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37 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
27 novembre 2023
Les informations présentées dans les fiches de la série Culture serricole émergente en région nordique proviennent de suivis effectués au sein d’entreprises québécoises entre 2021 et 2023. Les observations sur la régie de culture, les paramètres agronomiques (croissance, rendements) et phytosanitaires (ravageurs,
maladies, désordres) sont résumées et publiées à titre informatif afin de permettre aux producteurs intéressés par ces cultures d’avoir accès à des données antérieures. Une analyse agro-économique et de sensibilité y sont aussi présentées, permettant d’indiquer le potentiel de rentabilité de chaque culture. Consultez les fiches Rabiole - Sommaire d'essais Céleri - Sommaire d'essais Courgette - Sommaire d'essais Aubergine - Sommaires d'essais Oignon vert - Sommaire d'essais
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17 novembre 2023
Cette série de 4 vidéos présente les grandes étapes de la culture maraîchère en serre, plus particulièrement pour la tomate, le concombre et le poivron. Les séquences ont été tournées durant les étapes culturales dans une serre maraichère biologique. La première vidéo couvre en détail la préparation
de la serre et du sol, du revêtement de sol et des équipements de tuteurage et d’irrigation, ainsi que les détails techniques de la plantation. Les vidéos 2, 3 et 4 présentent respectivement les travaux d’entretien régulier et de récolte pour la tomate, le concombre et le poivron, selon le cas : pose de supports de grappe; tuteurage ou enroulage sur corde; suppression des drageons; taille des plants; effeuillage; abaissage; et méthodes de récolte appropriées..
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29 janvier 2021
Série de 4 séances de webinaires de 2 heures, offerts par aider les producteurs à adapter leur régie de culture en fonction des conditions de températures et de luminosité propre à chaque région. Pré-requis: expérience de base en culture en serre • Groupe A (9, 16, 23 fév et 9 mars): Basses-Laurentides, Montréal, Laval,
Lanaudière, Outaouais et Baie-des-Chaleurs. • Groupe B (10, 17, 24 février et 10 mars) : Montérégie-Est et Montérégie-Ouest. • Groupe C (11, 18, 25 février et 11 mars): Estrie, du Centre-du-Québec, Mauricie et Charlevoix. • Groupe D (12, 19, 26 février et 12 mars) : Saguenay-Lac-Saint-Jean, Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Côte-Nord et Gaspésie-Nord. Les thèmes présentés sont : 1. Planification annuelle de la gestion de l’équilibre de la charge en fruits des cultures tuteurées; 2. Gestion journalière des températures en fonction de l’équilibre de la charge en fruits des cultures tuteurées; 3. Gestion des irrigations et de la conductivité électrique (CÉ) en fonction des luminosités, des espèces, du stade, du volume d’exploration racinaire et de la réserve facilement utilisée (RFU); 4. Profilage des cultures tuteurées en serre pour ajuster l’équilibre reproductif/végétatif. Le coût total pour les quatre webinaires est de 40 $. Pour vous inscrire et pour procéder au paiement, vous devez contacter Mme Céline Mul à [email protected], voir détails en pièce jointe.
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16 octobre 2020
Le blanc (Sphaerotheca fuliginea (syn. Podosphaera xanthii) et Erysiphe cichoracearum) est une des maladies les plus récurrentes dans les cucurbitacées. Dans les courges, elle peut provoquer la mort prématurée des feuilles qui se fanent avant que le fruit n'ait atteint son calibre ou sa maturité maximale, et prédisposer
les plants à d'autres maladies. Des biofongicides ont été homologués dans les dernières années pour lutter contre cette maladie, mais ils demeurent assez peu utilisés. Or, plusieurs expériences ont montré que l’alternance entre les traitements biologiques et chimiques offrait souvent des résultats supérieurs aux traitements chimiques ou biologiques seuls. Ce projet visait donc à évaluer l'efficacité de l'utilisation de biofongicides dans une rotation avec des fongicides conventionnels sur le blanc dans la courge. Ce document constitue la fiche synthèse du projet réalisé par le CIEL. Pour consulter le rapport complet, veuillez communiquer avec l'équipe du CIEL au 450-589-7313 ou à [email protected].
