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76 documents disponibles
07 août 2023
Les petits fruits, qu'ils soient communs comme la fraise (Fragaria x ananassa), la framboise (Rubus idaeus L.), la mûre (Rubus spp.), le bleuet (Vaccinium angustifolium Ait. et Vaccinium corymbosum L.) et la canneberge ( Vaccinium macrocarpon), ou moins connus comme le cassis (Ribes nigrum L.), la gadelle (Ribes spp.),
la groseille à maquereau (Ribes grossularia L.), la baie de sureau (Sambucus coerulea) et l'airelle rouge ( Vaccinium paruifolium), sont appréciés pour leur saveur, leur apparence et leur qualité nutritive. Le raisin (Vitis labrusca et Vitis vinifera L.) peut aussi être compté dans ce groupe, mais il n'a pas été considéré dans le présent manuel. Comme ils ne peuvent généralement être récoltés et commercialisés que sur une brève période, les petits fruits frais ne sont pas offerts longtemps sur le marché. Leur courte durée de conservation limite autant les possibilités commerciales du producteur que la disponibilité du produit pour le consommateur. Toutefois, si tout le soin requis est apporté à la récolte et au conditionnement, la qualité des petits fruits frais peut être préservée et leur durée de conservation de même que leur disponibilité peuvent être accrues. Dans cet ouvrage, plusieurs facteurs influant sur la qualité et la durée de conservation des petits fruits sont examinés : biologie, pratiques culturales, méthodes de récolte, matériel d'emballage, mode de refroidissement, méthodes de conservation (réfrigération, atmosphère contrôlée, conditionnement sous atmosphère modifiée), manutention et transport. Pour être en mesure d'offrir au consommateur des petits fruits de grande qualité, il faut prendre chacun de ces facteurs en compte.
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27 juillet 2023
La tordeuse des canneberges, Rhopobota naevana (Hübner) (Lepidoptera : Tortricidae), est un ravageur majeur de la culture de la canneberge. Les dommages engendrés par cet insecte peuvent causer jusqu'à 95% de perte de rendements. Actuellement, le seul moyen de limiter les dommages est l’application d’insecticides de synthèse
ou de bio-insecticides. Les parasitoïdes oophages du genre Trichogramma (Hymenoptera : Trichogrammatidae), largement utilisés comme agents de lutte biologique contre différentes espèces de lépidoptères, pourraient toutefois représenter une méthode alternative pour lutter contre R. naevana. Un récent projet suggérait que Trichogramma minutum Riley pourrait représenter une espèce prometteuse pour lutter contre ce ravageur. Cependant, en raison de caractéristiques propres à la culture, les lâchers de trichogrammes à l’aide de trichocartes ne sont pas envisageables. L’objectif du projet était donc de développer, optimiser et évaluer l’efficacité de méthodes de lâchers inondatifs et mécanisés de trichogrammes pour lutter la tordeuse des canneberges.
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06 juin 2023
De nombreuses cultures au Québec, dont les fruits et légumes, dépendent de la pollinisation effectuée par les insectes pollinisateurs sauvages et commerciaux. Avec l’augmentation des superficies en production, les pollinisateurs sauvages ne peuvent plus à répondre à la demande. Le recours aux pollinisateurs commerciaux
devient alors de plus en plus essentiel. Parmi ces pollinisateurs, l’abeille mellifère ou abeille domestique (Apis mellifera L.) est largement utilisée, puisqu’elle est un pollinisateur efficace, facile à élever, à manipuler et à transporter. Le service de pollinisation commerciale par l’abeille domestique compte de nombreux bénéfices, autant pour le secteur apicole que pour les productions qui y font appel, mais il n’est pas sans défi. Le manque d’information et de connaissances sur les pratiques respectives de ces deux secteurs complexifie souvent la collaboration entre eux. Ce guide vise donc à fournir des informations de base à tous les intervenants concernés afin de faciliter la communication et les échanges. La pollinisation commerciale est une activité où le secteur apicole et les productions sont interdépendants, et l’établissement d’un dialogue favorisant l’adoption de bonnes pratiques permettrait d’optimiser les services de pollinisation et de maximiser les retombées pour tous. Ce projet est financé par l’entremise du Programme Innov’action agroalimentaire, en vertu du Partenariat canadien pour l’agriculture, entente conclue entre les gouvernements du Canada et du Québec.
