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93 documents disponibles
12 mars 2024
Arrivages : présence de Thrips parvispinus, de blanc, de tétranyque à deux points, de tarsonème trapu, de Botrytis, de pucerons et de thrips. DÉPISTAGE DES ARRIVAGES Il est recommandé de placer les plants dans une zone de quarantaine dès leur arrivée et de les inspecter sans tarder. Les ennemis
des cultures dont il est question dans cet avertissement ont été observés par nos collaborateurs dans des arrivages de jeunes plantes ornementales. Cliquer sur les photos pour les agrandir. Cliquer sur le nom de l’ennemi pour consulter la fiche technique. Thrips parvispinus Photo : IQDHO Thrips parvispinus : Population importante détectée dans un arrivage de Spathiphyllum provenant de la Floride. Ce petit thrips se nourrit des pousses terminales des plantes et leur cause des déformations importantes. Les traitements foliaires avec des insecticides homologués à base d’huile minérale donneraient de bons résultats. La faible persistance de l’huile permet une introduction de prédateurs comme Chrysoperla carnea et Amblyseius swirskii. Fiche technique : Thrips parvispinus Blanc (plusieurs espèces) : Encore cette semaine, la présence parfois importante de taches foliaires d’oïdium (blanc) a été rapportée dans plusieurs plateaux de boutures de divers cultivars de Dahlia sp. livrés récemment. Le blanc a aussi été observé dans des arrivages de Calibrachoa. Fiche technique : Blanc Vue rapprochée des symptômes de blanc sur une feuille de Dahlia sp. Photo : IQDHO Taches poudreuses de blanc sur une feuille de Dahlia sp. Photo : IQDHO Tétranyque à deux points (Tetranychus urticae) : Observés en grande quantité dans certains arrivages de Cordyline et d’Hibiscus. Présents dans des arrivages de Dracaena, de géranium lierre et de palmiers. Tarsonème trapu (Polyphagotarsonemus latus) : Présent dans des arrivages de Thunbergia et de Hedera helix. Botrytis cinerea : Présence rapportée
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20 février 2024
L’utilisation d’organismes bénéfiques pour lutter contre les ravageurs des cultures ornementales produites en serre se fait depuis plusieurs années chez des entreprises produisant sur de petites superficies. Toutefois, l’adoption de cette approche de lutte dans les entreprises de grandes superficies est freinée par le temps
nécessaire pour introduire les prédateurs en les saupoudrant manuellement sur les plantes. Afin de réduire ce temps, des outils d’introduction mécaniques qui soufflent les agents de lutte biologiques sur la culture sont maintenant proposés aux producteurs québécois. Ce projet a été réalisé dans le cadre du volet 4 du programme Prime-Vert – Appui au développement et au transfert de connaissances en agroenvironnement avec une aide financière du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation par l’entremise de la Stratégie phytosanitaire québécoise en agriculture 2011-2021 Article paru dans le journal Gestion et technologie agricoles (GTA) : jeudi 5 mars 2020 en page 22.
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23 septembre 2023
Le thrips des petits fruits (Frankliniella occidentalis) est un insecte qui occasionne des pertes économiques importantes en serriculture ornementale. Il cause des dommages esthétiques importants tels que des stries argentées sur les feuilles et des déformations sur les feuilles ou sur les fleurs. Ce ravageur cause
bien des maux de tête. Ayant pour objectif de trouver de nouveaux produits à faible impact environnemental pour favoriser la rotation et limiter l’apparition d’insectes résistants, l’IQDHO a réalisé un projet de tamisage de produits à faible risque pour l’environnement qui avaient un potentiel pour lutter contre ce ravageur. Article paru dans le journal Gestion et technologie agricoles (GTA), 8 juin 2023 et et sur le Blogue du site de l'IQDHO. Visitez la section la section BLOGUE du site web de l'IQDHO https://iqdho.com/blogue/ pour consulter les autres articles techniques. Notez que le BLOGUE est bonifié mensuellement.
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23 septembre 2023
Les ventes dans votre entreprise au printemps 2023 ont été différentes de celles des printemps précédents ? Le coût des intrants et des salaires a sensiblement augmenté ? Vous voulez maintenir votre rentabilité en ajustant vos prix ? Le sondage sur les prix de détail des produits horticoles vous permet de vous situer par
rapport à l’industrie. En répondant au sondage vous obtiendrez au coût de 55$ un rapport sur les prix moyen, min. et max. de plus de 75 produits de serre (fleurs, légumes, fines herbes) de différents formats et de quelques plantes de pépinières (vivaces, arbustes, grimpants, petits fruits, thuyas, etc.) Cette information unique et précieuse vous permettra d’augmenter votre rentabilité à coup sûr ! Rendez-vous sur le lien suivant https://fr.surveymonkey.com/r/V5GVD6M en ayant en main votre liste de prix de détail 2023. Il vous suffira de moins de 15 minutes pour y répondre. Le sondage est ouvert à tous les détaillants horticoles du Québec. Merci d’y répondre avant le 27 octobre 2023. Si vous avez des questions n’hésitez pas à contacter Gilbert Bilodeau, agr. à l’IQDHO 450-778-6514 poste 253 ou [email protected] Soyez assurés que toutes les réponses seront traitées en toute confidentialité. Merci de votre participation.
