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Une nouvelle lignée de blé dur présentant une résistance intermédiaire à la fusariose constitue une première au Canada et dans le monde
02 décembre 2021
Depuis son introduction au Canada dans les années 1910, le blé dur est sensible à la fusariose, une maladie fongique. Pour améliorer le rendement et renforcer la résistance des blés à la fusariose, le chercheur et sélectionneur, Yuefeng Ruan, Ph. D. ainsi que son équipe du Centre de recherche et de développement d’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) à Swift Current ont mis au point une nouvelle lignée de blé dur présentant une cote de « résistance intermédiaire » à la fusariose qui est prête à être enregistrée.  (An English version is available: New durum wheat line shows intermediate resistance to fusarium head blight, a first for Canada and the world) Lire la suite
Sauver les nutriments grâce à une science novatrice (en production de maïs)
25 novembre 2021
Certaines cultures comme le maïs et le blé peuvent être infectées par un champignon qui, en se développant, produit des mycotoxines. L'ingestion d'aliments contaminés aux mycotoxines est préjudiciable à la santé du bétail et des humains. Écoutez Christopher Garnham expliquer comment son équipe et lui ont découvert une enzyme qui a le potentiel de diminuer le risque que représente cette toxine. (Balado # 5 / podcast) (Les premiers seize pour cent est la nouvelle série de balados d'Agriculture et Agroalimentaire Canada qui explore les idées les plus fraîches en alimentation et en agriculture. Also available in English: Saving nutrients with novel science) Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 3, 14 mai 2021
14 mai 2021
VER-GRIS MOISSONNEUR signalé dans Charlevoix : dépistage recommandé dans les zones qui ont été touchées en 2020. PERTINENCE DE L’UTILISATION DE FONGICIDES POUR PROTÉGER LE FEUILLAGE DES CÉRÉALES. Pics d’activité des adultes de la MOUCHE DES SEMIS. TIPULE DES PRAIRIES : des dommages pourraient être observés. Télécharger l'enregistrement audio de l'avertissement Lecture audio RAP GC avertissement no 3 du 14 mai 2021    PRÉSENCE DU VER-GRIS MOISSONNEUR DANS CHARLEVOIX : DÉPISTAGE RECOMMANDÉ DANS LES ZONES TOUCHÉES PAR LE RAVAGEUR L’ANNÉE PASSÉE Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les papillons Télécharger l'enregistrement audio de cette section de l'avertissement Lecture audio sur le ver-gris moissonneur (RAP GC avertissement no 3 du 14 mai 2021) Des larves de ver-gris moissonneur (VGM) ont été signalées dans les derniers jours dans un champ de luzerne et quelques champs de légumes dans la région de Charlevoix. En 2020, plusieurs champs de grandes cultures (prairies, avoine-pois, céréales) ont été infestés par des larves de VGM. Le premier cas avait été rapporté au RAP à la mi-juin à Saint-Jean-Port-Joli en Chaudière-Appalaches. Un peu plus tard, des cas ont été rapportés dans la municipalité voisine de Sainte-Louise. Plusieurs champs de la région de Charlevoix et dans plusieurs secteurs (surtout ouest) du Bas-Saint-Laurent (La Pocatière, Saint-Denis, Kamouraska, Saint-Pascal, Rivière-du-Loup, Saint-Arsène, Saint-Hubert et Saint-Germain) ont également été affectés par le ravageur. Certaines cultures ont été complètement détruites par l'insecte. Il est possible que les papillons aient pondu dans les champs des zones affectées à l’automne passé et que les œufs aient survécu en raison de l’hiver doux et du printemps sec. La survie de larves au printemps pourrait aussi être affectée par la présence ou non d’ennemis naturels.   Les vers-gris moissonneurs s'alimentent de feuilles et de tiges en débutant par Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 2, 7 mai 2021
06 mai 2021
Comment évaluer l’impact du gel et du froid sur les grandes cultures? Cet avertissement traite notamment de l’impact du gel sur les céréales déjà en terre et sur le maïs semé à l’aide d’un semoir spécialisé pour l’installation de film plastique.   