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25 mai 2023
La tordeuse des canneberges, Rhopobota naevana (Hübner) (Lepidoptera: Tortricidae) est un ravageur majeur de la culture de la canneberge. Les dommages occasionnés par cette espèce peuvent engendrer une perte de rendement atteignant jusqu’à 95% de la récolte annuelle, en plus d’entraîner des répercussions sur la productivité
des années subséquentes. La lutte contre ce ravageur sous gestion biologique est limitée aux deux seuls bio-insecticides homologués au Canada. En réponse à cette problématique, un projet réalisé en 2016-2017 a identifié le parasitoïde indigène Trichogramma minutum Riley (Hymenoptera : Trichogrammatidae) comme un agent de lutte biologique prometteur pour lutter contre la tordeuse des canneberges. Le présent projet avait donc comme objectif de développer une méthode de lâchers inondatifs, mécanisée et applicable à grande échelle pour effectuer des lâchers de trichogrammes pour lutter contre la tordeuse des canneberges. Deux méthodes, soit la pulvérisation en solution aqueuse et l’épandage dans un substrat de perlite humide, furent développées, optimisées et mises à l’essai en cannebergière biologique. Les résultats suggèrent que la pulvérisation en solution aqueuse n’entraine qu’une faible diminution de l’émergence des parasitoïdes (˜ 10 %) alors que pour l’épandage dans de la perlite humide la diminution d’émergence est plus considérable (˜ 25-45 %). Cependant, les trichogrammes pulvérisés se retrouvent sur le feuillage alors que ceux épandus au sol, sous la canopée. Cette dernière offre vraisemblablement une protection aux parasitoïdes, puisqu’à partir d’une incubation de 48h en champ, l’émergence des individus sur le feuillage connait une diminution significative. Les lâchers inondatifs en champs ont permis d’augmenter significativement le taux de parasitisme des œufs de tordeuse des canneberges et les résultats suggèrent que des lâchers pendant la période de ponte des œufs de 2e génération du ravageur entraine de plus hauts taux de parasitisme.
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12 octobre 2022
La priorisation des besoins de recherche et de transfert en agriculture biologique est une activité récurrente coordonnée par le Comité agriculture biologique du CRAAQ. Elle repose sur la mobilisation d’acteurs concernés et engagés dont la réflexion collective permet au Québec de se démarquer en mettant en avant ses propres
priorités de recherche en agriculture biologique. Les instances publiques provinciale et fédérale peuvent également soutenir la recherche et l’innovation en fonction de ces besoins définis de façon concertée par le milieu agricole biologique québécois.
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09 juin 2022
Les conférenciers effectuent un tour d’horizon portant sur le développement de trois méthodes de lutte comme solutions de rechange aux insecticides pour lutter contre la tordeuse des canneberges. Cette conférence est également displonible en vidéo. Documents de la conférence présentée lors des Conférences scientifiques
en phytoprotection du 14 avril 2022. Une initiative du ministère de l'Alimentation, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec avec la Commission phytoprotection du CRAAQ. Voir les autres conférences des Conférences scientifiques en phytoprotection 2022
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20 juillet 2021
FICHE SYNTHÈSE L’objectif du projet est d’évaluer l’efficacité de HARVANTA® 50SL (cyclaniliprole) pour lutter contre l’anthonome des atocas, la tordeuse des canneberges et la pyrale des atocas en production de canneberge conventionnelle. Cet insecticide permettrait de remplacer ACTARA® 25WG et offrirait une option supplémentaire
de rotation dans les cas des lépidoptères. Le projet propose de mettre à l’essai, sur deux années et deux sites, différentes doses de l’insecticide
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20 juillet 2021
L’objectif du projet est d’évaluer l’efficacité de HARVANTA® 50SL (cyclaniliprole) pour lutter contre l’anthonome des atocas, la tordeuse des canneberges et la pyrale des atocas en production de canneberge conventionnelle. Cet insecticide permettrait de remplacer ACTARA® 25WG et offrirait une option supplémentaire de rotation
dans les cas des lépidoptères. Le projet propose de mettre à l’essai, sur deux années et deux sites, différentes doses de l’insecticide.
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