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15 septembre 2023
TÉTRANYQUE DE LEWIS DANS LE POINSETTIA Le tétranyque de Lewis (Eotetranychus lewisi) et ses dommages ont été observés par nos collaborateurs dans la culture de poinsettias déjà en place, mais aussi sur des boutures livrées dans les dernières semaines. Seuls certains cultivars seraient affectés. Cet acarien
de couleur jaune blanchâtre est plus petit (0,36 mm) que le tétranyque à deux points (0,5 mm). Il a plusieurs petits points noirs de chaque côté du corps. Il s’installe et se nourrit à la face inférieure des feuilles. Les dommages sont similaires à ceux du tétranyque à deux points, soit l’apparition de petites taches jaunes sur les feuilles allant jusqu’à une décoloration bronzée de tout le feuillage. Les symptômes pourraient être confondus avec ceux de carences minérales. Ces tétranyques préfèreraient les feuilles matures de poinsettia. On peut observer ses toiles lors de fortes infestations. En lutte biologique, l’acarien prédateur Neoseiulus fallacis est le plus souvent recommandé. Amblyseius andersonii et Neoseiulus californicus peuvent aussi contribuer au contrôle du tétranyque de Lewis. Quoique Phytoseiulus persimilis soit très efficace pour le contrôle du tétranyque à deux points, il ne le serait pas pour le contrôle du tétranyque de Lewis, selon des recherches scientifiques. Dommages de tétranyque de Lewis sur la face supérieure de la feuille (image du haut) au revers de la feuille de poinsettia (image du bas) Photo : IQDHO Tétranyques de Lewis sur une feuille de poinsettia Photo : IQDHO POUR PLUS D'INFORMATION Opérations préventives dans la culture du poinsettia. Poinsettia : prévenir les problèmes au cours de la saison de production. Poinsettia Pest Management Pointers: Receipt Through Potting Up. Jandricic, Sarah. OMAFRA, 11 juillet 2023. Les pesticides homologués dans les cultures ornementales de serre. Compatibilité des pesticides avec la lutte biologique en serre. SAgE
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13 juillet 2023
RHIZOCTONIA DANS LE POINSETTIA Des symptômes de pourriture des tiges causée par Rhizoctonia solani ont été observés par nos collaborateurs dans la culture de poinsettias. Le collet de la tige brunit, s’étrangle et des filaments brun-clair semblables à une toile d’araignée peuvent être visibles. Le temps chaud et humide
favorise le développement de cette maladie. Pour les plants enracinés, préconiser de petites irrigations fréquentes, afin de ne pas saturer le terreau en eau et de rafraîchir le feuillage régulièrement, lorsque le temps est ensoleillé et que la serre est chaude. Pour les boutures en enracinement, maintenir la brumisation au minimum la nuit. Cesser de brumiser dès que les plants sont suffisamment enracinés. Symptômes de Rhizoctonia sur un plan de poinsettia Photo : IQDHO Des biofongicides à base de Trichoderma harzianum, de Gliocladium catenulatum, de Bacillus amyloliquefaciens ou de Bacillus subtilis sont homologués contre Rhizoctonia solani. Leur utilisation est recommandée en prévention. Répéter chaque semaine pour maintenir la protection. Si les symptômes sont déjà apparents, des fongicides conventionnels homologués contre Rhizoctonia peuvent être employés de façon curative. Les plants qui présentent déjà un étranglement au collet ne seront pas récupérables. D’autres maladies pourraient être confondues avec les symptômes associés à Rhizoctonia, comme Pectobacterium ou Pythium. En cas de doute, faire une identification en laboratoire afin d’appliquer la meilleure stratégie de contrôle. Fiche technique Rhizoctonia POUR PLUS D'INFORMATION Opérations préventives dans la culture du poinsettia. Poinsettia : prévenir les problèmes au cours de la saison de production. Poinsettia Pest Management Pointers: Receipt Through Potting Up. Jandricic, Sarah. OMAFRA, 11 juillet 2023. Les pesticides homologués dans les cultures ornementales de serre. Compatibilité des pesticides avec la lutte biologique en serre. SAgE pesticides donne
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16 avril 2023
Il est de plus en plus difficile de mettre en marché de nouveaux agents de lutte biologique. Il ne faudrait pas répéter l’erreur de l’introduction de la coccinelle asiatique aux États-Unis en 1988. Un acarien indigène, de la famille des Anystidées, a été remarqué dans la nature par M. Taro Saito à St-Catharines, en Ontario. Cet
acarien possède toutes les qualités recherchées pour son introduction au Canada et il pourrait complémenter les stratégies de lutte intégrée actuelles en serre. Article publié dans le journal Gestion et Technologie Agricoles (GTA) : 6 avril 2023 et sur le Blogue du site de l'IQDHO.
