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12 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
28 janvier 2020
C’est à partir de la fin des années 70 que la lutte pour la reconnaissance professionnelle de l’activité agricole des femmes a permis au Québec tout entier de prendre conscience de leur importante contribution à l’industrie. Historiquement, les femmes entraient en agriculture par la voie du mariage. Ce rapport
social supposait aussi de façon implicite un «travail d’épouse» (Delphy, 2013) ou de femme d’agriculteur, qui consistait à s’occuper des tâches domestiques (à la maison) et de travaux agricoles (sur la ferme) sans rémunération ni statut de propriétaire.
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15 janvier 2019
Ce projet a permis de mesurer l’impact de l’adoption de la gestion intégrée des ennemis des cultures (GIEC) en grandes cultures. Il a été possible de mettre en commun les données technico-économiques et celles relatives à l’adoption de la GIEC pour un groupe de 124 entreprises se trouvant à la fois dans la banque de données
Agritel et celle des plans d’accompagnement en agroenvironnement (PAA). Différentes approches quantitatives ont été utilisées, dont la modélisation économétrique et des approches statistiques. Les résultats les plus significatifs touchent la production de soya alors que dans cette culture, les producteurs dont le pointage d’adoption de la GIEC est au-dessus de la moyenne obtiennent de meilleurs rendements et une meilleure marge sur coûts variables (MCV). Dans les céréales à paille, l’adoption de la GIEC augmente aussi significativement les rendements. Concernant la MCV dans les céréales, la modélisation économétrique ne montre aucun effet, mais le test de différence de moyenne montre un effet. Enfin dans la culture de maïs-grain, un niveau d’adoption de la GIEC au-dessus de la moyenne procure un gain de rendement significatif. L’effet sur la MCV est comme dans les céréales à paille et le test de différence de moyenne montre que les producteurs avec un pointage GIEC au-dessus de la moyenne obtiennent une meilleure MCV. Globalement donc, l’adoption de la GIEC a un effet favorable sur la rentabilité des entreprises de grandes cultures. Peu ou pas d’effet négatif n’a été constaté, sauf sur les coûts de main-d’oeuvre, où on note que les entreprises avec un meilleur indice GIEC ont un coût de main d’oeuvre qui est plus élevé que les autres entreprises. Ce projet a certainement permis d’atteindre les objectifs ciblés et ses retombées seront très importantes pour le secteur des grandes cultures.
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15 janvier 2019
Les cultures de couvertures (CC) sont l’objet d’un engouement important. Lorsque les producteurs et leurs conseillers souhaitent en savoir plus sur la faisabilité de l’une ou l’autre des CC, ils se questionnent sur la faisabilité agronomique bien sûr, mais aussi économique. Ce projet a permis de mieux documenter le potentiel
de rentabilité de différentes CC. Plus de vingt espèces ont été comparées dans trois grandes cultures principales, soit le blé, le maïs-grain et le soya. En raison du petit nombre d’observations, il n’est pas possible de tirer des conclusions claires à l’égard du soya. Toutefois, pour le blé et le maïs grain, les CC de brassicacées et de légumineuses respectivement se démarquent. Ce résultat n’est pas étonnant à l’égard des légumineuses compte tenu de l’azote fourni par ces CC et ce, dans le contexte de base de la méta-analyse de l’Université Laval d’où provenaient les données et qui couvrait l’année d’implantation de la CC et l’année suivante de la culture principale. Dans un contexte de long terme, on peut suggérer que les CC améliorent la qualité du sol et alors, des bénéfices à long terme peuvent apparaître pour des espèces autres que les légumineuses. Les impacts pour le secteur des grandes cultures sont fort importants. Ainsi, les producteurs et leurs conseillers seront mieux en mesure de faire un choix éclairé en matière de CC, en pouvant comparer le potentiel de rentabilité de plus de 20 espèces de CC.
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20 août 2018
Les cultures de couverture (CC) font l’objet d’un engouement important. Un projet mené par l’équipe de recherche en économie de l’agroenvironnement de l’IRDA a permis de mieux documenter le potentiel de rentabilité de différentes CC. Les données agronomiques utilisées provenaient d’une méta-analyse réalisée à l’Université
Laval (Vanasse et al., 2017) et plus de 20 espèces de CC ont été comparées dans 3 grandes cultures principales, soit le blé, le maïs-grain et le soya. La mesure de rentabilité est la marge brute de production (MBP) et cette mesure a été analysée sous différents angles (ex. : système de production biologique vs conventionnel). À ce jour, c’est à notre connaissance l’étude de rentabilité des cultures de couverture la plus approfondie au Québec. Cette deuxième de quatre fiches compare les MBP par système de production, soit le biologique vs le conventionnel, et les résultats sont présentés aux tableaux 1 et 2. Le résultat des valeurs de MBP présenté ci-dessous est partiel, car certaines données d’intrants n’étaient pas disponibles dans les résultats agronomiques émanant de la méta-analyse. Dans ce contexte, les résultats ne doivent pas être appréciés pour leur valeur absolue, mais plutôt pour comparer le potentiel des différentes CC. Consultez les autres fiches "Potentiel de rentabilité des cultures de couverture" : Fiche 1 - Potentiel de rentabilité des cultures de couverture Fiche 3 - Implantation à la dérobée VS intercalaire Fiche 4 - Coût de fertilisation
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20 août 2018
Les cultures de couverture (CC) font l’objet d’un engouement important. Un projet mené par l’équipe de recherche en économie de l’agroenvironnement de l’IRDA a permis de mieux documenter le potentiel de rentabilité de différentes CC. Les données agronomiques utilisées provenaient d’une méta-analyse réalisée à l’Université
