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34 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
01 juin 2023
La culture de la pomme nécessite annuellement l’application de pesticides contre plusieurs ennemis (insectes, acariens, maladies et mauvaises herbes). Plusieurs des produits utilisés ont toutefois un impact (sur la santé ou sur l’environnement) important et/ou un coût élevé. Certaines méthodes de dépistage, de surveillance
et d’intervention éprouvées sont disponibles pour réduire ces risques et sont utilisées à des degrés variables par les entreprises. Une plus grande adoption de ces nouvelles approches permettrait de réduire l’empreinte environnementale de la production pomicole québécoise. Ce projet a débuté au mois d’avril 2018 au sein de cinq vergers situés dans différentes régions du Québec, s: Montérégie (Est & Ouest), Estrie, Laurentides et Chaudière-Appalaches. Pour chacun des sites, une section du verger a été gérée selon les pratiques habituelles du producteur (parcelle sous régie conventionnelle), tandis qu’une autre section a été gérée selon un programme incluant un ensemble de pratiques à moindres risques ( parcelle sous régie à moindres risques). Les pratiques dites à moindres risques ont été discutées, adaptées et incluses à la régie en fonction de l’historique et du registre antérieur de traitements propre à chaque site. Un total de 23 pratiques à moindres risques ont été proposées sur l’ensemble des sites. Des pratiques telles que la confusion sexuelle contre le carpocapse de la pomme, l’introduction d’acariens prédateurs contre les tétranyques, la pulvérisation à distribution d’air optimisée (AirCheck), le désherbage mécanique, la lutte attracticide contre la mouche de la pomme et l’exclusion par filets anti-insecte (dans une zone distincte) ont ainsi été utilisées de 2018 à 2022. Avec l’appui des entreprises participantes, les données ont été colligées par un club-conseil responsable pour chaque site, avec la collaboration du conseiller MAPAQ de la région concernée.
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08 mai 2023
Le Centre d’études sur les coûts de production en agriculture (CECPA) lance les travaux visant la réalisation d’une vaste étude des impacts économiques liés à l’adoption de certaines pratiques alternatives en pomiculture. Le projet est réalisé en partenariat avec les Producteurs de pommes du Québec (PPQ), le ministère de
l’Agriculture des pêcheries et de l’alimentation du Québec (MAPAQ) et l’Institut de recherche et développement en agroenvironnement (IRDA).
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31 octobre 2022
Les producteurs de pommes appliquent annuellement des traitements fongicides pour réprimer la tavelure du pommier causée par le champignon Venturia inaequalis. Ces traitements doivent être renouvelés régulièrement selon les risques d’infection, l’apparition de nouvelles feuilles et le lessivage par la pluie. La fréquence
des traitements recommandée est surtout basée sur des critères empiriques qui varient largement selon les experts. L’objectif de notre projet était d’établir l’impact combiné de la sortie des nouvelles feuilles et de la pluie sur l’efficacité´ de différents fongicides pour mieux cerner la durée d’efficacité´ des traitements. En 2018 et en 2019, nous avons mené 23 expériences de lessivage au cours de pluies naturelles (13) et simulées (10). Les résultats pour les 10 molécules testées montrent que la croissance du nouveau feuillage est déterminante pour l’efficacité des traitements et que la perte d’efficacité liée au lessivage a moins d’impact. Les pluies naturelles d’intensité faible (< 2 mm/h) permettent une légère redistribution de la bouillie sur les feuilles partiellement protégées lors du traitement. Cependant, cet effet est assez mineur et n’était pas visible pour les pluies de plus de 15 mm. Seuls le Captan et l’Allegro étaient redistribués par les pluies artificielles de 4 mm/h. En considérant que la croissance d’une nouvelle feuille correspond à une perte d’efficacité de 40 %, le projet a permis d’établir un seuil de renouvellement des traitements qui tient compte à la fois de la croissance et du lessivage. Des ajustements quant à la fréquence des traitements sont possibles en fonction des produits utilisés et de leur dose d’emploi. Les résultats de ce projet nous permettront dorénavant de minimiser les incertitudes dans les recommandations et optimiser le nombre de traitements.
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31 octobre 2022
Les producteurs de pommes appliquent annuellement des traitements fongicides pour réprimer la tavelure du pommier causée par le champignon Venturia inaequalis. Ces traitements doivent être renouvelés régulièrement selon les risques d’infection, l’apparition de nouvelles feuilles et le lessivage par la pluie. La fréquence
des traitements recommandée est surtout basée sur des critères empiriques qui varient largement selon les experts. L’objectif de notre projet était d’établir l’impact combiné de la sortie des nouvelles feuilles et de la pluie sur l’efficacité´ de différents fongicides pour mieux cerner la durée d’efficacité´ des traitements. En 2018 et en 2019, nous avons mené 23 expériences de lessivage au cours de pluies naturelles (13) et simulées (10). Les résultats pour les 10 molécules testées montrent que la croissance du nouveau feuillage est déterminante pour l’efficacité des traitements et que la perte d’efficacité liée au lessivage a moins d’impact. Les pluies naturelles d’intensité faible (< 2 mm/h) permettent une légère redistribution de la bouillie sur les feuilles partiellement protégées lors du traitement. Cependant, cet effet est assez mineur et n’était pas visible pour les pluies de plus de 15 mm. Seuls le Captan et l’Allegro étaient redistribués par les pluies artificielles de 4 mm/h. En considérant que la croissance d’une nouvelle feuille correspond à une perte d’efficacité de 40 %, le projet a permis d’établir un seuil de renouvellement des traitements qui tient compte à la fois de la croissance et du lessivage. Des ajustements quant à la fréquence des traitements sont possibles en fonction des produits utilisés et de leur dose d’emploi. Les résultats de ce projet nous permettront dorénavant de minimiser les incertitudes dans les recommandations et optimiser le nombre de traitements.
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29 août 2022
Le guide de production pour les argousiers au Québec a pour objectif de rassembler, de vulgariser et de transmettre l'information la plus récente sur la production d'argousiers au Québec. Par le partage et la vulgarisation de ces informations, un tel ouvrage cherche à encourager l'application des nouvelles
connaissances pour aider au développement des entreprises qui se consacrent à la production de ce petit fruit. C'est avec lappui du ministère de l'Agriculture des Pêcheries et de Alimentation du Québec (MAPAQ) et de l'APAQ que Cultur’Innov publie ce guide sous forme de fiches qui abordent les principales thématiques de la culture de l’ argousier.
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