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23 juin 2022
Ce guide indique les principaux cultivars recommandés pour différentes fêtes et propose des calendriers de production en fonction de celles-ci. Il explique différentes méthodes de multiplication, les éléments-clés pour une bonne croissance de cette plante en serre, les facteurs influençant la formation et le développement
des bourgeons floraux, et les rudiments du forçage et de la culture dirigée de cette belle potée fleurie. Il décrit aussi les principaux ravageurs, maladies et désordres physiologiques à surveiller, sans oublier les soins postproduction à apporter.
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14 octobre 2021
État de la situation des cultures de poinsettias en serre : présence modérée d’aleurodes du tabac et de tétranyques de Lewis affectant certains cultivars. ALEURODE DU TABAC (BEMISIA TABACI) Dans les cultures de poinsettias, les populations d’aleurodes sont encore bien contrôlées selon nos collaborateurs.
La lutte conventionnelle, la lutte biologique et la lutte intégrée ont donné de bons résultats jusqu’à maintenant, dans les entreprises visitées. Rappel Il est possible de vérifier si le contrôle de Bemisia tabaci est efficace et prometteur pour la fin de la culture du poinsettia, et ce, en utilisant une méthode développée par Graeme Murphy et publiée par Sarah Jandricic, du ministère de l'Agriculture, de l'Alimentation et des Affaires rurales de l'Ontario (MAAARO) : Vérifier 15 à 20 plants par table, sur au moins 50 % des tables des serres. Noter la présence ou l’absence d’adultes, de larves ou de pupes de Bemisia tabaci en observant le dessous des feuilles, en soulevant les pots au-dessus des yeux. Additionner le nombre de plants infestés (présence de Bemisia tabaci), diviser par le nombre total de plants dépistés et multiplier par 100 pour obtenir un pourcentage. À cette période de la production (1er octobre), si le taux de plants infestés est de plus de 20 %, la lutte biologique en place ne suffirait pas à assurer un contrôle suffisant jusqu’à la fin de la saison. On pourrait alors envisager une intervention avec des insecticides. Si le taux de 20 % est atteint en novembre, on propose de maintenir la lutte biologique jusqu’à la fin de la production, mais un traitement insecticide pourra être envisagé en prévision de la vente. Forte population d'aleurodes du tabac (Bemisia tabaci) dans le poinsettia Photo: IQDHO En lutte conventionnelle, il est aussi important de faire un suivi des populations pour vérifier l’efficacité des traitements et la nécessité d’intervenir. L’emploi
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29 septembre 2020
État de la situation des cultures du poinsettia en serre : présence de l’aleurode du tabac en nombre variable selon les entreprises. Période propice à l’apparition de maladies racinaires. CONTRÔLE DES ALEURODES DU TABAC (Bemisia tabaci) L’aleurode est présent dans les cultures de poinsettias. De façon
générale, selon nos observateurs, les populations sont encore bien contrôlées par la lutte intégrée, en lutte conventionnelle, et par la lutte biologique dans les serres visitées. Stratégie face à la résistance aux insecticides Bemisia tabaci de souche Q, généralement présent dans la culture du poinsettia, est résistant à de nombreuses matières actives. En effet, certains pesticides chimiques vont éliminer tous les Bemisia sensibles (souche B), alors que les Bemisia résistants (souche Q) vont survivre et continuer de se reproduire. En fin de saison, il pourrait alors être impossible de les éliminer avant la vente. En retardant la lutte chimique, par exemple en utilisant la lutte biologique, on laisse la souche B constituer une plus grande proportion de la population. Les aleurodes de cette souche seront plus faciles à éliminer par des traitements chimiques en dernier recours, à la fin de la saison. Aleurode du tabac sur poinsettia Photo : IQDHO Calcul – Poursuivre la lutte biologique ou traiter Il est possible d’estimer si le contrôle de Bemisia sera efficace jusqu’à la fin de la saison de culture du poinsettia en utilisant une méthode rapide publiée par Sarah Jandricic (MAAAR Ontario) : Inspecter 15 à 20 plants par table, sur au moins 50 % des tables des serres. Noter la présence ou l’absence d’adultes, de larves ou de pupes de Bemisia en observant le dessous des feuilles, en soulevant les pots au-dessus des yeux. Additionner le nombre de plants infestés (présence de Bemisia), diviser par le nombre total de plants dépistés et multiplier par 100 pour obtenir un pourcentage. À cette période de la production (1er octobre),
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