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11 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
22 juin 2023
PRIORITÉS 2023-2028 DU SECTEUR DES PLANTES FOURRAGÈRES L’environnement et les défis climatiques se situent au premier rang des préoccupations listées par les répondants au sondage réalisé par le CQPF en 2022. Le développement des pratiques pour optimiser le rendement et la valeur nutritive des plantes fourragères continuent
d’être une des priorités. © CQPF 2023 Ce projet est financé par l’entremise du Programme de développement sectoriel, en vertu du Partenariat canadien pour l’agriculture, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec.
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30 novembre 2021
RECYC-QUÉBEC a publié son rapport Étude sur les plastiques agricoles générés au Québec [1] en 2019. Un état de situation des PA y est dressé et des enjeux et pistes de réflexion pour la mise en valeur de ces plastiques y sont identifiés. Le Bas-Saint-Laurent figure au 3e rang des régions les plus utilisatrices de ces matières.
Des acteurs régionaux, interpellés par cette problématique, se sont regroupés en 2019 à l’initiative de l’organisme Co-éco, du MAPAQ et de l’UPA, puis le MAPAQ a lancé un appel d’offres afin de travailler sur cette problématique. Ce mandat est réalisé par Élyme conseils en partenariat avec JMP Consultants et Synergie BSL et s’échelonne de janvier 2021 à septembre 2023. La première étape de ce travail est de brosser un portrait des gisements au niveau régional et pour chaque MRC pour les plastiques de PEbd (films d’enrubannage et bâches seulement) et pour le plastique de tubulure issu de l’acériculture. Ce rapport vient donc préciser le portrait des gisements des plastiques agricoles (PA) au Bas-Saint-Laurent de « l’entreprise agricole au récupérateur », dans le but de susciter la participation des acteurs locaux dans les réflexions et la mise en place de stratégies de réductions, de réemploi et de recyclage des PA. Un questionnaire sur les gisements de PA à la ferme a été transmis aux producteurs agricoles au printemps 2021. Plusieurs partenaires comme la Fédération de l’UPA du Bas-Saint-Laurent, le MAPAQ et différents clubs-conseils en agroenvironnement et en acériculture. Avec un taux de réponse de 25 %, les informations compilées nous donnent un portrait représentatif des gisements et de leur localisation par MRC. Ainsi, 992 tonnes de PEbd (films d’enrobage et bâches seulement) sont utilisées chaque année par les entreprises agricoles de la région, soit 27 % de plus que les données estimées par le rapport de RECYC-QUÉBEC (2019). Les plastiques d’enrubannage sont utilisés par 80 % des entreprises sondées et il y a une disparité entre la consommation
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06 juin 2017
Ce document résume les grandes lignes du rapport Une agroforesterie pour le Québec - Document de réflexion et d’orientation, lequel documente les bénéfices de l’agroforesterie au regard des enjeux qui touchent le territoire agricole québécois, dresse un portrait de la situation de l’agroforesterie au Québec et
analyse les connaissances et les moyens actuellement disponibles pour appuyer son déploiement. Ce rapport adresse également des recommandations quant aux moyens à mettre en oeuvre pour permettre à l’agroforesterie de réaliser son plein potentiel au Québec. Une initiative du Comité agroforesterie.
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30 mai 2017
L’intégration d’arbres ou d’arbustes aux cultures agricoles, en bordure de champ (haies agroforestières) ou en plein champ (systèmes agroforestiers intraparcellaires), peut apporter de nombreux bénéfices au regard des grands enjeux qui touchent le territoire agricole québécois, notamment la santé des sols, la biodiversité,
la qualité de l’eau et les changements climatiques. Tout en mettant l’accent sur ces bénéfices et en dressant un portrait de la situation de l’agroforesterie au Québec, ce rapport analyse les connaissances et les moyens actuellement disponibles pour appuyer son déploiement, somme toute encore discret dans le paysage. Des recommandations sont également adressées aux acteurs du monde rural et aux décideurs quant aux moyens à mettre en oeuvre pour permettre à l’agroforesterie de réaliser son plein potentiel, pour le bénéfice non seulement de la communauté agricole, mais de toute la société. Ce document est une réalisation du Comité agroforesterie du CRAAQ.