Laval (Vanasse et al., 2017) et plus de 20 espèces de CC ont été comparées dans 3 grandes cultures principales, soit le blé, le maïs-grain et le soya. La mesure de rentabilité est la marge brute de production (MBP) et cette mesure a été analysée sous différents angles (ex. : système de production biologique vs conventionnel). À ce jour, c’est à notre connaissance l’étude de rentabilité des cultures de couverture la plus approfondie au Québec. Cette première de quatre fiches compare les MBP par espèce de culture principale et par espèce de CC et les résultats sont présentés aux tableaux 1 à 3. Le résultat des valeurs de MBP présenté ci-dessous est partiel, car certaines données d’intrants n’étaient pas disponibles dans les résultats agronomiques émanant de la méta-analyse. Dans ce contexte, les résultats ne doivent pas être appréciés pour leur valeur absolue, mais plutôt pour comparer le potentiel des différentes CC. Consultez les autres fiches "Potentiel de rentabilité des cultures de couverture" : Fiche 2 - Agriculture biologique VS agriculture conventionnelle Fiche 3 - Implantation à la dérobée VS intercalaire Fiche 4 - Coût de fertilisation
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20 août 2018
Les cultures de couverture (CC) font l’objet d’un engouement important. Un projet mené par l’équipe de recherche en économie de l’agroenvironnement de l’IRDA a permis de mieux documenter le potentiel de rentabilité de différentes CC. Les données agronomiques utilisées provenaient d’une méta-analyse réalisée à l’Université
Laval (Vanasse et al., 2017) et plus de 20 espèces de CC ont été comparées dans 3 grandes cultures principales, soit le blé, le maïs-grain et le soya. À ce jour, c’est à notre connaissance l’étude de rentabilité des cultures de couverture la plus approfondie au Québec. Cette troisième de quatre fiches compare les MBP par mode d’implantation, soit à la dérobée, en intercalaire ou en pleine saison. Le résultat des valeurs de MBP présenté ci-dessous est partiel, car certaines données d’intrants n’étaient pas disponibles dans les résultats agronomiques émanant de la méta-analyse (ex. : herbicides). Dans ce contexte, les résultats ne doivent pas être appréciés pour leur valeur absolue, mais plutôt pour comparer le potentiel des différentes CC. Consultez les autres fiches "Potentiel de rentabilité des cultures de couverture" : Fiche 1 - Potentiel de rentabilité des cultures de couverture Fiche 2 - Agriculture biologique VS agriculture conventionnelle Fiche 4 - Coût de fertilisation
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20 août 2018
Les cultures de couverture (CC) font l’objet d’un engouement important. Un projet mené par l’équipe de recherche en économie de l’agroenvironnement de l’IRDA a permis de mieux documenter le potentiel de rentabilité de différentes CC. Les données agronomiques utilisées provenaient d’une méta-analyse réalisée à l’Université
Laval (Vanasse et al., 2017) et plus de 20 espèces de CC ont été comparées dans 3 grandes cultures principales, soit le blé, le maïs-grain et le soya. La mesure de rentabilité est la marge brute de production (MBP) et cette mesure a été analysée sous différents angles (ex. : système de production biologique vs conventionnel). À ce jour, c’est à notre connaissance l’étude de rentabilité des cultures de couverture la plus approfondie au Québec. Cette dernière de quatre fiches traite des coûts de fertilisation et des semences de CC. De plus, une analyse de sensibilité est présentée en faisant varier les coûts des fertilisants et les résultats de l’analyse sont présentés aux tableaux 1 à 3. Le résultat des valeurs de MBP présenté ci-dessous est partiel, car certaines données d’intrants n’étaient pas disponibles dans les résultats agronomiques émanant de la méta-analyse. Dans ce contexte, les résultats ne doivent pas être appréciés pour leur valeur absolue, mais plutôt pour comparer le potentiel des différentes CC. Consultez les autres fiches "Potentiel de rentabilité des cultures de couverture" : Fiche 1 - Potentiel de rentabilité des cultures de couverture Fiche 2 - Agriculture biologique VS agriculture conventionnelle Fiche 3 - Implantation à la dérobée VS intercalaire
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16 février 2017
Les PGQ développent actuellement une série d'aide-mémoire avec l'objectif de mettre à la disposition des producteurs des outils utiles pour améliorer la performance de leurs entreprises. Le premier aide-mémoire porte sur les pratiques de gestion en matière de gouvernance et de résilience économique. Ce document
de travail invite les producteurs à faire l’autoévaluation de leurs pratiques de gestion à la ferme. Le document permet également d’accéder à des données ou à des références sous forme de liens hypertextes
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09 juillet 2015
Ce rapport présente les études économiques de pratiques agronomiques ou agroenvironnementales mises à l'essai dans des projets de recherche en grandes cultures réalisés récemment au Québec. Il présente des seuils de rentabilité à
atteindre, des nalyses de sensibilité et des stratégies à adopter pour récupérer les coûts des pratiques proposées.
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24 juillet 2014
Ce guide met l’accent sur les pratiques culturales (travail du sol, semis, fertilisation, lutte intégrée, rotations, etc.) applicables aux céréales à paille, dont l’orge, l’avoine et le blé, selon les systèmes de production conventionnelle, biologique ou sans intrants chimiques. Les aspects économiques de la production,
le choix des cultivars, la récolte et la conservation, la production de grains pour les marchés spécialisés (orge brassicole, sarrasin, etc.) et les critères de l’industrie pour les différents marchés sont également abordés. Un ouvrage incontournable pour mieux comprendre les facteurs environnementaux et culturaux qui influencent le développement des céréales et les rendements et pour saisir les opportunités de production. Pour en savoir plus Une initiative du Comité céréales du CRAAQ
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