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25 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
30 août 2022
Les céréales d'automne présentent de multiples attraits économiques et environnementaux par rapport aux céréales de printemps, mais plusieurs producteurs hésitent encore à les implanter. Ce rapport présente les résultats d'un projet mené au cours des années 2019-2020 et 2020-2021 dont l’objectif était de démontrer
les gains de productivité et économiques des céréales d'automne, leurs bénéfices pour la santé des sols, ainsi que pour la réduction de la pression des adventices et l’usage de pesticides. Des essais ont été réalisés chez des producteurs dans dix régions du Québec ainsi qu'en parcelles expérimentales. Également, une analyse économique a été effectuée sur chaque site d'essai à la ferme afin d'évaluer la profitabilité des céréales d'automne par rapport aux céréales de printemps.
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02 mars 2022
Du sarrasin et des abeilles aux cultures de couverture et semis directs, nous explorons comment Henry Denotter, producteur du bassin versant de Wigle Creek, et Pamela Joosse, spécialiste de la gestion des sols et des éléments nutritifs, ont travaillé ensemble pour réduire la pollution du lac Érié dans le cadre des Laboratoires
vivants d'Agriculture et Agroalimentaire Canada. (Les premiers seize pour cent est la série de balados d'Agriculture et Agroalimentaire Canada qui explore les idées les plus fraîches en alimentation et en agriculture. The podcast is also available in English: Resolving soil nutrient loss and pollution in Lake Erie)
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08 décembre 2021
Des cultures très importantes, dont le maïs, sont sensibles aux phénomènes météorologiques extrêmes comme les sécheresses prolongées, et ces phénomènes se produiront probablement plus souvent dans l’avenir. C’est pourquoi des chercheurs d’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) se sont rendus dans les champs pour
étudier comment diverses rotations de cultures peuvent aider le maïs à répondre à des conditions météorologiques extrêmes tout en améliorant la santé du sol pour la production future. An English version is also available: Diverse crop rotations shown to increase yields, improve soil health and lower GHGs)
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10 février 2021
Ce document présente le rapport final d'un projet de développement et de transfert de connaissances en agroenvironnement. L'objectif principal de ce projet était de favoriser l'adoption de pratiques de conservation des sols tels que le semis direct et les cultures de couverture en Chaudière-Appalaches. Il visait notamment
à favoriser chez les entreprises agricoles l'acquisition des connaissances nécessaires à la réussite d'une implantation de soya dans une culture vivante de seigle d'automne en semis direct. Le projet a permis de comparer les rendements du soya dans des parcelles semées avec ou sans seigle d'automne. Le projet a aussi permis de documenter la pratique sur plusieurs aspects soit notamment, la performance du seigle, le contrôle des mauvaises herbes et la qualité du sol.
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13 juin 2019
Les rendements de deux cultivars de blé de printemps, Triticum æstivum L. cv Major et Triticum æstivum L. cv Fuzion, ont été comparés en agriculture conventionnelle et biologique. Les cultures ont été établies sur deux sites situés dans deux zones agroclimatiques différentes, soit Nicolet (zone 2) et Saint-Hyacinthe (zone
1) en 2016 et en 2017. La désoxynivalénol (DON), le pourcentage de protéines, le poids de 1000 grains, l’indice de chute, le GlutoPeak et le poids spécifique ont été mesurés. Ces variables ont été analysées par l’arbre de régression multivariable (groupement sous contrainte) et la MANOVA par analyse de redondance (ordination canonique). En 2016 comme en 2017, années marquées, la première par une compétition intensive d’adventice en culture biologique et la seconde par des infestations de fusariose, les résultats obtenus avec le cultivar Major sont meilleurs que ceux du Fuzion eu égard au test GlutoPeak, au pourcentage de protéine et au poids de 1000 grains, mais pour l’indice de chute, le rendement et le poids spécifique, aucune différence n’a été observée. En 2016, année sèche et favorable, il y a autant d’hétérogénéité entre les types d’agriculture d’une part, et les sites d’un même type d’agriculture et les cultivars d’autre part, ce qui rend difficile un avis sur la valeur comparée de l’un ou l’autre type d’agriculture, ou de l’un ou l’autre des cultivars. Il en va de même pour le DON. On remarque toutefois que pour les sites non perturbés par des adventices, le rendement en agriculture biologique est aussi bon qu’en agriculture conventionnelle.
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07 février 2019
Ce projet comportait plusieurs éléments d’intérêt en ce qui concerne le travail conventionnel et réduit du sol, de même que le semis direct. À cet effet, un essai comparatif a été élaboré durant trois années consécutives sur quatre sites distincts à raison de deux sites par année soit pour les saisons 2014, 2015
et 2016. Cinq méthodes de travail de sol ont été mises à l’essai soit un témoin en travail conventionnel, trois méthodes de travail réduit et une en semis direct. Il s’agissait d’essais en plein champ, réalisés à la ferme pour lesquels les opérations culturales ont été réalisées à forfait par des agriculteurs intéressés par la démarche expérimentale. Les résultats obtenus ont démontré que certaines méthodes de travail réduit se distinguent avantageusement en terme économique et au niveau agroenvironnemental. Ils nous ont également permis de faire avancer notre niveau de connaissance en regard au travail du sol et des essais à la ferme.
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28 juillet 2017
Au cours des dernières années, les producteurs ont du avoir recours à l'utilisation de semences traitées avec des insecticides pour lutter notamment contre les ravageurs des semis dans les grandes cultures au Québec. Parmi les ravageurs des semis, les vers fil-de-fer (larve de taupins) peuvent attaquer les grains lors de
la germination, mais dans la majorité des parcelles dépistées au Québec depuis 2011, le nombre de vers fil-de-fer et les dégâts occasionnés ne justifient pas l'utilisation de semences traitées. Peu de choses sont publiées sur les vers fil-de-fer qui peuvent être confondus avec différentes larves et autres arthropodes également présents dans le sol. Enfin, ces organismes de petites tailles sont difficilement identifiables, car très peu d'outils d'identification visuelle sont disponibles actuellement pour caractériser ces importants ravageurs des semis. Dans ce contexte, il convenait donc de développer des méthodes de reconnaissance fiables qui permettront de considérablement mieux identifier et gérer les populations de vers fil-de-fer, en favorisant une approche raisonnée et intégrée, plus respectueuse de notre environnement et de notre santé. Notre objectif était donc de fournir des outils visuels conviviaux pour les agronomes, conseillers des clubs-conseil, dépisteurs et producteurs afin qu'ils puissent avoir une meilleure connaissance des neuf genres de vers fil-de-fer présents au Québec et qu'ils soient en mesure de reconnaître plus facilement ces espèces. Des fiches descriptives de chacun des neuf genres présents au Québec, ont donc été élaborées selon les connaissances disponibles et publiées au moment de leur conception, principalement sur la base de données canadiennes. Ces fiches ont été mises en pages et utilisées pour la réalisation d’un guide d’identification des vers fil-de-fer dans les grandes cultures au Québec. Ce document de 44 pages, disponible en version papier et numérique permet également d’offrir aux utilisateurs (chercheurs,
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