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80 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
21 décembre 2018
Le présent bulletin zoosanitaire s’adresse aux médecins vétérinaires et aux intervenants du secteur porcin. Il fait le point sur la peste porcine africaine et présente l’information pertinente, dans le contexte actuel, en vue de maintenir un état de vigilance élevé. Pour en savoir plus, consulter la page Québec.ca
- Réseau d’alerte et d’information zoosanitaire (RAIZO).
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10 décembre 2018
Peste porcine africaine Ces outils de communication ont été diffusés par le Conseil canadien du porc à leurs producteurs, mais s’appliquent également aux sangliers. Vidéo qui explique ce qu’est la peste porcine africaine (sous-titré en français) : https://www.youtube.com/watch?v=eyQ4t1wHl2M&feature=youtu.be
Mise à jour sur la maladie et sa situation dans le monde : https://www.cpc-ccp.com/uploads/userfiles/files/African%20Swine%20Fever%20Update%20to%20Producers%20Aug%202018%20-%20FR.pdf Précautions à suivre pour les déchets de tables et les voyageurs : https://www.cpc-ccp.com/uploads/userfiles/files/AFS%20for%20small%20scale%20producers%20and%20pet%20owners_FR.pdf Informations spécifiques sur les aliments pour animaux et ceux qui ont une moulange à la ferme : https://www.cpc-ccp.com/uploads/userfiles/files/PPA%20et%20moulange.pdf
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27 mars 2024
Le sanglier continental d’Europe occidentale (Sus scrofa scrofa) possède 36 chromosomes, alors que le porc domestique (Sus scrofa domesticus) en possède 38. Leurs hybrides en possèdent 37, 36 ou 38. La présence de gènes porcins dans une population de sangliers rend plus complexe une mise en marché honnête
du produit et est préjudiciable à l’élevage. La morphologie du sanglier est par ailleurs relativement différente de celle de la majorité de ses cousins (porc, pécari, phacochère) : aspect trapu, coloration variant de pâle à sombre, pilosité abondante, groin allongé. Peu importe la finalité de l’entreprise (production de viande uniquement ou élevage pour la chasse), l’élevage du sanglier se pratique en semi-liberté. Une des techniques employées consiste à garder dans des enclos des reproducteurs sélectionnés et à les séparer en hardes comportant chacune moins de 20 femelles (laies) et 2 mâles reproducteurs, que l’on pourra contrôler et traiter efficacement. Afin d’augmenter ses chances de succès, l’éleveur de sangliers doit bien connaître les moeurs de l’espèce ainsi que son cycle de reproduction. La reproduction varie en fonction de nombreux paramètres, notamment le climat, l’alimentation et la quiétude de l’habitat ou du site d’élevage. Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques
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28 mars 2024
Ce feuillet se veut un résumé des principales maladies qui peuvent apparaître dans un élevage de sangliers. Il ne décrit pas tous les problèmes possibles, notamment les maladies reproductives des laies, et il est important de faire appel à un vétérinaire pour le suivi de l’élevage, tant au point de vue préventif
que curatif. Le vétérinaire établit un programme de médecine préventive comportant des conseils en matière de biosécurité, de vermifugation et de vaccination, si nécessaire, afin d’éviter des problèmes parfois onéreux à traiter. Le vétérinaire est également en mesure de conseiller l’éleveur pour l’achat d’animaux et de vérifier si le statut sanitaire des sujets qu’il prévoit acheter est compatible avec celui de son élevage. Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques
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28 mars 2024
Les informations et recommandations présentées dans ce feuillet sont le résultat d’un travail collaboratif basé sur l’expertise des auteurs en nutrition animale ou en élevage du sanglier au Québec et d’une adaptation de diverses publications traitant de l’alimentation du sanglier. Consulter la collection Les Grands
Gibiers Domestiques
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28 mars 2024
Le consommateur québécois est de plus en plus friand de nouveautés alimentaires et de nouvelles saveurs. Le contexte actuel offre donc des opportunités intéressantes pour des productions comme le sanglier. Reconnue comme un produit haut de gamme, la viande de sanglier a d’abord été consommée dans les grands
restaurants, les tables champêtres ou en méchoui. Aujourd’hui, l’augmentation du nombre de ventes à la ferme, la présence plus soutenue de cette venaison dans les marchés d’alimentation et la popularité des produits transformés comme la saucisse témoignent d’un renouveau dans les habitudes alimentaires des Québécois. Dans un tel contexte, il importe d’offrir au consommateur un produit de grande qualité qui saura satisfaire ses attentes aussi bien que ses papilles. Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques
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28 mars 2024
Le sanglier est un proche parent du porc. En ce sens, plusieurs équipements conçus pour l’espèce porcine peuvent être adaptés pour l’élevage de sangliers. Le sanglier a toutefois un comportement très différent (il est notamment plus nerveux, plus agile et plus rapide) et passe une bonne partie de sa vie à l’extérieur. Pour
