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14 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
07 août 2023
Les petits fruits, qu'ils soient communs comme la fraise (Fragaria x ananassa), la framboise (Rubus idaeus L.), la mûre (Rubus spp.), le bleuet (Vaccinium angustifolium Ait. et Vaccinium corymbosum L.) et la canneberge ( Vaccinium macrocarpon), ou moins connus comme le cassis (Ribes nigrum L.), la gadelle (Ribes spp.),
la groseille à maquereau (Ribes grossularia L.), la baie de sureau (Sambucus coerulea) et l'airelle rouge ( Vaccinium paruifolium), sont appréciés pour leur saveur, leur apparence et leur qualité nutritive. Le raisin (Vitis labrusca et Vitis vinifera L.) peut aussi être compté dans ce groupe, mais il n'a pas été considéré dans le présent manuel. Comme ils ne peuvent généralement être récoltés et commercialisés que sur une brève période, les petits fruits frais ne sont pas offerts longtemps sur le marché. Leur courte durée de conservation limite autant les possibilités commerciales du producteur que la disponibilité du produit pour le consommateur. Toutefois, si tout le soin requis est apporté à la récolte et au conditionnement, la qualité des petits fruits frais peut être préservée et leur durée de conservation de même que leur disponibilité peuvent être accrues. Dans cet ouvrage, plusieurs facteurs influant sur la qualité et la durée de conservation des petits fruits sont examinés : biologie, pratiques culturales, méthodes de récolte, matériel d'emballage, mode de refroidissement, méthodes de conservation (réfrigération, atmosphère contrôlée, conditionnement sous atmosphère modifiée), manutention et transport. Pour être en mesure d'offrir au consommateur des petits fruits de grande qualité, il faut prendre chacun de ces facteurs en compte.
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31 mai 2022
Ce projet avait pour objectif la recherche de biofongicides, utilisés dans la culture du bleuet nain, réprimant une ou plusieurs maladies foliaires parmi les suivantes : la tache septorienne, la tache valdensienne et la rouille du bleuet. Les résultats ont permis d’identifier deux produits qui semblent mieux performer que
les autres, le Coopercide et le Parasol. Des différences significatives ont pu être mises en évidence pour certains paramètres comme le recouvrement en maladie et la défoliation. Dans certains cas, ces résultats se rapprochent de ceux du traitement conventionnel au Proline. Cependant, pour les paramètres de productivité, l’effet de ces deux traitements n’a pas révélé de différence significative.
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20 avril 2022
Ce projet a comme objectif principal de trouver des méthodes alternatives de désherbage dans la culture du bleuet en corymbe qui pourront être bénéfiques autant pour des productions conventionnelles que des productions biologiques. Le but est donc d'évaluer l'efficacité et de comparer diverses techniques de lutte contre
la mauvaise herbe dans la production biologique de bleuet en corymbe; #1 Copeaux de bois (témoin), #2 Géotextile noir, #3 Paillis de plastique et #4 Pyrodésherbeur. Un dispositif a donc été mis en place, pour répéter les différentes méthodes et pouvoir comparer ces dernières de façon à ce que ce soit le plus représentatif possible. Ainsi, au terme de ce projet, il est visé d'obtenir une réponse en ce qui a trait de la meilleure technique alternative au désherbage manuel afin d'alléger les travaux des producteurs et d'optimiser la lutte aux mauvaises herbes en régie biologique du bleuet en corymbe.
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20 avril 2022
Ce projet a comme objectif principal de trouver des méthodes alternatives de désherbage dans la culture du bleuet en corymbe qui pourront être bénéfiques autant pour des productions conventionnelles que des productions biologiques. Le but est donc d'évaluer l'efficacité et de comparer diverses techniques de lutte contre
la mauvaise herbe dans la production biologique de bleuet en corymbe; #1 Copeaux de bois (témoin), #2 Géotextile noir, #3 Paillis de plastique et #4 Pyrodésherbeur. Un dispositif a donc été mis en place, pour répéter les différentes méthodes et pouvoir comparer ces dernières de façon à ce que ce soit le plus représentatif possible. Ainsi, au terme de ce projet, il est visé d'obtenir une réponse en ce qui a trait de la meilleure technique alternative au désherbage manuel afin d'alléger les travaux des producteurs et d'optimiser la lutte aux mauvaises herbes en régie biologique du bleuet en corymbe.
