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23 janvier 2023
Ce projet visait à bonifier les connaissances appliquées à propos des cultures de couverture (CC) afin de valoriser leur utilisation et améliorer leur gestion. Dans le cadre de ce projet, les CC sont étudiées principalement comme source d’azote (N) pour la culture suivante de maïs grain, apport qui varie selon les mélanges
utilisés et les périodes (ou l’absence) d’incorporation. Différents outils d’estimation d’apports en N ont ainsi été étudiés. Pendant la saison 2019, deux parcelles ont été mises en place chez des agriculteurs (site A et site B) de la Montérégie. Après la récolte de la céréale, une application de lisier a été effectuée. Deux mélanges de CC ont été faits; soit avec ou sans une espèce légumineuse. Une partie du champ du projet est désignée comme zone témoin, donc sans semence de CC. Les parties semées ont été séparées en deux pour comparer deux moments d’incorporation des CC dans les sols; à l’automne et au printemps. Par contre, dans un des cas (site B), les CC n’ont pu être incorporées à l’automne en raison des conditions climatiques et de récoltes difficiles de la saison 2019. En effet, puisque les récoltes se sont terminées très tardivement et que la neige, puis le gel se sont installés rapidement, le producteur du site B n’a pas été en mesure d’incorporer les CC, car le sol était gelé. Puisque les cultures n’avaient que très peu poussé avant le gel et que leur apport en azote aurait été négligeable, il a été décidé de ne pas poursuivre le projet sur ce site. Il avait été prévu de réimplanter des zones de cultures de couverture chez le producteur du site B en 2020, mais encore une fois, la récolte a été tardive, puis les conditions étaient trop mouillées et la date de semis était rendue trop avancée pour que les cultures aient le temps de produire suffisamment de biomasse avant l’hiver. Le site a donc été abandonné de nouveau. Deux nouveaux sites (site C et D) ont par contre été implantés, où suite à la récolte de la céréale ou de la prairie, deux
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02 mars 2022
Du sarrasin et des abeilles aux cultures de couverture et semis directs, nous explorons comment Henry Denotter, producteur du bassin versant de Wigle Creek, et Pamela Joosse, spécialiste de la gestion des sols et des éléments nutritifs, ont travaillé ensemble pour réduire la pollution du lac Érié dans le cadre des Laboratoires
vivants d'Agriculture et Agroalimentaire Canada. (Les premiers seize pour cent est la série de balados d'Agriculture et Agroalimentaire Canada qui explore les idées les plus fraîches en alimentation et en agriculture. The podcast is also available in English: Resolving soil nutrient loss and pollution in Lake Erie)
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16 mars 2021
Suite à des rencontres scientifiques internationales dans le cadre du G20, l’Initiative des laboratoires vivants d’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) a pris naissance. Le Laboratoire vivant – Québec a récemment commencé ses activités dans la région du lac Saint-Pierre. L’Union des producteurs agricoles
du Québec joue un rôle de leader du consortium régional. Dans un laboratoire vivant, l’approche de travail se base sur une collaboration étroite et directe entre les agriculteurs et les scientifiques, soutenus par l’expertise d’autres partenaires de la communauté locale. Ces liens rapprochés entre la science et la réalité des producteurs et de leur communauté favoriseront l’adoption rapide de bonnes pratiques et de technologies agricoles bénéfiques, que ce soit pour les sols, l’eau, l’air et la biodiversité dans les zones agricoles, ou comme mesures d’atténuation et d’adaptation aux changements climatiques. (The English version of this article is also available on AAFC website: Living Lab - Quebec, an inspiring example of winning collaboration)
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03 juillet 2020
Rapport d'un projet ayant comme objectif principal de présenter un moyen de combler une part significative des besoins en N de cultures exigeantes grâce à une meilleure synchronisation de la fourniture en N tout en préservant la fenêtre de production de revenus du producteur l’année précédant ces cultures (ex. EV à la dérobée
l’automne précédent ou « fauché-récolté »)
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27 janvier 2020
Experte reconnue dans le domaine, Sylvie Thibaudeau a présenté, en décembre 2019 à la Journée Grandes cultures de la Mauricie, des résultats d'essais d'intégrations des cultures de couvertures dans le maïs-grain et le soya. La réponse du maïs aux engrais azoté a été évaluée dans plusieurs essais.
14 juin 2018
Les Producteurs de grains du Québec publient huit (8) fiches aide-mémoire en lien avec l'Analyse environnementale et socioéconomique du cycle de vie (ACV) de la production de grains du Québec. Ces fiches permettent de faire une autoévaluation de l’adoption de certaines pratiques dans les entreprises agricoles. Ces pratiques
ont une incidence sur l’amélioration de la performance environnementale et socioéconomique des fermes. Les fiches fournissent plusieurs liens vers des sites Web gratuits, où l’on peut consulter ou télécharger l’information utile pour différentes pratiques sur le même sujet. C’est une centralisation des informations utiles par thème. Une fiche explicative accompagne cette série d’aide-mémoire.
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04 juillet 2016
Obtenir un profit maximal et une pollution minimale ne sont pas incompatibles. Comment personnaliser vraiment les recommandations d'azote dans les champs de maïs? • Choisir les (bonnes) priorités – La météo, les textures, la dégradation… et le reste • Disposer de (plus de) données – Géomatique, drones, senseurs • Disposer
des (nouveaux) outils d’interprétation – Méta-analyses, mégadonnées
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30 juin 2016
Pour réduire au minimum les rejets environnementaux d’éléments nutritifs provenant des déjections animales, il est essentiel de faire en sorte que les plantes cultivées utilisent efficacement ces éléments nutritifs. Au moyen d’essais de plein champ, nous avons étudié la possibilité de remplacer l’application en bandes latérales
de P d’origine minérale par une application localisée de boues riches en P (6,2 % à 11,0 % de la matière sèche) issues de la décantation du lisier de vaches laitières. Cette technique pourrait éliminer la nécessité d’appliquer des engrais chimiques pour améliorer le bilan nutritif des cultures. De plus, puisque seule la fraction boues est utilisée, moins d’énergie est requise pour le transport et l’injection, et on réduit les pertes par ruissellement ou par volatilisation (libération d’ammoniac) ainsi que les nuisances olfactives liées à l’injection. Article scientifique complet publié dans le Journal of Environmental Quality (2012) 41, 582-591.
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28 août 2014
Publiée en 1997, cette étude détaillée présente les résultats d'essais de fertilisation réalisés au Québec dans la culture du maïs-grain. Elle visait à déterminer les doses optimales d'engrais minéral pour différentes
textures de sol, selon différents précédents culturaux et selon le mode d'apport de l'engrais minéral pour différents travaux primaires de sol. On a évalué les quantités d'azote et de phosphore qui s'échappaient des différents systèmes afin d'identifier la pratique qui présente le moins de risque pour l'environnement.
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