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Nouveau
27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se
rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque. La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial.
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27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se
rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque. La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial.
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14 juin 2023
Le doryphore de la pomme de terre (Leptinotarsa decembilineata) est le ravageur le plus important de la culture de la pomme de terre au Québec. La lutte contre cet insecte est basée principalement sur l’utilisation d’insecticides chimiques. La majorité des producteurs utilisent un insecticide systémique (plantons ou sillon)
à la plantation pour éventuellement faire une ou deux applications foliaires supplémentaires plus tard au courant de la saison. Cette stratégie de lutte, même si elle est très efficace, représente un risque pour l’environnement, car les produits utilisés, en particulier à la plantation, sont lessivables. Ils sont d’ailleurs pointés du doigt comme étant une cause importante de contamination des eaux souterraines et de surface. Cette problématique est devenue un enjeu majeur dans les principales zones de production de la province. Dans ce contexte, nous souhaitions développer et démontrer l’efficacité de plusieurs stratégies de lutte à risque réduit contre le doryphore en production conventionnelle de pomme de terre. Ces stratégies étaient basées sur des traitements foliaires et visaient à remplacer les traitements systémiques dans le sillon/planton à la plantation. L’impact sur le plan environnement et de la santé de chacune des stratégies a été calculé en fonction des IRS et IRE de chacun des produits et des stratégies utilisées. Ce document constitue la fiche synthèse du projet. Pour consultez le rapport complet, communiquez avec l'équipe du CIEL : [email protected]
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15 mars 2023
La brûlure hâtive (Alternaria solani et alternata) est une maladie largement répandue et qui peut causer des pertes importantes de rendement dans la pomme de terre. Pour la contrôler, les producteurs utilisent en moyenne huit à dix applications fongicides par saison. Même si la gestion des produits varie d'une ferme à l'autre,
les produits à base de chlorothalonile et de mancozèbe sont encore largement utilisés, principalement en raison de leur faible coût. Or, ces produits sont très toxiques et présentent des indices de risque sur la santé (IRS) élevés. Ce projet souhaitait tester trois stratégies de lutte intégrée : (1) une alternance de bio-fongicides avec des produits chimiques pénétrants (systémiques, translaminaires) présentant un profil environnemental et sur la santé favorable (IRS et IRE faibles); (2) l’utilisation unique de produits chimiques pénétrants à moindre risques; et (3) l’usage unique de produits de contact (mauvais profil sur la santé). Ces stratégies ont été testées en débutant les applications à un stade précoce de la culture (20 cm de hauteur) et au moment de la fermeture des rangs. Peu importe le cultivar (Envol, Goldrush, Red Maria et Russet Burbank), l’utilisation de fongicides pénétrants a procuré la meilleure protection du feuillage. L'introduction des fongicides biologiques dans la rotation de produits a assuré également une bonne efficacité (similaire à la stratégie utilisant seulement des produits de contact), mais celle-ci a été inférieure à la stratégie producteur ou encore à celle utilisant uniquement des produits pénétrants dans la Goldrush et la Red Maria. Le fait de débuter les traitements à la fermeture des rangs a permis d’éviter trois applications en général, sans impact sur le niveau de protection du feuillage, les rendements et la qualité des tubercules. Logiquement, c’est la stratégie utilisant des produits biologiques en alternance avec des produits chimiques à moindres risques, tout en débutant les traitements au moment de
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15 mars 2023
La brûlure hâtive (Alternaria solani et alternata) est une maladie largement répandue et qui peut causer des pertes importantes de rendement dans la pomme de terre. Pour la contrôler, les producteurs utilisent en moyenne huit à dix applications fongicides par saison. Même si la gestion des produits varie d'une ferme à l'autre,
les produits à base de chlorothalonile et de mancozèbe sont encore largement utilisés, principalement en raison de leur faible coût. Or, ces produits sont très toxiques et présentent des indices de risque sur la santé (IRS) élevés. Ce projet souhaitait tester trois stratégies de lutte intégrée : (1) une alternance de bio-fongicides avec des produits chimiques pénétrants (systémiques, translaminaires) présentant un profil environnemental et sur la santé favorable (IRS et IRE faibles); (2) l’utilisation unique de produits chimiques pénétrants à moindre risques; et (3) l’usage unique de produits de contact (mauvais profil sur la santé). Ces stratégies ont été testées en débutant les applications à un stade précoce de la culture (20 cm de hauteur) et au moment de la fermeture des rangs. Peu importe le cultivar (Envol, Goldrush, Red Maria et Russet Burbank), l’utilisation de fongicides pénétrants a procuré la meilleure protection du feuillage. L'introduction des fongicides biologiques dans la rotation de produits a assuré également une bonne efficacité (similaire à la stratégie utilisant seulement des produits de contact), mais celle-ci a été inférieure à la stratégie producteur ou encore à celle utilisant uniquement des produits pénétrants dans la Goldrush et la Red Maria. Le fait de débuter les traitements à la fermeture des rangs a permis d’éviter trois applications en général, sans impact sur le niveau de protection du feuillage, les rendements et la qualité des tubercules. Logiquement, c’est la stratégie utilisant des produits biologiques en alternance avec des produits chimiques à moindres risques, tout en débutant les traitements au moment de
