4 novembre 2020. Une initiative du Comité bovins laitiers du CRAAQ.
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19 novembre 2020
Ce projet visait à documenter et comparer quatre itinéraires agronomiques de transition en grandes cultures en mode biologique en regard des émissions de GES (CH4, CO2 et N2O) et de la dynamique de l’azote dans le cadre d’un dispositif expérimental en parcelles avec quatre répétitions mis en place en 2017 sur la ferme expérimentale
du CETAB+ à Victoriaville. Des cadres pour le captage des GES ont été incorporés dans le sol dans un inter-rang de chacune des 16 parcelles de ce dispositif en 2018 (maïs-grain) et 2019 (soya) et les GES ont été captés périodiquement à l’aide d’une chambre-couvert, d’une seringue et de tubes sous vide. Les GES ont été quantifiés avec un chromatographe pour les gaz. Cela a permis d’établir les quantités de GES émises ou captées par les sols selon les traitements. Des différences significatives d’émissions selon les itinéraires ont été mesurées. L’implantation d’un engrais vert de trèfle rouge en 2017 dans les parcelles de trois des quatre itinéraires alors cultivées en orge a permis de démontrer que c’est celui sans apport de fumier qui s’est avéré émettre le moins de GES et d’obtenir la plus grande marge économique positive. Selon les résultats obtenus, l’implantation d’un engrais vert performant dans une céréale sans apport subséquent de fumier s’avère le meilleur itinéraire agroéconomique et environnemental dans le cadre d’une transition en grandes cultures biologiques utilisant une rotation annuelle céréale, maïs-grain et soya alors que l’incorporation de fumier avec un labour au printemps lors de l’année en maïs-grain a été l’itinéraire émettant le plus de N2O. L’analyse économique a permis d’extrapoler les réductions d’émission de N2O mesurées aux échelles de la ferme et du secteur des grandes cultures (mode biologique et mode conventionnel devenant biologique) ainsi que d’aborder la perspective de la mise en place d’un marché du carbone associé.
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19 novembre 2020
Ce projet visait à documenter et comparer quatre itinéraires agronomiques de transition en grandes cultures en mode biologique en regard des émissions de GES (CH4, CO2 et N2O) et de la dynamique de l’azote dans le cadre d’un dispositif expérimental en parcelles avec quatre répétitions mis en place en 2017 sur la ferme expérimentale
du CETAB+ à Victoriaville. Des cadres pour le captage des GES ont été incorporés dans le sol dans un inter-rang de chacune des 16 parcelles de ce dispositif en 2018 (maïs-grain) et 2019 (soya) et les GES ont été captés périodiquement à l’aide d’une chambre-couvert, d’une seringue et de tubes sous vide. Les GES ont été quantifiés avec un chromatographe pour les gaz. Cela a permis d’établir les quantités de GES émises ou captées par les sols selon les traitements. Des différences significatives d’émissions selon les itinéraires ont été mesurées. L’implantation d’un engrais vert de trèfle rouge en 2017 dans les parcelles de trois des quatre itinéraires alors cultivées en orge a permis de démontrer que c’est celui sans apport de fumier qui s’est avéré émettre le moins de GES et d’obtenir la plus grande marge économique positive. Selon les résultats obtenus, l’implantation d’un engrais vert performant dans une céréale sans apport subséquent de fumier s’avère le meilleur itinéraire agroéconomique et environnemental dans le cadre d’une transition en grandes cultures biologiques utilisant une rotation annuelle céréale, maïs-grain et soya alors que l’incorporation de fumier avec un labour au printemps lors de l’année en maïs-grain a été l’itinéraire émettant le plus de N2O. L’analyse économique a permis d’extrapoler les réductions d’émission de N2O mesurées aux échelles de la ferme et du secteur des grandes cultures (mode biologique et mode conventionnel devenant biologique) ainsi que d’aborder la perspective de la mise en place d’un marché du carbone associé.
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