Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Caïn Lamarre S.E.N.C.R.L./Avocats
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Mouvement Desjardins
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
195 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Mise à jour
17 avril 2024
Information sur la quantité d'ascospores projetables à partir d'échantillons standardisés hivernés dans les vergers pilotes. Moyenne des ascopores forcées par cm2 pour les sites Date d'observation Compton Franklin Oka Rougemont Dunham St-Bruno St-Joseph Québec 2024-03-28 0,00 0,00 0,00 0,46 0,53 0,82
2024-04-05 2,88 2,11 13,22 2024-04-09 41,25 12,50 5,09 0,74 2,38 2024-04-12 14,46 16,95 5,16 24,07 9,43 0,00 0,67 0,00 2024-04-16 19,05 9,52 62,74 8,46 10,58 29,30 16,60 0,00 Niveau faible 0 à 100 Niveau moyen 100 à 1000 Niveau fort 1000 et plus (max de l'ordre 9000 enregistré) Ces niveaux d'éjection (faible, moyen, fort) sont en lien avec notre historique avec cette technique. Le nombre de spores éjectées dans chaque verger est différent, mais la courbe d'évolution des éjections peut aider à déterminer le début et la fin des éjections pour un site. En absence d'échantillon reçu au laboratoire, la case reste vide. Cumul des captures par date pour chaque site Moyenne des ascopores forcées par cm2 pour les sites Date d'observation Compton Franklin Oka Rougemont Dunham St-Bruno St-Joseph Québec 2024-03-28 0,00 0,00 0,00 0,46 0,53 0,82 2024-04-05 0,00 2,88 0,00 2,11 13,68 0,53 0,82 2024-04-09 41,25 2,88 12,50 7,20 13,68 1,27 3,20 2024-04-12 55,71 19,83 17,66 31,27 23,12 1,27 3,88 0,00 2024-04-16 74,76 29,35 80,39 39,74 33,70 30,57 20,48 0,00
Lire la suite
Nouveau
15 avril 2024
La punaise terne, Lygus lineolaris, est un ravageur important de la fraise au Québec qui provoque d'importantes pertes de rendement. En agriculture conventionnelle, la lutte contre cet insecte se fait par le biais d’applications insecticides tandis que les producteurs en régie biologique sont démunis face à cette problématique.
Ces dernières années, un nouvel équipement a fait son apparition sur le marché : les mini-tunnels rétractables. Les mini-tunnels utilisent le même principe que les grands tunnels, mais ils sont trois fois moins dispendieux et plus versatiles en plus de présenter les mêmes avantages. Il s’agit de tunnels bas (environ 28 po) qui recouvrent une butte à la fois tout au long de la saison de culture. Un système d’arceaux recouverts d’un film transparent retenu par des élastiques permet de remonter ou descendre les côtés selon le climat. Le film transparent, qui permet de protéger les plants de la pluie et des éclaboussures de sol, peut être remplacé par un filet anti-insecte, permettant l’exclusion des principaux ravageurs, dont la punaise terne. L’objectif général du projet est de développer une nouvelle méthode de contrôle alternative aux pesticides utilisant des filets d’exclusion anti-insecte pour lutter contre la punaise terne (Lygus lineolaris) dans la culture de la fraise d’automne. Ainsi, un essai de plein champ a été conduit durant les saisons 2020, 2021 et 2022 sur le site de la ferme expérimentale du CIEL à Lavaltrie (2020 et 2021) et à Lanoraie (2022). Nous y avons testé 3 types de filets anti-insecte (17, 56 et 70 g) installés sur armature de mini-tunnels et un filet anti-insecte (70 g) installé sans armature, soit directement déposé sur la culture, pour lutter contre la punaise terne. Leur efficacité a été comparée à un témoin non traité et à un témoin commercial avec une régie de traitements insecticides conventionnels contre la punaise terne. En 2020, la faible population de punaises ternes sur le site d’essai n’a pas permis d’observer
Lire la suite
Nouveau
15 avril 2024
La punaise terne, Lygus lineolaris, est un ravageur important de la fraise au Québec qui provoque d'importantes pertes de rendement. En agriculture conventionnelle, la lutte contre cet insecte se fait par le biais d’applications insecticides tandis que les producteurs en régie biologique sont démunis face à cette problématique.
