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519 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
Nouveau
27 mars 2024
L’équipe de réalisation et les partenaires agricoles ont permis la structuration de la BD-Horus et la création de l’application web Horus. L’application Horus via des menus conviviaux, facilite la visualisation et l’interprétation des données requises pour déterminer la qualité des sols cultivés. L’application regroupe
les variables indicatrices et des indices de la productivité du sol, de la diversité des communautés microbiennes, du risque posé par des maladies de la pomme de terre ainsi que des indicateurs liés à diverses fonctions assumées par les communautés microbiennes. La volonté des producteurs à simplifier la gestion de leurs diverses variables indicatrices les incitera à confier à la BD-Horus la gestion de leurs données pour se prévaloir des avantages de l’application. L’application Horus est sécurisée et restreinte aux seuls utilisateurs munis d’un code d’accès. Toutes les données dont la consultation est autorisée sont associées à un sol géolocalisé et elles sont affichables sur une carte du champ. L’application permet de visualiser, comparer et positionner chaque variable indicatrice ou indice, des sols et les valeurs moyennes des champs pour les comparer à des valeurs moyennes de référence calculées : 1) Pour tous les champs de l’entreprise inscrits dans la BD ou 2) Pour tous les champs de la BD ou 3) Pour tous les champs de la BD qui partagent les mêmes caractéristiques texturales. L’application Horus facilite ainsi l’intégration et la visualisation des données analytiques des producteurs année après année et intègre la géolocalisation des zones évaluées. De plus, elle facilite l’interprétation des variables et des indices et leur comparaison entre les champs de l’entreprise. L’utilisation des données de référence pondère l’interprétation des résultats obtenus dans les champs de l’entreprise et permet à l’entreprise de (a) se fixer des objectifs d’amélioration de la qualité de ses sols cultivés, et (b) d’évaluer les effets année après année
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08 mars 2024
Ce projet de recherche visait à optimiser les pratiques de binage tardif pour la suppression efficace des mauvaises herbes tout en maximisant le rendement des cultures semées à rangs étroits. Il s'est déroulé à la Plateforme d'innovation en agriculture biologique de l'IRDA à Saint-Bruno-de-Montarville en 2019, 2021 et 2022,
avec les cultures de haricot vert, de petit pois et de soya. Les objectifs de l'étude étaient : 1) l’évaluation des outils et vitesse appropriés pour le binage tardif; 2) la détermination des stades optimaux des cultures pour le binage tardif; 3) l'évaluation de l'effet de l'utilisation de voies d'accès et de l'espacement entre les rangs sur le rendement des cultures; 4) l'évaluation de l'impact de l'ajout d'un système de guidage avec caméra combiné à la bineuse sur la vitesse et la précision du binage. Les résultats de l’objectif 1 indiquent que l'utilisation des socs plats à 4 ou 6 km/h, ainsi que des socs à pattes d'oie à 6 km/h, semble être la stratégie de désherbage la plus efficace pour le binage tardif dans les cultures à rangs étroits étudiées. Pour les stades optimaux de croissance, le petit pois pouvait être désherbé jusqu’au stade de 5-6 entrenoeuds, le soya jusqu’au stade de trois feuilles trifoliées et le haricot vert jusqu’au stade de deux feuilles trifoliées, sans dommages. Pour l’objectif 3, l’ajout de voies d’accès n’a pas eu d’effet sur les rendements dans le petit pois, cependant, les parcelles avec voies d'accès semblaient favoriser une plus grande présence de mauvaises herbes. Pour le haricot vert, un espacement plus étroit (19 cm) a entraîné un rendement supérieur par rapport à un espacement plus large (76 cm), malgré que les espacements plus large (38 et 76 cm) facilitaient le contrôle des mauvaises herbes. Pour le soya, les rendements étaient généralement plus élevés avec un espacement de rang plus étroit (19 cm) sans binage tardif, tandis que le binage tardif avait tendance à réduire les rendements. Mais contrairement au haricot,
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30 janvier 2024
Dans le cadre de son projet Portrait du compostage à la ferme des résidus végétaux générés par les entreprises maraîchères québécoises : fermes type, suivis et défis, l’IRDA a développé des outils pour aider les producteurs maraîchers et les agronomes à élaborer des stratégies de gestion des résidus végétaux par le compostage.