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15 décembre 2020
RAPPORT – L’objectif général de ce projet était de développer une méthode de lutte contre la DAT à l’aide d’ennemis naturels commerciaux. Le projet présente une série d’expériences basées sur le principe de complémentarité des ennemis naturels afin de répondre adéquatement à cet objectif. La drosophile à ailes tachetées
(DAT), Drosophila suzukii (Diptera : Drosophilidae), est un ravageur exotique originaire d’Asie (Kanzawa, 1939) observé pour la première fois en 2010 au Québec (ACIA, 2011 et considéré depuis 2013 comme un ravageur majeur des petits-fruits en Amérique du Nord et en Europe. La DAT s’attaque aux petits-fruits cultivés commercialement, la framboise, la mûre, le bleuet, la cerise et la fraise (Lee et al. 2011). En 2012, les dommages à la première récolte ont frôlé les 100 % dans certaines cultures au Québec, notamment pour la framboise. Depuis 2012, les populations ont toujours été abondantes et les dommages sont présents même avec l’utilisation de traitements phytosanitaires.
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06 mars 2019
Ces fiches techniques ont été conçues afin d’aider les producteurs et les intervenants à mieux identifier et connaître les espèces adventices (mauvaises herbes) des bleuetières et à intervenir efficacement à l’aide de solutions écologiques. Des combinaisons de plusieurs traitements, tel le passage d’un coupe-racine, l’application
d’un paillis de résineux, le fauchage de la partie supérieure des adventices, la taille au sol de la végétation par fauchage ou brûlage, ont été mises à l’essai et certaines se sont avérées efficaces. Ces moyens de contrôle écologique ainsi que les stades phénologiques des adventices sont présentés ici de façon détaillée et imagée à l’aide de nombreuses photographies prises en champs. Les stades phénologiques ont été suivis sur la Côte-Nord. Leur succession dans le temps sera la même mais pourra être décalée dans le temps selon la situation géographique et la continentalité des régions. Ainsi, les stades présentés seront plus hâtifs dans une région continentale et située plus au sud. L’efficacité des solutions écologiques à l’essai a été évaluée et est présentée ici en pourcentage de diminution du recouvrement de la plante et ce, l’année suivant l’application du traitement. Ève-Catherine Desjardins, chercheuse dans le domaine des petits fruits nordiques CEDFOB
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27 octobre 2017
Ce livret a été produit en réponse à un nombre de plus en plus grand de demandes d'information sur la production des bleuets biologiques certifiés. II a pour but de fournir des renseignements sur des aspects précis de la régie biologique des bleuets, afin d'aider les producteurs, nouveaux ou établis, qui envisagent de se
lancer en production certifiée. Vous trouverez dans ce document des informations sur la certification biologique, l'aspect économique de la transition, le choix d'un site, les amendements de sol en production de bleuets biologique, la taille et son incidence sur les mauvaises herbes, les insectes et les maladies, la pollinisation, la lutte contre les mauvaises herbes, les maladies et les insectes, ainsi que de l'information sur la transformation.
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03 septembre 2014
Adapté au contexte québécois, ce guide contient toute l'information requise pour relever les principaux défis associés à la culture biologique du bleuetier géant (bleuet en corymbe). On y explique de façon pratique comment implanter, fertiliser et
désherber une bleuetière et comment la protéger des oiseaux, des insectes nuisibles et des maladies selon les normes de l'agriculture biologique. Cette publication fait aussi partie d'une collection. Une initiative du Comité agriculture biologique du CRAAQ.
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20 mai 2014
Les plants de bleuets produisent un plus grand nombre de bleuets, et de plus gros, s'ils sont visités par des espèces d'abeilles plus diversifiées. Dans cette étude de la North Carolina State University, l'augmentation de rendement a été évaluée
à 311 $/acre pour chaque groupe additionnel de pollinisateurs qui s'ajoute au groupe initial. Par exemple, l'augmentation est de 311 $/acre pour deux groupes d'abeilles, et de 622 $/acre pour trois groupes. La prochaine étape consiste à identifier comment accroître cette diversité en termes pratiques.
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