être fonctionnelles et sécuritaires, les installations doivent tenir compte de ces particularités, car on ne peut manipuler le sanglier de la même façon que le porc. Globalement, un élevage de sangliers comporte des enclos pour les reproducteurs et des enclos pour les animaux en croissance, incluant des aires d’alimentation et d’abreuvement. Les laies doivent pouvoir mettre bas dans un endroit isolé du reste du troupeau. Il faut être en mesure de manipuler les sangliers de façon sécuritaire et prévoir un système, aussi simple soit-il, pour recevoir, trier et expédier des animaux. Ce document puise ses sources principalement dans les commentaires recueillis auprès d’éleveurs qui ont accepté de partager le fruit de leur expérience. La domestication du sanglier est beaucoup plus récente que celle du porc et l’élevage de sangliers est encore jeune au Québec. Par conséquent, bon nombre des méthodes d’élevage actuellement utilisées sont le résultat de plusieurs années d’essais et d’erreurs. Il est évident que les prochaines années verront apparaître plusieurs versions améliorées des concepts présentés dans ce document. La visite d’élevages existants est une bonne façon de profiter de l’expérience d’autres éleveurs afin d’améliorer ses propres installations, mais ce n’est pas toujours possible. Une autre avenue consiste à communiquer avec l’Association des producteurs de sangliers du Québec (APSQ) ou les réseaux Agriconseils pour trouver un conseiller. On trouve aussi beaucoup d’information dans le DVD produit par la Fédération des éleveurs de grands gibiers du Québec sur
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28 mars 2024
Pour tout éleveur de gibier, la prévention doit être une priorité. En effet, les bonnes conditions alimentaires et sanitaires vont beaucoup contribuer à un bon état de santé de l’élevage. Il faut se rappeler que les mauvaises conditions d’élevage vont affaiblir et stresser les animaux et ainsi prédisposer ceux-ci
aux maladies. Par ailleurs, l’efficacité des traitements tant préventifs que curatifs sera grandement influencée par les conditions d’élevage, car les problèmes rencontrés sont souvent multifactoriels. Ce feuillet met donc en évidence les différentes mesures préventives pouvant être utilisées dans les élevages de gibiers tels le sanglier, le wapiti, le cerf et le bison. Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques
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28 mars 2024
Le bison, le wapiti, le cerf rouge et le sanglier sont quatre espèces de grands gibiers élevés au Québec, entre autres pour leur viande. Qu’il s’agisse d’un monogastrique comme le sanglier ou de ruminants comme le bison, le wapiti et le cerf rouge, les principes de base de la nutrition et de l’alimentation qui s’appliquent
sont les mêmes. L’animal ingère une certaine quantité d’aliments composés d’eau et de matière sèche. La matière sèche fournit les nutriments : l’énergie, les protéines, les minéraux et les vitamines. Enfin, il convient de rappeler l’importance de l’eau que les animaux boivent (eau de boisson). Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques
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28 mars 2024
Liste des feuillets de la la collection : Le guide d’élevage « Les grands gibiers domestiques » se compose de 21 feuillets techniques distincts traitant de l’élevage du cerf rouge, du wapiti, du bison et du sanglier. Outre le démarrage d’une entreprise, l’amélioration génétique, la médecine préventive, la viande et la
commercialisation, ce guide d’élevage sur les grands gibiers s’intéresse à la gestion de la reproduction, aux principales maladies, à l'alimentation et aux installations d’élevage de chaque espèce. Ces feuillets sont aussi offerts à l’unité ou en collections (cerf rouge, wapiti, bison, sanglier). Liste des feuillets de la collection : Les Grands Gibiers Domestiques - Génétique - Principes de base Les Grands Gibiers Domestiques - Évaluation du cerf rouge en vue de la reproduction Les Grands Gibiers Domestiques - Gestion de la reproduction du cerf rouge Les Grands Gibiers Domestiques - Gestion de la reproduction du wapiti Les Grands Gibiers Domestiques - Gestion de la reproduction du bison Les Grands Gibiers Domestiques - Gestion de la reproduction du sanglier Les Grands Gibiers Domestiques - Commercialisation - Un survol Les Grands Gibiers Domestiques - Viande de cervidés - Un survol Les Grands Gibiers - Viande de sanglier - Un survol Les Grands Gibiers Domestiques - Médecine préventive - Un survol Les Grands Gibiers Domestiques - Principales maladies du cerf rouge et du wapiti Les Grands Gibiers Domestiques - Principales maladies du bison Les Grands Gibiers Domestiques - Principales maladies du sanglier Les Grands Gibiers Domestiques - Installations pour les cervidés - Résumé des concepts clés Les Grands Gibiers Domestiques - Installations pour les bisons - Résumé des concepts clés Les Grands Gibiers Domestiques - Installations pour les sangliers - Résumé des concepts clés Les Grands Gibiers Domestiques - Nutrition et alimentation - Principes de base Les Grands Gibiers Domestiques - Nutrition et alimentation du cerf rouge et du wapiti Les Grands Gibiers
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