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20 août 2020
avertissement No 11 dans le but de différencier les maladies des causes abiotiques, poser le bon diagnostic et intervenir adéquatement. Parce qu’une image vaut mille mots, voici un communiqué visuel qui contient plusieurs exemples de désordres et de cas de phytotoxicité observés dans le concombre de serre au cours
des dernières années. Plusieurs de ces cas ont été observés cette année durant les chaleurs extrêmes que nous avons connues. Les désordres les plus courants sont l'excès de salinité, la transpiration excessive ou des brûlures foliaires causés par des produits appliqués dans des conditions non optimales. Afin de vous aider dans votre démarche diagnostique, une clé d’identification par imagerie est gratuitement disponible sur le site EPHYTIA (France). Dans le doute et pour validation, vous pouvez en tout temps envoyer un échantillon au Laboratoire de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ. C’est sans frais pour ceux et celles qui ont une certification biologique. TRANSPIRATION EXCESSIVE, EXCÈS DE CHALEUR, DÉSHYDRATATION Sans nul doute le plus communément rencontré et pouvant être confondu avec des maladies comme l'alternariose ou le cladosporiose. Remarquez la décoloration légère, les brûlures éparses ou la déshydratation intense entre les nervures principales. Liette Lambert, agr. (MAPAQ) Quand la majorité des plants sont affectés à n'importe quel niveau sur le plant, c'est une réaction à un choc climatique (ex: chaleur extrême, manque d'eau) ou à un produit. Liette Lambert, agr. (MAPAQ) EXCÈS DE SALINITÉ Une cause assez fréquente en lien avec des apports d'engrais trop importants qui causent des brûlures racinaires et empêchent la montée d'eau dans le plant. Les feuilles brûlent lorsqu'il fait trop chaud et que la transpiration qui régule la température foliaire arrête. Liette Lambert, agr. (MAPAQ) PHYTOTOXICITÉS Notez le picotement léger sur le feuillage
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04 août 2020
On observe actuellement sur le concombre toutes sortes de symptômes foliaires et sur tige qui sont parfois difficiles à diagnostiquer. Parce qu’une image vaut mille mots, voici un communiqué visuel qui pourrait vous aider à y voir plus clair afin d’éviter de confondre une maladie fongique avec des virus (ex : Potyvirus
comme SqMV; CMV; MNSV; CGMMV), de la phytotoxicité ou des désordres comme de la transpiration excessive liés à des conditions climatiques ou de culture inadéquates (Consultez l’avertissement 12). En lien avec le visuel des maladies présentées dans cet avertissement, soient alternariose, cercosporiose, chancre gommeux, cladosporiose, corynesporiose, fusariose vasculaire, mildiou, potyvirus, sclérotiniose, un tableau résumé avec hyperliens vers des fiches techniques disponibles en français (en hyperlien à déposer dans LE PARKING) complète l’information sur la fréquence et gravité, les symptômes caractéristiques et à ne pas confondre avec, les conditions favorables, les mode de conservation et de propagation, ainsi que quelques méthode de lutte alternatives. Pour ce qui est des traitements fongiques, référez-vous au Bulletin no 2 sur les fongicides et biofongicides homologués en 2020 dans les cultures maraîchères et fruitières en serre. Afin de vous aider dans votre démarche diagnostique, une clé d’identification par imagerie est gratuitement disponible sur le site EPHYTIA (France). Le site IRIIS Phytoprotection du MAPAQ contient également une clé d’identification par critères à sélectionner ainsi que plusieurs fiches illustrées. Même le site de l’OMAFRA (Ontario) possède une clé diagnostic très simple et en français. Vous retrouverez aussi un guide pratique d’identification des maladies du concombre (2014) en ligne et sur le site de l’Université de Floride (U-Scout) (anglais seulement). Si vous cherchez une fiche technique en anglais, le site Plantwise Knowledge Bank est tout indiqué. Dans le doute et pour validation,
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03 août 2020
Présentation du réseau provincial des serres sentinelles du RAP. Les tétranyques sont en hausse dans toutes les cultures, particulièrement sur le concombre. Une année plutôt calme pour les thrips, mais n'oubliez pas qu'ils se déplacent massivement lorsque l'herbe n'est pas fauchée régulièrement, le long des serres.
