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287 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
25 mars 2024
Dans le cadre d’un nouveau projet de recherche conjoint intitulé: Comment favoriser l’établissement, le développement et la pérennisation des entreprises fruitières de la relève au Québec? Le Centre d’innovation sociale en agriculture (CISA), en collaboration avec le Centre d’expertise et de transfert en agriculture biologique
(CETAB+), souhaite documenter les enjeux, les difficultés et les facteurs de réussite du démarrage en production fruitière. TROIS ASPECTS SERONT DOCUMENTÉS : la viabilité financière la main-d’œuvre la mise en marché Les résultats de cette étude permettront d'alimenter une réflexion collective, laquelle mènera à la cocréation d’un projet socialement innovant qui visant à répondre à un ou plusieurs enjeux prioritaires. Afin d’alimenter les chercheurs et chercheuses dans le cadre de ce projet, nous sommes actuellement à la recherche de producteurs et de productrices volontaires, ayant démarré leur entreprise il y a 10 ans ou moins, et prêt(e)s à partager leur expérience personnelle en lien avec les trois aspects mentionnés. UNE TRENTAINE D’ENTREPRISES SONT RECHERCHÉES DANS CES TYPES DE PRODUCTIONS : fraise - bleuet - framboise - raisin de table - camerise - cassis - argouse - groseille - amélanche - aronia - noisette - sureau - kiwi LES DONNÉES TANT QUALITATIVES QUE QUANTITATIVES DEMEURERONT CONFIDENTIELLES. La participation implique une entrevue d'environ 2 heures avec les chercheur·se·s, et/ou le partage de données sur votre entreprises, sur la main-d'oeuvre, la mise en marché et la viabilité financière. Une compensation de 80 à 250$ est offerte aux participant·e·s. COMPLÉTEZ CE FORMULAIRE POUR VOUS SIGNIFIER VOTRE INTÉRÊT! Besoin de plus d’information ? Communiquez avec : Catherine Théberge, CISA Geoffroy Ménard, CETAB+ 819 758-6401 poste 2780
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19 juin 2023
Un peuplement est une période que l’on pourrait qualifier de « gestion de changement ». C’est une étape où nous perdons nos repères habituels et entrons en période d’incertitude qui perdure durant plusieurs mois et qui peut se prolonger sur plus d’une année, selon le degré de réussite du déroulement.
27 mars 2023
Un questionnaire a été expédié en 2020 à des producteurs d’œufs à petite échelle (sans quota ou ayant un quota de 2 000 poules pondeuses ou moins) afin d’identifier leurs pratiques. De plus, un groupe formé des entreprises ayant répondu au questionnaire et présentant de bons indicateurs de performance (économiques
et techniques) a été identifié par des experts dans le but également de documenter leurs pratiques. Ce rapport présente les résultats provenant de l’ensemble des répondants et une analyse des réponses des entreprises qui semblaient obtenir les meilleurs résultats au niveau technique et économique. Cette enquête a été réalisée dans le cadre du projet Guide de référence pour la production d’œufs sans quota, financé par l’entremise du programme Innov’Action agroalimentaire, en vertu du Partenariat canadien pour l’agriculture, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec.
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13 décembre 2022
AGRIcarrières met à jour son programme d’apprentissage en milieu de travail (PAMT) pour le métier d’ouvrier en production porcine! Il inclura un outil numérique complet qui accompagnera l’apprenti et son compagnon tout au long de la formation… Finie la paperasse : tout sera à un seul et unique endroit!
01 novembre 2022
Voici un document qui vulgarise la gestion des liquidités dans le but de la rendre digeste pour les personnes qui ont besoin de la maîtriser: nouveaux entrepreneurs comme entrepreneurs aguerris! On sait qu'un défi important pour tout entrepreneur-gestionnaire réside dans la gestion des flux d’argent afin de ne
pas manquer de liquidités aux moments critiques de l’année. Cela est particulièrement vrai en agriculture. POUR CRÉER VOTE PROPRE BUDGET MENSUEL DE TRÉSORERIE Utilisez le calculateur "Budget de trésorerie et de gestion", disponible sur Agri-réseau. Consultez l'exemple fictif de budget de trésorerie présenté sous forme de tutoriel à la section 5 de l'article de blogue "Comment contrôler ses liquidités?", également disponible sur Agri-réseau.
