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21 juin 2022
La drosophile à ailes tachetées (DAT), Drosophila suzukii, est un ravageur redoutable qui cause des dommages importants aux récoltes dans de nombreuses cultures fruitières (fraises, framboises, bleuets, mûres et cerises). Alors que les autres espèces de drosophiles s’attaquent habituellement aux fruits trop mûrs ou endommagés,
la DAT pond ses œufs dans les fruits sains en mûrissement grâce à son ovipositeur dentelé. Des dommages importants aux récoltes ont été rapportés ces dernières années, occasionnant parfois la fermeture précoce de champs. Actuellement, la stratégie des producteurs de petits fruits pour contrôler cette drosophile est l’application d’insecticides durant sa période d’activité, soit durant la récolte des fruits. Bien que les délais avant la récolte soient respectés, cette approche est remise en cause en raison de la présence possible de résidus sur les fruits, mais aussi pour les risques sur la santé des ouvriers affectés aux récoltes. Sans compter que sur le plan environnemental, l’application répétée d’insecticides représentent un risque pour l’agroécosystème. Dernièrement, des centres de recherche en Suisse ont rapporté des résultats intéressant de la chaux éteinte [CA(OH)2, NEKAGARD] et du kaolin (SURROUND WP) contre la drosophile à ailes tachetées. Déjà utilisés par l’industrie alimentaire, ces produits présentent des risques faibles pour la santé et l’environnement. En effet, la chaux éteinte, au contact du gaz carbonique de l’air, se transforme en calcaire tandis que le kaolin est une argile blanche. Quand ils sont appliqués sur les fruits, ils agiraient comme répulsifs via des mécanismes encore peu connus, par exemple par la modification du pH ou par la perturbation du comportement de l’insecte. Ces deux produits ont été testés contre la drosophile à ailes tachetées (DAT) dans une bleuetière (bleuet en corymbe, variété Patriot) de Lanaudière, et comparés à un témoin non traité et à un témoin commercial durant deux ans. En 2019, à cause de la
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21 juin 2022
La drosophile à ailes tachetées (DAT), Drosophila suzukii, est un ravageur redoutable qui cause des dommages importants aux récoltes dans de nombreuses cultures fruitières (fraises, framboises, bleuets, mûres et cerises). Alors que les autres espèces de drosophiles s’attaquent habituellement aux fruits trop mûrs ou endommagés,
la DAT pond ses œufs dans les fruits sains en mûrissement grâce à son ovipositeur dentelé. Des dommages importants aux récoltes ont été rapportés ces dernières années, occasionnant parfois la fermeture précoce de champs. Actuellement, la stratégie des producteurs de petits fruits pour contrôler cette drosophile est l’application d’insecticides durant sa période d’activité, soit durant la récolte des fruits. Bien que les délais avant la récolte soient respectés, cette approche est remise en cause en raison de la présence possible de résidus sur les fruits, mais aussi pour les risques sur la santé des ouvriers affectés aux récoltes. Sans compter que sur le plan environnemental, l’application répétée d’insecticides représentent un risque pour l’agroécosystème. Dernièrement, des centres de recherche en Suisse ont rapporté des résultats intéressant de la chaux éteinte [CA(OH)2, NEKAGARD] et du kaolin (SURROUND WP) contre la drosophile à ailes tachetées. Déjà utilisés par l’industrie alimentaire, ces produits présentent des risques faibles pour la santé et l’environnement. En effet, la chaux éteinte, au contact du gaz carbonique de l’air, se transforme en calcaire tandis que le kaolin est une argile blanche. Quand ils sont appliqués sur les fruits, ils agiraient comme répulsifs via des mécanismes encore peu connus, par exemple par la modification du pH ou par la perturbation du comportement de l’insecte. Ces deux produits ont été testés contre la drosophile à ailes tachetées (DAT) dans une bleuetière (bleuet en corymbe, variété Patriot) de Lanaudière, et comparés à un témoin non traité et à un témoin commercial durant deux ans. En 2019, à cause de la
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20 avril 2022
Ce projet a comme objectif principal de trouver des méthodes alternatives de désherbage dans la culture du bleuet en corymbe qui pourront être bénéfiques autant pour des productions conventionnelles que des productions biologiques. Le but est donc d'évaluer l'efficacité et de comparer diverses techniques de lutte contre
la mauvaise herbe dans la production biologique de bleuet en corymbe; #1 Copeaux de bois (témoin), #2 Géotextile noir, #3 Paillis de plastique et #4 Pyrodésherbeur. Un dispositif a donc été mis en place, pour répéter les différentes méthodes et pouvoir comparer ces dernières de façon à ce que ce soit le plus représentatif possible. Ainsi, au terme de ce projet, il est visé d'obtenir une réponse en ce qui a trait de la meilleure technique alternative au désherbage manuel afin d'alléger les travaux des producteurs et d'optimiser la lutte aux mauvaises herbes en régie biologique du bleuet en corymbe.