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22 janvier 2016
Un logiciel d'approche globale permet aux agriculteurs de réduire leur bilan carbone Grâce à un programme logiciel innovant, les producteurs peuvent maintenant estimer les émissions de gaz à effet de serre (GES) de leur exploitation agricole. Le programme, appelé Holos, a été élaboré par des chercheurs d'Agriculture
et Agroalimentaire Canada au Centre de recherche et de développement de Lethbridge situé en Alberta. Le programme Holos fait des estimations des émissions de gaz à effet de serre provenant des exploitations agricoles à partir des données entrées dans le programme, et examine ensuite les façons de réduire ces émissions. Le producteur obtient donc une estimation des gaz à effet de serre émis par l'ensemble de son exploitation, ce qui peut l'aider à trouver des moyens de les réduire. Quels sont les avantages pour les agriculteurs? Holos fournit aux agriculteurs un point de référence pour constater les avantages environnementaux potentiels de leurs pratiques actuelles. En explorant le logiciel et les divers scénarios pertinents pour leur exploitation, les producteurs peuvent découvrir des méthodes agricoles variées afin de réduire les gaz à effet de serre. Comment le programme fonctionne-t-il? Holos est applicable à un certain nombre d'activités agricoles, entre autres celles-ci : installations brise-vent, terres herbeuses et terres cultivées, bœuf, bovins laitiers, mouton, porc, volaille; chèvre, lama et alpaga, cerf et wapiti, cheval, mule et bison. Une fois les données saisies dans Holos, celui-ci fait l'estimation des émissions de dioxyde de carbone, d'oxyde nitreux et de méthane causées par la fermentation entérique et la gestion des fumiers, les systèmes culturaux, les changements d'affectation des terres et l'utilisation de l'énergie. Holos permet aux utilisateurs de choisir parmi des scénarios et des pratiques de gestion agricole ceux qui décrivent le mieux leurs activités. Ils peuvent ensuite étudier les options qui pourraient
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22 mai 2015
Valeurs fertilisantes pour les productions de volailles (fumier avec litière), de chevaux, de chèvres et de lapins. Se référer également à la « Mise en garde – Valeurs références fertilisantes et volumiques – Autres productions » Ce
document est également disponible sur la Base de connaissances effluents d’élevage dans la section Documents de référence, qui propose un dossier complet sur les règles de l'art en matière d'utilisation des valeurs références, de caractérisation des fumiers et lisiers, d’évaluation de la charge fertilisante ainsi que les protocoles validés. Une Foire aux questions répond également à la plupart des interrogations concernant les productions laitière, bovine, ovine, de volaille, d’œufs d’incubation ou de consommation et de porc.
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22 mai 2015
Volumes de déjections et de fumiers produits en litres par animal par jour pour les productions suivantes : Dinde de reproduction, faisan, pintade, caille, canard, oie, chèvre, cheval, chinchilla, vison, renard, marte, raton laveur et lapin. Se référer également à la « Mise en garde – Valeurs références fertilisantes
et volumiques – Autres productions » Ce document est également disponible sur la Base de connaissances effluents d’élevage dans la section Documents de référence, qui propose un dossier complet sur les règles de l'art en matière d'utilisation des valeurs références, de caractérisation des fumiers et lisiers, d’évaluation de la charge fertilisante ainsi que les protocoles validés. Une Foire aux questions répond également à la plupart des interrogations concernant les productions laitière, bovine, ovine, de volaille, d’œufs d’incubation ou de consommation et de porc.
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18 janvier 2007
L’objectif de ce document est de proposer un estimé de la charge fertilisante en azote, phosphore et potassium des effluents d’élevage en production laitière caprine. L’estimé est basé sur la méthode du bilan alimentaire et ce, en utilisant les paramètres
d’une entreprise type québécoise. Cet estimé est comparé avec les normes publiées conjointement en 2003 par le ministère de l’Écologie et du Développement Durable et le ministère de l'Agriculture, de la Pêche et des Affaires Rurales de la France.
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