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27 février 2023
La luzerne est la plante fourragère la plus répandue au Québec. Cette culture est sensible à diverses maladies et celles qui sont fréquemment observées sont les maladies fongiques du feuillage. Au Québec, les maladies foliaires les plus courantes sont les taches de poivre et la tache commune. Il est difficile de prévoir
le développement des maladies foliaires de la luzerne. Habituellement, ces maladies apparaissent dans des conditions fraîches et humides. Afin de contrôler le développement de ces maladies, il faut adopter une bonne régie de culture et choisir un cultivar résistant. L’application de fongicide afin de contrôler les maladies foliaires dans la luzerne n’est pas un moyen de lutte utilisé dans les prairies à dominance de luzerne. Ceci peut s’expliquer par les difficultés de prédire le niveau de sévérité de la maladie ainsi que son impact sur le potentiel de rendement. De plus, l’application des fongicides de manière préventive n’est pas justifiée sur le plan économique ni sur le plan environnemental à cause de leur toxicité et du haut risque de développement de la résistance chez les agents pathogènes. De plus, sous les conditions du Québec, aucune donnée scientifique n’est présentement disponible afin de déterminer la rentabilité économique et les impacts environnementaux d’une telle pratique. Au Québec, deux fongicides sont présentement homologués pour le contrôle des maladies foliaires soient Priaxor® (BASF) et Acapela® (CORTEVA).
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27 février 2023
La luzerne est la plante fourragère la plus répandue au Québec. Cette culture est sensible à diverses maladies et celles qui sont fréquemment observées sont les maladies fongiques du feuillage. Au Québec, les maladies foliaires les plus courantes sont les taches de poivre et la tache commune. Il est difficile de prévoir
le développement des maladies foliaires de la luzerne. Habituellement, ces maladies apparaissent dans des conditions fraîches et humides. Afin de contrôler le développement de ces maladies, il faut adopter une bonne régie de culture et choisir un cultivar résistant. L’application de fongicide afin de contrôler les maladies foliaires dans la luzerne n’est pas un moyen de lutte utilisé dans les prairies à dominance de luzerne. Ceci peut s’expliquer par les difficultés de prédire le niveau de sévérité de la maladie ainsi que son impact sur le potentiel de rendement. De plus, l’application des fongicides de manière préventive n’est pas justifiée sur le plan économique ni sur le plan environnemental à cause de leur toxicité et du haut risque de développement de la résistance chez les agents pathogènes. De plus, sous les conditions du Québec, aucune donnée scientifique n’est présentement disponible afin de déterminer la rentabilité économique et les impacts environnementaux d’une telle pratique. Au Québec, deux fongicides sont présentement homologués pour le contrôle des maladies foliaires soient Priaxor® (BASF) et Acapela® (CORTEVA).
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16 mars 2022
Bien que de nombreux pesticides soient encore détectés dans la plupart des 16 rivières échantillonnées de 2018 à 2020, des améliorations sont notées dans les quatre rivières retenues pour suivre les tendances à long terme dans les secteurs typiquement en culture de maïs et de soya (réseau de base) : L’atrazine est détecté
moins souvent et ses concentrations médianes sont maintenant très près des limites de détection; Pour trois des 4 rivières du réseau de base, les insecticides néonicotinoïdes thiaméthoxame et clothianidine ont diminué et, par rapport à la période 2015-2017, dépassent moins souvent le critère de qualité de l’eau pour la protection des espèces aquatiques, soit une diminution de 20% dans la rivière Chibouet, de 12 % dans la rivière des Hurons et de 46 % dans la rivière Saint-Zéphirin. Ces améliorations découlent en partie de la récente mise en œuvre de la justification et de la prescription agronomique qui semble avoir mené à une diminution de l’usage de ces produits. Mais les conditions climatiques particulièrement sèches des dernières années de production peuvent aussi avoir contribué à ces diminutions. Autre constas : L’insecticide chlorantraniliprole, utilisé en remplacement des néonicotinoïdes, est en hausse et est maintenant détecté dans près de 100% des échantillons des stations du réseau de base, mais les dépassements des CVAC sont peu fréquents.
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