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07 août 2023
Les petits fruits, qu'ils soient communs comme la fraise (Fragaria x ananassa), la framboise (Rubus idaeus L.), la mûre (Rubus spp.), le bleuet (Vaccinium angustifolium Ait. et Vaccinium corymbosum L.) et la canneberge ( Vaccinium macrocarpon), ou moins connus comme le cassis (Ribes nigrum L.), la gadelle (Ribes spp.), la groseille à maquereau (Ribes grossularia L.), la baie de sureau (Sambucus coerulea) et l'airelle rouge ( Vaccinium paruifolium), sont appréciés pour leur saveur, leur apparence et leur qualité nutritive. Le raisin (Vitis labrusca et Vitis vinifera L.) peut aussi être compté dans ce groupe, mais il n'a pas été considéré dans le présent manuel. Comme ils ne peuvent généralement être récoltés et commercialisés que sur une brève période, les petits fruits frais ne sont pas offerts longtemps sur le marché. Leur courte durée de conservation limite autant les possibilités commerciales du producteur que la disponibilité du produit pour le consommateur. Toutefois, si tout le soin requis est apporté à la récolte et au conditionnement, la qualité des petits fruits frais peut être préservée et leur durée de conservation de même que leur disponibilité peuvent être accrues. Dans cet ouvrage, plusieurs facteurs influant sur la qualité et la durée de conservation des petits fruits sont examinés : biologie, pratiques culturales, méthodes de récolte, matériel d'emballage, mode de refroidissement, méthodes de conservation (réfrigération, atmosphère contrôlée, conditionnement sous atmosphère modifiée), manutention et transport. Pour être en mesure d'offrir au consommateur des petits fruits de grande qualité, il faut prendre chacun de ces facteurs en compte. Lire la suite
10 juin 2019
L'anthracnose est une des maladies cryptogamiques parmi celles qui cause le plus de problèmes dans la culture du bleuet en corymbe en Amérique du Nord. Au Québec, il s’agissait d’une maladie mineure jusqu’à l'intensification de la production depuis le début des années 2000, avec notamment l’implantation de la variété Patriot, très sensible à cette maladie. L’infection des fruits par l’anthracnose peut se produire n’importe quand entre la floraison et la récolte, cependant les symptômes ne deviennent visibles qu’à partir du mûrissement des fruits lorsque le champignon va croître. Une stratégie d'intervention contre cette maladie a été étudiée au Québec en 2012 et 2013 (Lacroix et al., 20141). Il en ressort que de façon générale, plus les pulvérisations sont nombreuses, plus l’incidence de l’anthracnose à la récolte est faible. Dans ce contexte, il apparaît important d'évaluer des biofongicides et des fongicides à risque réduit afin d'offrir des alternatives aux producteurs. C’est ce qui a été réalisé pendant deux ans d’essai par CIEL chez un producteur volontaire. Ainsi, neufs biofongicides ou fongicides avec un indice de risque IRE et IRS faible ont été testés sur deux ans. En 2017: Prestop, Actinovate, Sil-Matrix, Fungastop, Evito 480 SC, Serenade Opti + Nu-Film P et Rootshield HC ; en 2018 : Prestop + Nu-Film P, Actinovate, Sil-Matrix, Fungastop, Evito 480 SC, Diplomat 5 SC et Botector ont été testés en comparaison avec un témoin non traité et un témoin commercial (Cabrio EG) dans une bleuetière avec un historique d'anthracnose. Lire la suite
06 mars 2019
Ces fiches techniques ont été conçues afin d’aider les producteurs et les intervenants à mieux identifier et connaître les espèces adventices (mauvaises herbes) des bleuetières et à intervenir efficacement à l’aide de solutions écologiques. Des combinaisons de plusieurs traitements, tel le passage d’un coupe-racine, l’application d’un paillis de résineux, le fauchage de la partie supérieure des adventices, la taille au sol de la végétation par fauchage ou brûlage, ont été mises à l’essai et certaines se sont avérées efficaces. Ces moyens de contrôle écologique ainsi que les stades phénologiques des adventices sont présentés ici de façon détaillée et imagée à l’aide de nombreuses photographies prises en champs. Les stades phénologiques ont été suivis sur la Côte-Nord. Leur succession dans le temps sera la même mais pourra être décalée dans le temps selon la situation géographique et la continentalité des régions. Ainsi, les stades présentés seront plus hâtifs dans une région continentale et située plus au sud. L’efficacité des solutions écologiques à l’essai a été évaluée et est présentée ici en pourcentage de diminution du recouvrement de la plante et ce, l’année suivant l’application du traitement. Ève-Catherine Desjardins, chercheuse dans le domaine des petits fruits nordiques CEDFOB   Lire la suite