Voyez comment les températures extrêmes (tableau) peuvent jouer un rôle dans l'échec de certains agents de lutte biologique. Détection du sphinx de la tomate en Estrie et en Montérégie. Une punaise miride appelée Microtechnites (syn. Halticus) bractatus de plus en plus présente sur le concombre, le poivron, l'aubergine et même le céleri en serre. NOUVEAUTÉ : RÉSEAU DE SERRES SENTINELLES Le réseau des serres sentinelles est un nouveau réseau de surveillance phytosanitaire provincial dans les serres maraîchères. Il a été mis en place par le Réseau d'avertissements phytosanitaires (RAP), au début de l’été 2020, afin de dépister les ravageurs, les maladies et autres problèmes abiotiques (désordres, carences, phytotoxicités) dans des serres de différentes tailles, régies et cultures sur l’ensemble du territoire québécois. Ce réseau est coordonné par la chercheure-entomologiste Geneviève Labrie et la chargée de projet Catherine Sylvestre, du Centre de recherche agroalimentaire de Mirabel (CRAM), ainsi que par l'avertisseure et experte en serriculture au MAPAQ, Liette Lambert. Au total, une vingtaine d’agronomes et autres professionnels formant l’équipe de collaborateurs (MAPAQ, clubs, consultants) visitent une quarantaine d’entreprises serricoles dans 10 régions du Québec. Cette équipe se réunit virtuellement chaque semaine pour partager leurs observations, identifier les problématiques souvent validées par des diagnostics du Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ, discuter des meilleures pistes de solution à utiliser par les producteurs et faire le point sur les projets de recherche en cours.
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22 juillet 2020
On observe divers cas de désordres physiologiques et de carences surtout en lien avec l’irrigation et la transpiration des plants : carence en calcium (pourriture apicale sur tomate et poivron, brûlure de la pointe (tipburn) sur laitue et feuilles en cuillère, dans le concombre), maturation inégale des fruits, carence
en magnésium, fentes de croissance, insolation ou collet vert, microfendillement ou « russeting ». CARENCE EN CALCIUM Les symptômes d’une carence en calcium s’expriment différemment selon les cultures : de la pourriture apicale sur la tomate et le poivron, des jeunes feuilles en cuillère dans le concombre (avertissement No 5), ou encore de la brûlure de pointe (tipburn) dans la laitue. Liette Lambert, agr. (MAPAQ) Julie Marcoux, t.p. (MAPAQ) La carence en calcium est reliée à l’absorption de l’eau par les racines, puis à son transport dans le plant. Le calcium voyage dans l’eau de transpiration, mais aussi grâce à la pression racinaire qui se produit surtout durant la nuit et le matin, avant que les plants ne transpirent activement. Par son rôle direct dans la formation des parois cellulaires, le manque en calcium se verra d’abord au niveau des jeunes tissus à croissance rapide, particulièrement en temps de canicule et d’ensoleillement intense. Le calcium se dirige donc vers les organes qui transpirent le plus, soit les vieilles feuilles au détriment des fruits et des jeunes feuilles. Alors, trop de feuilles peuvent monopoliser le calcium au détriment des fruits qui, par ailleurs, doivent aussi être protégés des rayons du soleil. Il faut trouver le bon équilibre feuilles/fruits. Sachant que 50 % de tout le calcium est absorbé par l’extrémité racinaire, tout ce qui limite l’absorption d’eau par les racines peut causer cette carence : racines déficientes ou malades; excès d’eau qui asphyxie les racines; excès de sels dans le terreau ou dans la solution nutritive qui brûlent les racines; irrigations insuffisantes
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