Ces dernières années, un nouvel équipement a fait son apparition sur le marché : les mini-tunnels rétractables. Les mini-tunnels utilisent le même principe que les grands tunnels, mais ils sont trois fois moins dispendieux et plus versatiles en plus de présenter les mêmes avantages. Il s’agit de tunnels bas (environ 28 po) qui recouvrent une butte à la fois tout au long de la saison de culture. Un système d’arceaux recouverts d’un film transparent retenu par des élastiques permet de remonter ou descendre les côtés selon le climat. Le film transparent, qui permet de protéger les plants de la pluie et des éclaboussures de sol, peut être remplacé par un filet anti-insecte, permettant l’exclusion des principaux ravageurs, dont la punaise terne. L’objectif général du projet est de développer une nouvelle méthode de contrôle alternative aux pesticides utilisant des filets d’exclusion anti-insecte pour lutter contre la punaise terne (Lygus lineolaris) dans la culture de la fraise d’automne. Ainsi, un essai de plein champ a été conduit durant les saisons 2020, 2021 et 2022 sur le site de la ferme expérimentale du CIEL à Lavaltrie (2020 et 2021) et à Lanoraie (2022). Nous y avons testé 3 types de filets anti-insecte (17, 56 et 70 g) installés sur armature de mini-tunnels et un filet anti-insecte (70 g) installé sans armature, soit directement déposé sur la culture, pour lutter contre la punaise terne. Leur efficacité a été comparée à un témoin non traité et à un témoin commercial avec une régie de traitements insecticides conventionnels contre la punaise terne. En 2020, la faible population de punaises ternes sur le site d’essai n’a pas permis d’observer
Lire la suite
27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se
rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque. La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial.
Lire la suite
27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se
rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque. La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial.
Lire la suite
26 mars 2024
Au Québec, la culture de la fraise est soumise à une forte pression de ravageurs. Parmi ceux-ci, deux acariens phytophages, le tarsonème du fraisier (Phytonemus pallidus) et le tétranyque à deux points (Tetranychus urticae), et une maladie fongique, le blanc du fraisier (Sphaerotheca macularis f. sp. Fragariae), causent
très souvent des dommages à la culture. Plusieurs produits sont homologués au Québec pour lutter contre ces ravageurs, mais peuvent présenter des indices de risques élevés pour la santé et l’environnement. Le Vegol est un pesticide à risques réduits qui est homologué au Canada pour lutter contre ces trois ennemis dans la fraise. C’est un biopesticide de contact à large spectre d’action qui a pour matière active l’huile de canola à 96 %. Il agit en empêchant la germination des spores et en provoquant la suffocation des insectes et des acariens. Bien qu’il soit disponible, ce produit demeure sous-utilisé, entre autres, parce que des observations laissent supposer qu’il peut s’avérer phytotoxique sous certaines conditions. Cet essai est divisé en deux phases. La phase 1 a pour objectif de déterminer les conditions et les facteurs climatiques sous lesquels le Vegol peut causer de la phytotoxicité. L’objectif de la phase 2 est de documenter l’efficacité du Vegol contre les acariens phytophages (tarsonème du fraisier et tétranyque à deux points) et une maladie fongique (blanc du fraisier). La première phase du projet a permis de démontrer que l’utilisation du Vegol était sécuritaire sous diverses conditions. Cependant, au terme de la deuxième phase, il n’est pas possible de conclure quant à l’efficacité du Vegol contre les ravageurs ciblés. La pression des ravageurs acariens ciblés a été trop faible lors des essais terrains pour observer la diminution des populations. Pour le blanc, la pression exercée a été plutôt variable, ce qui n'a pas permis de démontrer une atténuation des symptômes.
Lire la suite
26 mars 2024
Au Québec, la culture de la fraise est soumise à une forte pression de ravageurs. Parmi ceux-ci, deux acariens phytophages, le tarsonème du fraisier (Phytonemus pallidus) et le tétranyque à deux points (Tetranychus urticae), et une maladie fongique, le blanc du fraisier (Sphaerotheca macularis f. sp. Fragariae), causent
très souvent des dommages à la culture. Plusieurs produits sont homologués au Québec pour lutter contre ces ravageurs, mais peuvent présenter des indices de risques élevés pour la santé et l’environnement. Le Vegol est un pesticide à risques réduits qui est homologué au Canada pour lutter contre ces trois ennemis dans la fraise. C’est un biopesticide de contact à large spectre d’action qui a pour matière active l’huile de canola à 96 %. Il agit en empêchant la germination des spores et en provoquant la suffocation des insectes et des acariens. Bien qu’il soit disponible, ce produit demeure sous-utilisé, entre autres, parce que des observations laissent supposer qu’il peut s’avérer phytotoxique sous certaines conditions. Cet essai est divisé en deux phases. La phase 1 a pour objectif de déterminer les conditions et les facteurs climatiques sous lesquels le Vegol peut causer de la phytotoxicité. L’objectif de la phase 2 est de documenter l’efficacité du Vegol contre les acariens phytophages (tarsonème du fraisier et tétranyque à deux points) et une maladie fongique (blanc du fraisier). La première phase du projet a permis de démontrer que l’utilisation du Vegol était sécuritaire sous diverses conditions. Cependant, au terme de la deuxième phase, il n’est pas possible de conclure quant à l’efficacité du Vegol contre les ravageurs ciblés. La pression des ravageurs acariens ciblés a été trop faible lors des essais terrains pour observer la diminution des populations. Pour le blanc, la pression exercée a été plutôt variable, ce qui n'a pas permis de démontrer une atténuation des symptômes.
Lire la suite
1 à 10 sur 195