IMPACT DU GEL ET DU FROID SUR LES SEMIS RÉALISÉS ET À VENIR   Télécharger l'enregistrement audio de l'avertissement   Lecture audio RAP GC avertissement no 2 du 7 mai 2021 Lors de la période de semis et au moment de la levée, les épisodes de gel ou tout simplement de refroidissement peuvent causer du stress ou des dommages aux cultures. La fiche technique Temps froid et gel printanier : effets sur les cultures traite de l’impact du froid lors de la germination et après la levée pour le maïs, le soya et les céréales, et décrit les méthodes pour évaluer les dommages. Semis de céréales Les céréales, semées à l’automne ou au printemps, supportent bien les épisodes de gel et de froid à cette période de l’année. Par ailleurs, les épisodes de gel successifs ont pu endommager certains champs. L’heure est au diagnostic. Les graines non germées résistent bien à des températures glaciales. C’est surtout au moment de la germination que le blé peut être affecté par un épisode de gel. Si la température est bien en dessous du point de congélation, il serait possible de perdre des plants. Les jeunes plants, jusqu’au stade de la 1re feuille, peuvent être vulnérables au gel. Après ce stade, la survie des plants a peu de chance d’être compromise. La température gélive se situe autour de -2 °C pour des expositions prolongées, mais le point de croissance est sous le sol et la céréale est bien protégée. À la suite d'un épisode de gel, voici les symptômes pouvant être observés chez les céréales : rougissement des feuilles, port flasque, jaunissement, dessèchement et pincement sur les feuilles.   À gauche : Semis de seigle de printemps 2021, affecté par la neige et le gel, une journée après un gel de -4 °C Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 1, 16 avril 2021
15 avril 2021
  7 ASTUCES EN CE DÉBUT DE SAISON POUR PROTÉGER LA SANTÉ DE VOS CULTURES   Télécharger l'enregistrement audio de l'avertissement     Plusieurs actions peuvent être mises en œuvre pour prévenir et mieux contrôler les ennemis des grandes cultures tout en favorisant la rentabilité des entreprises agricoles.  1. Planifiez vos rotations En plus des bénéfices économiques découlant de l’amélioration de la qualité des sols, l’alternance d’au moins trois cultures différentes dans un champ donné permet de réduire la pression de certains insectes, mauvaises herbes et maladies. Un sol bien structuré et riche en matière organique rend les racines moins sujettes aux maladies. Autre exemple, la rotation des cultures est très efficace pour contrôler la chrysomèle des racines du maïs. Le printemps est un bon moment pour planifier l'ensemencement d'une céréale d'automne après la culture du soya ou pour planifier vos engrais verts d’automne à la dérobée. 2. Pensez à désherber en début de saison Les températures chaudes des derniers jours ont favorisé la germination et la croissance des mauvaises herbes. Il est donc nécessaire de prévoir dès maintenant une stratégie de désherbage puisque les cultures tirent avantage à être exemptes de mauvaises herbes au moment de la levée. Des périodes critiques durant lesquelles les cultures doivent être préservées de cette compétition pour l’eau, la lumière et les éléments fertilisants ont été établies. Par exemple, la période critique pour le maïs s'étend du stade 2 feuilles au stade 8 feuilles. Les mauvaises herbes qui apparaîtront au-delà de ces périodes auront beaucoup moins d’impacts sur le rendement. Pour en savoir plus sur ces périodes critiques, consultez la fiche technique Désherbage de début de saison. Un retard sur le désherbage des vivaces et des volontaires de céréales d'automne rend l’opération de désherbage plus difficile à réaliser.  Une autre bonne raison de désherber tôt en Lire la suite
17 février 2020
La fusariose de l'épi est une maladie fongique qui touche plusieurs cultures céréalières au Québec. Elle est reconnue comme étant la maladie la plus importante chez le blé et l'orge en Amérique du Nord. Contenu de cette brochure : connaître son ennemi, moyens de lutte, mycotoxines, la recherche, ce que vous pouvez faire. Lire la suite
30 juillet 2019
Fiche technique sur un insecte considéré comme une espèce exotique envahissante. Présente à Montréal, cette espèce pourrait s'attaquer au grandes cultures dans un avenir proche au Québec. Cette fiche technique a été réalisée dans le cadre du projet PV-3.2-DP-CÉROM-5 intitulé « Impact des changements climatiques et mesures d'adaptation pour les ravageurs présents et potentiels en grandes cultures au Québec ». Ce projet a été réalisé en vertu du sous-volet 3.2 du Programme Prime-Vert 2013-2018 et il a bénéficié d’une aide financière du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) par l’entremise du Fonds vert. Ce projet a également bénéficié d’une aide financière du CÉROM et du consortium OURANOS. Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 1, 10 mai 2019