À propos du projet Bien que le compostage soit un mode de gestion connu depuis de nombreuses années, son application sur les fermes est encore aujourd’hui marginale. Le présent projet visait entre autres à comprendre pourquoi, en dépit des avantages qu’il procure, le compostage ne parvient pas à s’implanter de façon pérenne sur les exploitations agricoles maraîchères québécoises. Pour tenter d’y répondre, des consultations et rencontres ont été faites auprès de certains producteurs maraîchers et entreprises maraîchères situées dans diverses régions du Québec afin d’identifier notamment les freins et les leviers concernant les activités de compostage à la ferme. Malgré les différents défis identifiés, il s’avère que le compostage suscite toujours de l’intérêt comme technique de gestion des RV et de production de compost?; de nombreuses questions tant sur les avantages et les techniques du compostage à la ferme que sur les caractéristiques du compost et les avantages liés à son emploi comme amendement de sol. Ce projet a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation dans le cadre du programme Prime-Vert. Les outils pour les producteurs agricoles maraîchers et les agronomes 1. Aide-mémoire pour les conseillers Cet outil vise à rappeler les différents éléments à considérer avant de commencer à composter ou encore pour effectuer un suivi du compostage ou valoriser le compost produit. 2. Fiche synthèse du projet 3. Cadre règlementaire applicable au compostage de résidus végétaux à la ferme Au Québec, les activités de compostage et d’utilisation de compost à la ferme sont encadrées par certaines lois, des règlements,
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30 janvier 2024
Bien que le compostage soit un mode de gestion connu depuis de nombreuses années, son application sur les fermes est encore aujourd’hui marginale. Le présent projet visait entre autres à comprendre pourquoi, en dépit des avantages qu’il procure, le compostage ne parvient pas à s’implanter de façon pérenne sur les exploitations
agricoles maraîchères québécoises. Pour tenter d’y répondre, des consultations et rencontres ont été faites auprès de certains producteurs maraîchers et entreprises maraîchères situées dans diverses régions du Québec afin d’identifier notamment les freins et les leviers concernant les activités de compostage à la ferme. Malgré les différents défis identifiés, il s’avère que le compostage suscite toujours de l’intérêt comme technique de gestion des RV et de production de compost?; de nombreuses questions tant sur les avantages et les techniques du compostage à la ferme que sur les caractéristiques du compost et les avantages liés à son emploi comme amendement de sol. Ce document est une fiche synthèse du projet en question. Ce projet a été financé par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation dans le cadre du programme Prime-Vert.
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20 décembre 2023
Présentations de la journée grandes cultures biologiques qui s’est déroulée dans le cadre des Journées horticoles et grandes cultures 2023 à Saint-Rémi. Seules les présentations autorisées pour publication sont déposées sur le site d’Agri-Réseau. Consultez les présentations en suivant les liens : Acheter neuf, innover
ou adapter un équipement existant? - La créativité au service du bio Patrick Benoit, producteur agricole, Ferme Patrick Benoit Acheter neuf, innover ou adapter un équipement existant? - La créativité au service du bio Daniel Guay, producteur agricole, Ferme Guay-Taillon inc. Itinéraire technique de la production de tournesol oléique biologique Pierre Verly, producteur agricole, Ferme l’Arôme des champs Le marché des grains bios pour l’année 2023-2024 Étienne Lafrance, agent d’informations sur les marchés, Producteurs de grains du Québec Le tournesol oléique, une culture à découvrir Sophie Rivest-Auger, agr. et Julie Anne Wilkinson, agr. M.Sc., CETAB Matière organique et capacité du sol à fournir l’azote - Comprendre les mécanismes pour mieux produire Martin Chantigny, chercheur scientifique - science du sol, Agriculture et Agroalimentaire Canada Utilisation de faucheuse en semis direct de soya sans herbicides: principes Carl Bérubé, conseiller, Ferme Guay-Taillon inc.
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