Ajouté à Mes favoris.

Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire
Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

S'informer

Le savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

Chargement en cours

Filtrer la recherche 
  • Sujet(s) :
  • Production(s) :
Format
Type de contenu
Date de début
Date de fin
Régions
5260 documents disponibles

Nouveau

28 mars 2024
Fiche technique suviant la réalisation du projet :Outils de gestion de la punaise terne en framboise d'été : méthode de dépistage et seuil économique d'intervention réalisée de 2019 à 2021. 

Nouveau

27 mars 2024
L’équipe de réalisation et les partenaires agricoles ont permis la structuration de la BD-Horus et la création de l’application web Horus. L’application Horus via des menus conviviaux, facilite la visualisation et l’interprétation des données requises pour déterminer la qualité des sols cultivés. L’application regroupe les variables indicatrices et des indices de la productivité du sol, de la diversité des communautés microbiennes, du risque posé par des maladies de la pomme de terre ainsi que des indicateurs liés à diverses fonctions assumées par les communautés microbiennes. La volonté des producteurs à simplifier la gestion de leurs diverses variables indicatrices les incitera à confier à la BD-Horus la gestion de leurs données pour se prévaloir des avantages de l’application. L’application Horus est sécurisée et restreinte aux seuls utilisateurs munis d’un code d’accès. Toutes les données dont la consultation est autorisée sont associées à un sol géolocalisé et elles sont affichables sur une carte du champ. L’application permet de visualiser, comparer et positionner chaque variable indicatrice ou indice, des sols et les valeurs moyennes des champs pour les comparer à des valeurs moyennes de référence calculées : 1) Pour tous les champs de l’entreprise inscrits dans la BD ou 2) Pour tous les champs de la BD ou 3) Pour tous les champs de la BD qui partagent les mêmes caractéristiques texturales. L’application Horus facilite ainsi l’intégration et la visualisation des données analytiques des producteurs année après année et intègre la géolocalisation des zones évaluées. De plus, elle facilite l’interprétation des variables et des indices et leur comparaison entre les champs de l’entreprise. L’utilisation des données de référence pondère l’interprétation des résultats obtenus dans les champs de l’entreprise et permet à l’entreprise de (a) se fixer des objectifs d’amélioration de la qualité de ses sols cultivés, et (b) d’évaluer les effets année après année Lire la suite

Nouveau

27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque.  La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial. Lire la suite

Nouveau

27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque.  La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial. Lire la suite

Mise à jour

27 mars 2024
Il s'agit d'une affiche décrivant les meilleures conditions d'entreposage des bleuets sauvages cultivés dans la région du Lac-Saint-Jean, incluant des facteurs tels que la température d'entreposage, le type de polymère, entre autres. Les réponses variables comprennent des paramètres tels que la couleur externe, la perte de poids et le contenu total en solides solubles. Cette expérience démontre qu'il est possible de modifier la date de commercialisation des fruits d'un mois.   Lire la suite

Nouveau

26 mars 2024
Des pommes de terres galées (présentant des symptômes de la gale commune) ont été obtenus de 24 producteurs (36 champs distincts) localisés dans 8 régions administratives du Québec. Les Streptomyces spp. responsables de symptômes de la gale commune ont été isolés en cultures pures à partir de ces pommes de terre, permettant d'obtenir une représentativité de la diversité des Streptomyces spp. causant la gale commune à l'échelle provinciale... Consultez le Rapport final joint. Ce projet a été cofinancé par le Programme de recherche du Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec (CRPTQ), étant financé par les Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ). Lire la suite

Nouveau

26 mars 2024
Le nématode des lésions : - Vers microscopiques de 0.5 mm - Appartient au genre Pratylenchus - Entre et ressort des racines pour s'y nourrir et s'y reproduire - Endommage le système racinaire - Cause la mort prématurée des pommes de terre en synergie avec le champignon, Verticillium dahliae... Consultez le pamphlet joint.   Lire la suite

Nouveau

26 mars 2024
Une des premières étapes pour la gestion du nématode des lésions est de faire un dépistage des genres/espèces de nématodes présents dans le champ. Pour ce faire, un échantillonnage de sol effectué à l’automne, après la récolte en septembre/octobre, à une profondeur de 0-30 cm, va permettre de déterminer quel est le genre de nématodes qui est présent. L’échantillonnage au printemps est aussi possible mais les nématodes y sont généralement moins nombreux. Consultez le Guide joint. Ce projet a été cofinancé par le Programme de recherche du Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec (CRPTQ), étant financé par les Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ). Lire la suite
1 à 10 sur 5260

En cliquant sur « Accepter tous les cookies », vous acceptez le stockage de ces témoins de connexion sur votre appareil. Ceux-ci permettent au CRAAQ de générer des statistiques et d'améliorer votre expérience utilisateur. Vous pourrez les désactiver en tout temps dans votre fureteur Web.

Ceci est la version du site en développement. Pour la version en production, visitez ce lien.