10 mai 2019
7 MOYENS POUR DIMINUER L'UTILISATION DES PESTICIDES EN GRANDES CULTURES Plusieurs actions peuvent être mises en œuvre pour mieux contrôler les mauvaises herbes, les insectes ravageurs et les maladies des grandes cultures, réduire la quantité et optimiser l’utilisation des pesticides, sans pour autant affecter la rentabilité des entreprises agricoles. Vous trouverez ici 7 moyens afin de limiter l’impact de ces produits phytosanitaires sur la santé et l’environnement. 1. Planifiez vos rotations En plus des bénéfices économiques découlant de l’amélioration de la qualité des sols, l’alternance d’au moins trois cultures différentes dans un champ donné permet de réduire la pression de certains insectes, mauvaises herbes et maladies. Un sol bien structuré et riche en matière organique rend les racines moins sujettes aux maladies. Autre exemple, la rotation des cultures est très efficace pour contrôler la chrysomèle des racines du maïs. 2. Pensez à désherber en début de saison Les herbicides sont de loin les pesticides les plus utilisés en grandes cultures. Il est possible d’adopter des méthodes alternatives, comme le désherbage mécanique, afin de diminuer les quantités utilisées. En général, plus on intervient tôt en saison, meilleurs seront les résultats. La compétition exercée par les mauvaises herbes affecte surtout les premiers stades de croissance de la culture. Des périodes critiques durant lesquelles les cultures doivent être préservées de cette compétition pour l’eau, la lumière et les éléments fertilisants ont été établies. Les mauvaises herbes qui apparaîtront au-delà de ces périodes auront beaucoup moins d’impacts sur le rendement. Le fait de retarder le désherbage en fin de période critique ou plus tard peut rendre l’opération de désherbage plus difficile à réaliser, sans compter que l’efficacité du traitement diminue avec la taille des mauvaises herbes et qu'il sera possiblement nécessaire d'utiliser la dose maximale recommandée. Il faut bien lire Lire la suite
Impact de l'adoption de la gestion intégrée des ennemis des cultures sur la rentabilité des entreprises de grandes cultures
15 janvier 2019
Ce projet a permis de mesurer l’impact de l’adoption de la gestion intégrée des ennemis des cultures (GIEC) en grandes cultures. Il a été possible de mettre en commun les données technico-économiques et celles relatives à l’adoption de la GIEC pour un groupe de 124 entreprises se trouvant à la fois dans la banque de données Agritel et celle des plans d’accompagnement en agroenvironnement (PAA). Différentes approches quantitatives ont été utilisées, dont la modélisation économétrique et des approches statistiques. Les résultats les plus significatifs touchent la production de soya alors que dans cette culture, les producteurs dont le pointage d’adoption de la GIEC est au-dessus de la moyenne obtiennent de meilleurs rendements et une meilleure marge sur coûts variables (MCV). Dans les céréales à paille, l’adoption de la GIEC augmente aussi significativement les rendements. Concernant la MCV dans les céréales, la modélisation économétrique ne montre aucun effet, mais le test de différence de moyenne montre un effet. Enfin dans la culture de maïs-grain, un niveau d’adoption de la GIEC au-dessus de la moyenne procure un gain de rendement significatif. L’effet sur la MCV est comme dans les céréales à paille et le test de différence de moyenne montre que les producteurs avec un pointage GIEC au-dessus de la moyenne obtiennent une meilleure MCV. Globalement donc, l’adoption de la GIEC a un effet favorable sur la rentabilité des entreprises de grandes cultures. Peu ou pas d’effet négatif n’a été constaté, sauf sur les coûts de main-d’oeuvre, où on note que les entreprises avec un meilleur indice GIEC ont un coût de main d’oeuvre qui est plus élevé que les autres entreprises. Ce projet a certainement permis d’atteindre les objectifs ciblés et ses retombées seront très importantes pour le secteur des grandes cultures. Lire la suite
16 mai 2017
Ce bulletin de veille traite entre autres des modifications apportées aux règlements de différents pays pour y inclure les organismes issus d’éditions du génome, de l’impact du pollen de riz Bt sur les abeilles domestiques, du potentiel de modifications génétiques offert par la caméline et de nouvelles avancées techniques sur le plan agricole. Lire la suite
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