Ce site bilingue contient un outil de simulation économique qui peut être téléchargé gratuitement en ligne. L'outil permet de simuler les coûts et revenus de divers systèmes agroforestiers. De manière plus détaillée, le site offre de l'information technique sur l'utilisation de haies brise-vent autour des bâtiments d'élevage et des cours d'exercice. Le contenu couvre diverses étapes, de la planification à l'entretien. Lire la suite

This document aims to provide an overview of research findings and progress in the NSERC Strategic Project "Environmental and economic benefits of tree-based intercropping systems in Canada", which received funding for a three-year period (2006-2009).

La Fédération des producteurs forestiers du Québec a réalisé une étude visant à décrire le chiffre d’affaires et les emplois liés aux activités sylvicoles effectuées en forêt privée en 2012 pour chaque maillon de la filière. Les activités décrites dans cette étude sont liées à l’aménagement forestier, la récolte et la transformation de bois. Lire la suite

De 2012 à 2013, la Coopérative de solidarité du bassin versant de la rivière aux Brochets (CSBVRB) a réalisé des travaux agrosylvicoles aux haies brise vent riveraines (HBVR), haies brise vent (HBV) et aux jeunes lisières boisées de son réseau agroforestier d’arbres totalisant 24 kilomètres. Ce réseau comprend 11 175 arbres de feuillus et résineux répartis sur 44 sites. Les coûts des principaux travaux d’entretien ont été estimés pour ces corridors forestiers en milieu agricole. Une clé décisionnelle détaillée à neuf espèces de feuillus et quatre de résineux a été développée afin de mieux guider les intervenants pour le choix des espèces lors de l’implantation des haies d’arbres. Lire la suite

Entre 2007 et 2009, une étude d’envergure financée par Agriculture et Agroalimentaire Canada a été menée au Québec par ÉcoRessources inc., Biopterre (alors CEPAF), Activa Environnement, l'ITA campus de La Pocatière et l'Université Laval afin de répondre aux questions suivantes : « Les producteurs agricoles trouvent-ils les motivations financières pour mettre en place des bandes riveraines arborées ou des haies brise-vent ? Quels types de bénéfices la société tire-t-elle des pratiques que les producteurs adoptent ? Le gouvernement devrait-il les financer ? ». Cette série de cinq fiches techniques, qui exploite les résultats de l'étude, présente successivement : un résumé du projet; la démarche méthodologique et ses défis; la valeur monétaire des biens et services écologiques tirés des haies brise-vent et des bandes riveraines agroforestières; une analyse sur la pertinence d'instaurer des incitatifs financiers et; une discussion sur la mise en oeuvre d'incitatifs à l'adoption des pratiques agroforestières  à une échelle régionale. Lire la suite

L’industrie forestière québécoise a commencé à s’intéresser à la populiculture vers 1996. Quelques industriels ont débuté des programmes de plantations principalement en milieu agricole.  À ce jour, quelque 10 000 hectares de plantations de peuplier hybride ont été réalisés au Québec en milieux agricole et forestier, alors que la France compte quelque 250 000 ha en populiculture. Cette fiche présente une étude de rentabilité de six scénarios sylvicoles dans des plantations de peuplier hybride en envisageant divers scénarios de productivité. Lire la suite

Le film Agroforesterie, enjeux et perspectives est d'une durée de 16 minutes. Inspirée de l'expérience d'un producteur, la première partie du film retrace l'itinéraire d'une exploitation agroforestière de 1990 à 2040. Les principaux enjeux de l'agroforesterie sont exposés de manière concise face au contexte économique et social prévisible des 50 années à venir.  La deuxième partie interroge la crédibilité des pratiques agroforestières, dresse un rapide état des connaissances et pose les contraintes et perspectives. Il peut être visionné en ligne sur le site suivant : http://www.agriculture-de-conservation.com/Agroforesterie-enjeux-et.html (note : il est possible que les paramètres de sécurité informatique du gouvernement bloque le téléchargement). Lire la suite

Le présent rapport analyse, des points de vue économique et technique, l’intérêt de l’introduction de pratiques agroforestières sur les terres agricoles avec l’objectif de capter le carbone et ainsi réduire les gaz à effet de serre (GES). L’exercice a été réalisé dans le contexte géographique d’un bassin versant à vocation agricole, soit le bassin de la rivière L’Ormière, au Québec. Plus précisément, il s’agissait d’établir le potentiel du bassin quant à l’implantation de haies brise-vent et de systèmes riverains agroforestiers, de quantifier la quantité de carbone pouvant être séquestré et de vérifier dans quelle mesure la vente des crédits de captage du carbone attribués aux pratiques agroforestières constituerait une incitatif pour la mise en place de telles pratiques au sein de l’entreprise agricole. L’étude a été financé par le Programme d’atténuation des gaz à effet de serre pour le secteur agricole canadien. Lire la suite

The purpose of this study was to assess the economic and technical feasibility of implementing agroforestry practices on farmland for the purpose of Carbon sequestration. This exercise was carried out within the geographic context of an agricultural watershed, specifically the L’Ormière River watershed in Quebec. The specific objectives were to determine the potential for establishing windbreaks and riparian forest buffers within the watershed, to quantify the associated level of carbon sequestration and to determine whether the financial benefits generated by the resulting emission reduction credits would be sufficient incentive for the adoption of such agroforestry practices. The study has been funded by The Greenhouse Gas Mitigation Program for Canadian Agriculture. Ce rapport est aussi disponible en français sur Agri-Réseau sous le titre : Potentiel de séquestration du carbone par des pratiques agroforestières dans le bassin versant de la rivière L’Ormière au Québec. Lire la suite

Le Centre d'études et de prospective du ministère de l'Agriculture de France vient de publier une analyse sur l'agroforesterie. Selon les estimations du Centre d'études, le cap des 10 000 hectares d'agroforesterie (cultures intercalaires en particulier)pourrait être atteint en France métropolitaine d'ici à 2013. Le document présente les enjeux de l'agroforesterie qui, en Europe et plus particulièrement en France, se positionne comme une pratique agronomique, replaçant l'arbre au coeur du système de production. Ses avantages se situent à l'échelle de la parcelle (p. ex. : fertilité des sols, qualité de l'eau), mais également à une échelle territoriale plus large (p. ex. : paysage, biodiversité, adaptation aux changements climatiques, etc.). Lire la suite