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188 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
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27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se
rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque. La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial.
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27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se
rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque. La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial.
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26 mars 2024
Au Québec, la culture de la fraise est soumise à une forte pression de ravageurs. Parmi ceux-ci, deux acariens phytophages, le tarsonème du fraisier (Phytonemus pallidus) et le tétranyque à deux points (Tetranychus urticae), et une maladie fongique, le blanc du fraisier (Sphaerotheca macularis f. sp. Fragariae), causent
très souvent des dommages à la culture. Plusieurs produits sont homologués au Québec pour lutter contre ces ravageurs, mais peuvent présenter des indices de risques élevés pour la santé et l’environnement. Le Vegol est un pesticide à risques réduits qui est homologué au Canada pour lutter contre ces trois ennemis dans la fraise. C’est un biopesticide de contact à large spectre d’action qui a pour matière active l’huile de canola à 96 %. Il agit en empêchant la germination des spores et en provoquant la suffocation des insectes et des acariens. Bien qu’il soit disponible, ce produit demeure sous-utilisé, entre autres, parce que des observations laissent supposer qu’il peut s’avérer phytotoxique sous certaines conditions. Cet essai est divisé en deux phases. La phase 1 a pour objectif de déterminer les conditions et les facteurs climatiques sous lesquels le Vegol peut causer de la phytotoxicité. L’objectif de la phase 2 est de documenter l’efficacité du Vegol contre les acariens phytophages (tarsonème du fraisier et tétranyque à deux points) et une maladie fongique (blanc du fraisier). La première phase du projet a permis de démontrer que l’utilisation du Vegol était sécuritaire sous diverses conditions. Cependant, au terme de la deuxième phase, il n’est pas possible de conclure quant à l’efficacité du Vegol contre les ravageurs ciblés. La pression des ravageurs acariens ciblés a été trop faible lors des essais terrains pour observer la diminution des populations. Pour le blanc, la pression exercée a été plutôt variable, ce qui n'a pas permis de démontrer une atténuation des symptômes.
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26 mars 2024
Au Québec, la culture de la fraise est soumise à une forte pression de ravageurs. Parmi ceux-ci, deux acariens phytophages, le tarsonème du fraisier (Phytonemus pallidus) et le tétranyque à deux points (Tetranychus urticae), et une maladie fongique, le blanc du fraisier (Sphaerotheca macularis f. sp. Fragariae), causent
très souvent des dommages à la culture. Plusieurs produits sont homologués au Québec pour lutter contre ces ravageurs, mais peuvent présenter des indices de risques élevés pour la santé et l’environnement. Le Vegol est un pesticide à risques réduits qui est homologué au Canada pour lutter contre ces trois ennemis dans la fraise. C’est un biopesticide de contact à large spectre d’action qui a pour matière active l’huile de canola à 96 %. Il agit en empêchant la germination des spores et en provoquant la suffocation des insectes et des acariens. Bien qu’il soit disponible, ce produit demeure sous-utilisé, entre autres, parce que des observations laissent supposer qu’il peut s’avérer phytotoxique sous certaines conditions. Cet essai est divisé en deux phases. La phase 1 a pour objectif de déterminer les conditions et les facteurs climatiques sous lesquels le Vegol peut causer de la phytotoxicité. L’objectif de la phase 2 est de documenter l’efficacité du Vegol contre les acariens phytophages (tarsonème du fraisier et tétranyque à deux points) et une maladie fongique (blanc du fraisier). La première phase du projet a permis de démontrer que l’utilisation du Vegol était sécuritaire sous diverses conditions. Cependant, au terme de la deuxième phase, il n’est pas possible de conclure quant à l’efficacité du Vegol contre les ravageurs ciblés. La pression des ravageurs acariens ciblés a été trop faible lors des essais terrains pour observer la diminution des populations. Pour le blanc, la pression exercée a été plutôt variable, ce qui n'a pas permis de démontrer une atténuation des symptômes.
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30 octobre 2023
Présentation des outils utilisés par le CETAB+ pour l'entretien du couvre-sol enherbé au Verger du boisé des frères: Faucheuse avec ailes réglables de Van Wamel Perfect Tracteur à gazon à montage frontal Kubota Tondeuse à rang sur porte-outils Clemens Radius SL Plus Tondeuses robot Husqvarna Automower 435X AWD et Automower
450XH Ce projet a été financé par l’entremise du Programme de développement sectoriel, en vertu du Partenariat canadien pour l’agriculture, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec.
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