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12 octobre 2022
Ce projet avait pour objectif d’évaluer la productivité du travail en production porcine au Québec afin d'identifier les meilleures pratiques et offrir des recommandations au secteur. Réalisé en collaboration avec l’IRDA et le Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA).
21 juin 2022
La drosophile à ailes tachetées (DAT), Drosophila suzukii, est un ravageur redoutable qui cause des dommages importants aux récoltes dans de nombreuses cultures fruitières (fraises, framboises, bleuets, mûres et cerises). Alors que les autres espèces de drosophiles s’attaquent habituellement aux fruits trop mûrs ou endommagés,
la DAT pond ses œufs dans les fruits sains en mûrissement grâce à son ovipositeur dentelé. Des dommages importants aux récoltes ont été rapportés ces dernières années, occasionnant parfois la fermeture précoce de champs. Actuellement, la stratégie des producteurs de petits fruits pour contrôler cette drosophile est l’application d’insecticides durant sa période d’activité, soit durant la récolte des fruits. Bien que les délais avant la récolte soient respectés, cette approche est remise en cause en raison de la présence possible de résidus sur les fruits, mais aussi pour les risques sur la santé des ouvriers affectés aux récoltes. Sans compter que sur le plan environnemental, l’application répétée d’insecticides représentent un risque pour l’agroécosystème. Dernièrement, des centres de recherche en Suisse ont rapporté des résultats intéressant de la chaux éteinte [CA(OH)2, NEKAGARD] et du kaolin (SURROUND WP) contre la drosophile à ailes tachetées. Déjà utilisés par l’industrie alimentaire, ces produits présentent des risques faibles pour la santé et l’environnement. En effet, la chaux éteinte, au contact du gaz carbonique de l’air, se transforme en calcaire tandis que le kaolin est une argile blanche. Quand ils sont appliqués sur les fruits, ils agiraient comme répulsifs via des mécanismes encore peu connus, par exemple par la modification du pH ou par la perturbation du comportement de l’insecte. Ces deux produits ont été testés contre la drosophile à ailes tachetées (DAT) dans une bleuetière (bleuet en corymbe, variété Patriot) de Lanaudière, et comparés à un témoin non traité et à un témoin commercial durant deux ans. En 2019, à cause de la
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21 juin 2022
Le tarsonème du fraisier est un acarien qui se nourrit sur les nouvelles feuilles non déployées au cœur des fraisiers. Sa salive toxique cause le nanisme des plants, le dessèchement des fleurs et des fruits petits, secs et difformes. L'endosulfan était le produit le plus utilisé au Québec pour contrôler cet acarien jusqu'à
ce qu'il soit interdit en raison de ses impacts néfastes sur l'environnement et de sa toxicité élevée. L’Agrimek® (abamectine) actuellement homologué ne démontre pas toujours une efficacité optimale au champ dans les conditions dans lesquelles il est utilisé. Un des principaux problèmes se situe dans la difficulté d’atteindre le tarsonème, on privilégie à l’heure actuelle les traitements faits quand le feuillage est moins dense, soit après la rénovation et tôt au printemps. Le produit pourrait obtenir une meilleure pénétration au cœur des plants et donc une meilleure efficacité, s'il était appliqué avec plus de force et de vélocité, sous forme de grosses gouttelettes. Le présent projet avait pour but de tester différentes buses pour appliquer l’Agrimek® afin de vérifier si l’adaptation de la méthode d’application permet de contrôler plus efficacement les populations de tarsonème. La sélection des buses a été réalisé en serre en 2018 parmi 11 buses à différent volume (1000, 2000 et 3000L/ha) à l’aide d’une méthode de marquage, soit le Suppress®, qui brûle uniquement le feuillage avec lequel il entre en contact. Suite à ces essais, 5 buses ont été sélectionnées et ont été testées en champ de fraises en rangs nattés avec un historique de problèmes de tarsonèmes du fraisier sur deux ans (2019 et 2021). En 2019, les conditions climatiques de la saison ont été peu propice à l’infestation du ravageur et il n’a pas été possible de tirer des conclusions claires sur l’efficacité des différentes buses. En 2021, nous avons observé certaines tendances mais, dû à la variabilité des résultats, il n’a pas été possible de tirer des conclusions claires
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