23 mai 2017
Cette affiche présente en un coup d'œil plusieurs informations utiles en PFI concernant les traitements phytosanitaires pour le bleuet en corymbe. Vous y retrouverez : Le nom commercial des produits, la matière active et le groupe de pesticide L'efficacité des fongicides, insecticides et acaricides sur les principaux ravageurs et maladies Les cotes de toxicité sur les ennemis naturels Les délais de rentrée (DRE) Les délais avant récolte (DRA) Les indices de risque pour la santé et pour l’environnement (IRS et IRE) Les produits qu’il est possible d’utiliser en régie biologique Consultez également le Guide des traitements phytosanitaires du bleuet en corymbe pour plus d’informations sur les traitements et les doses recommandées. Lire la suite
21 janvier 2016
Conférence prononcée dans le cadre des journées horticoles et grandes cultures 2015, tenues à Saint-Rémi.  
21 janvier 2016
Conférence prononcée dans le cadre des journées horticoles et grandes cultures 2015, tenues à Saint-Rémi.  
13 août 2014
Cette étude consiste à caractériser et à quantifier l’apport de l’irrigation par aspersion d’eau afin de contrer le gel et la sécheresse ainsi que de la Megachile rotundata, une abeille introduite pour fin de pollinisation, à la production des bleuetières. L’influence de cette aspersion sur les fleurs et la mise à fruit est évaluée en laboratoire et viendra bonifier l’étude terrain. Parallèlement, un inventaire des taxons et une étude de leur distribution temporelle et spatiale (distribution horizontale et verticale) ont été réalisés dans huit bleuetières du Lac-Saint-Jean et de la Côte-Nord. Lire la suite
20 mai 2014
Les plants de bleuets produisent un plus grand nombre de bleuets, et de plus gros, s'ils sont visités par des espèces d'abeilles plus diversifiées. Dans cette étude de la North Carolina State University, l'augmentation de rendement a été évaluée  à 311 $/acre pour chaque groupe additionnel de pollinisateurs qui s'ajoute au groupe initial. Par exemple, l'augmentation est de 311 $/acre pour deux groupes d'abeilles, et de 622 $/acre pour trois groupes. La prochaine étape consiste à identifier comment accroître cette diversité en termes pratiques. Lire la suite
24 février 2011
 Objectif B : Réduire l’application des herbicides Volet 4 : Évaluation des pratiques ayant le meilleur potentiel de réduction des herbicides dans la production du bleuet nain  Cette étude s’inscrit dans le cadre du projet d’essai et expérimentation sur la pollinisation et la réduction des herbicides dans la production du bleuet nain au Saguenay–Lac-Saint-Jean.  Le présent document est une étude synthèse visant à présenter et évaluer les pratiques de gestion intégrée, plus particulièrement la lutte intégrée aux mauvaises herbes, dans la production du bleuet nain.   Lire la suite
24 février 2011
   Objectif B : Réduire l’application des herbicides Volet 3 : Évaluation de divers moyens de lutte biologique  Le présent document fait référence à l’objectif B du projet Essais et expérimentation sur la pollinisation et la réduction des herbicides dans la production du bleuet nain au Saguenay–Lac-Saint-Jean. Cet objectif porte sur la réduction de l’application des herbicides en production du bleuet nain, dont le volet 3 prévoyait l’évaluation expérimentale de trois méthodes de lutte alternatives à l’utilisation de l'hexazinone pour contrôler les mauvaises herbes dans les bleuetières.   Lire la suite
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