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20 avril 2022
Ce projet a comme objectif principal de trouver des méthodes alternatives de désherbage dans la culture du bleuet en corymbe qui pourront être bénéfiques autant pour des productions conventionnelles que des productions biologiques. Le but est donc d'évaluer l'efficacité et de comparer diverses techniques de lutte contre
la mauvaise herbe dans la production biologique de bleuet en corymbe; #1 Copeaux de bois (témoin), #2 Géotextile noir, #3 Paillis de plastique et #4 Pyrodésherbeur. Un dispositif a donc été mis en place, pour répéter les différentes méthodes et pouvoir comparer ces dernières de façon à ce que ce soit le plus représentatif possible. Ainsi, au terme de ce projet, il est visé d'obtenir une réponse en ce qui a trait de la meilleure technique alternative au désherbage manuel afin d'alléger les travaux des producteurs et d'optimiser la lutte aux mauvaises herbes en régie biologique du bleuet en corymbe.
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20 décembre 2021
Un groupe de maladies des plantes causées par des phytoplasmes, un type de bactérie, peut causer des pertes de rendement dans diverses cultures, des bleuets en corymbe au canola. Les revenus nets des producteurs, de même que la sécurité de notre approvisionnement alimentaire, s’en trouvent affectés. Cependant, il y a de
bonnes nouvelles : les chercheurs d’Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) ont mis au point une méthode moléculaire pour la détection rapide et précoce de ces pathogènes. (An English version is also available: Identifying a common enemy to blueberries, canola and many other crops – the sooner the better)
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13 mai 2021
L’objectif du projet était d’identifier les principaux insectes ravageurs (autres que la DAT et la mouche du bleuet) dont les larves sont responsables du déclassement des fruits dans la culture du bleuet en corymbe, à déterminer le % de pertes de rendements attribuables à ces insectes et à évaluer si des traitements phytosanitaires
sont justifiables dans la région de Chaudière-Appalaches. La pyrale des atocas, la noctuelle des cerises et le petit carpocapse de la pomme ont été piégés dans les bleuetières où se déroulait le projet. De plus, les données de piégeage ont permis de démontrer que le début du stade fruit vert est la période où le nombre d’adultes est le plus important pour la pyrale des atocas, la noctuelle des cerises et le petit carpocapse de la pomme. Pour le charançon de la prune, les captures sont demeurées très faible sur tous les sites.
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15 décembre 2020
RAPPORT – L’objectif général de ce projet était de développer une méthode de lutte contre la DAT à l’aide d’ennemis naturels commerciaux. Le projet présente une série d’expériences basées sur le principe de complémentarité des ennemis naturels afin de répondre adéquatement à cet objectif. La drosophile à ailes tachetées
(DAT), Drosophila suzukii (Diptera : Drosophilidae), est un ravageur exotique originaire d’Asie (Kanzawa, 1939) observé pour la première fois en 2010 au Québec (ACIA, 2011 et considéré depuis 2013 comme un ravageur majeur des petits-fruits en Amérique du Nord et en Europe. La DAT s’attaque aux petits-fruits cultivés commercialement, la framboise, la mûre, le bleuet, la cerise et la fraise (Lee et al. 2011). En 2012, les dommages à la première récolte ont frôlé les 100 % dans certaines cultures au Québec, notamment pour la framboise. Depuis 2012, les populations ont toujours été abondantes et les dommages sont présents même avec l’utilisation de traitements phytosanitaires.
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