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Le maraîchage diversifié en serre : tomate, concombre, poivron (4 vidéos) (collection)
17 novembre 2023
      Cette série de 4 vidéos présente les grandes étapes de la culture maraîchère en serre, plus particulièrement pour la tomate, le concombre et le poivron. Les séquences ont été tournées durant les étapes culturales dans une serre maraichère biologique. La première vidéo couvre en détail la préparation de la serre et du sol, du revêtement de sol et des équipements de tuteurage et d’irrigation, ainsi que les détails techniques de la plantation. Les vidéos 2, 3 et 4 présentent respectivement les travaux d’entretien régulier et de récolte pour la tomate, le concombre et le poivron, selon le cas : pose de supports de grappe; tuteurage ou enroulage sur corde; suppression des drageons; taille des plants; effeuillage; abaissage; et méthodes de récolte appropriées..        Lire la suite
08 février 2023
Présentation powerpoint utilisée lors d'une conférence sur la norme nationale de gouvernance de l'agriculture protégée donnée par Justine Taylor, directrice de la gouvernance et la durabilité à CropLife Canada
29 janvier 2021
Série de 4 séances de webinaires de 2 heures, offerts par aider les producteurs à adapter leur régie de culture en fonction des conditions de températures et de luminosité propre à chaque région. Pré-requis: expérience de base en culture en serre • Groupe A (9, 16, 23 fév et 9 mars): Basses-Laurentides, Montréal, Laval, Lanaudière, Outaouais et Baie-des-Chaleurs. • Groupe B (10, 17, 24 février et 10 mars) : Montérégie-Est et Montérégie-Ouest. • Groupe C (11, 18, 25 février et 11 mars): Estrie, du Centre-du-Québec, Mauricie et Charlevoix. • Groupe D (12, 19, 26 février et 12 mars) : Saguenay-Lac-Saint-Jean, Abitibi-Témiscamingue, Bas-Saint-Laurent, Côte-Nord et Gaspésie-Nord. Les thèmes présentés sont : 1. Planification annuelle de la gestion de l’équilibre de la charge en fruits des cultures tuteurées; 2. Gestion journalière des températures en fonction de l’équilibre de la charge en fruits des cultures tuteurées; 3. Gestion des irrigations et de la conductivité électrique (CÉ) en fonction des luminosités, des espèces, du stade, du volume d’exploration racinaire et de la réserve facilement utilisée (RFU); 4. Profilage des cultures tuteurées en serre pour ajuster l’équilibre reproductif/végétatif. Le coût total pour les quatre webinaires est de 40 $. Pour vous inscrire et pour procéder au paiement, vous devez contacter Mme Céline Mul à [email protected], voir détails en pièce jointe.   Lire la suite
Cultures maraîchères en serre, Avertissement No 12, 21 août 2020
20 août 2020
avertissement No 11 dans le but de différencier les maladies des causes abiotiques, poser le bon diagnostic et intervenir adéquatement. Parce qu’une image vaut mille mots, voici un communiqué visuel qui contient plusieurs exemples de désordres et de cas de phytotoxicité observés dans le concombre de serre au cours des dernières années. Plusieurs de ces cas ont été observés cette année durant les chaleurs extrêmes que nous avons connues. Les désordres les plus courants sont l'excès de salinité, la transpiration excessive ou des brûlures foliaires causés par des produits appliqués dans des conditions non optimales. Afin de vous aider dans votre démarche diagnostique, une clé d’identification par imagerie est gratuitement disponible sur le site EPHYTIA (France). Dans le doute et pour validation, vous pouvez en tout temps envoyer un échantillon au Laboratoire de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ. C’est sans frais pour ceux et celles qui ont une certification biologique.     TRANSPIRATION EXCESSIVE, EXCÈS DE CHALEUR, DÉSHYDRATATION     Sans nul doute le plus communément rencontré et pouvant être confondu avec des maladies comme l'alternariose ou le cladosporiose. Remarquez la décoloration légère, les brûlures éparses ou la déshydratation intense entre les nervures principales.  Liette Lambert, agr. (MAPAQ)     Quand la majorité des plants sont affectés à n'importe quel niveau sur le plant, c'est une réaction à un choc climatique (ex: chaleur extrême, manque d'eau) ou à un produit.  Liette Lambert, agr. (MAPAQ)   EXCÈS DE SALINITÉ   Une cause assez fréquente en lien avec des apports d'engrais trop importants qui causent des brûlures racinaires et empêchent la montée d'eau dans le plant. Les feuilles brûlent lorsqu'il fait trop chaud et que la transpiration qui régule la température foliaire arrête. Liette Lambert, agr. (MAPAQ)   PHYTOTOXICITÉS   Notez le picotement léger sur le feuillage Lire la suite
Cultures maraîchères en serre, Avertissement No 11, 21 août 2020
04 août 2020
On observe actuellement sur le concombre toutes sortes de symptômes foliaires et sur tige qui sont parfois difficiles à diagnostiquer. Parce qu’une image vaut mille mots, voici un communiqué visuel qui pourrait vous aider à y voir plus clair afin d’éviter de confondre une maladie fongique avec des virus (ex : Potyvirus comme  SqMV; CMV; MNSV; CGMMV), de la phytotoxicité ou des désordres comme de la transpiration excessive liés à des conditions climatiques ou de culture inadéquates (Consultez l’avertissement 12). En lien avec le visuel des maladies présentées dans cet avertissement, soient alternariose, cercosporiose, chancre gommeux, cladosporiose, corynesporiose, fusariose vasculaire, mildiou, potyvirus, sclérotiniose, un tableau résumé avec hyperliens vers des fiches techniques disponibles en français (en hyperlien à déposer dans LE PARKING) complète l’information sur la fréquence et gravité, les symptômes caractéristiques et à ne pas confondre avec, les conditions favorables, les mode de conservation et de propagation, ainsi que quelques méthode de lutte alternatives. Pour ce qui est des traitements fongiques, référez-vous au  Bulletin no 2 sur les fongicides et biofongicides homologués en 2020 dans les cultures maraîchères et fruitières en serre. Afin de vous aider dans votre démarche diagnostique, une clé d’identification par imagerie est gratuitement disponible sur le site EPHYTIA (France). Le site IRIIS Phytoprotection du MAPAQ contient également une clé d’identification par critères à sélectionner ainsi que plusieurs fiches illustrées. Même le site de l’OMAFRA (Ontario) possède une clé diagnostic très simple et en français. Vous retrouverez aussi un guide pratique d’identification des maladies du concombre (2014) en ligne et sur le site de l’Université de Floride (U-Scout) (anglais seulement). Si vous cherchez une fiche technique en anglais, le site Plantwise Knowledge Bank est tout indiqué. Dans le doute et pour validation, Lire la suite
Cultures maraîchères en serre, Avertissement No 10, 3 août 2020
03 août 2020
Présentation du réseau provincial des serres sentinelles du RAP. Les tétranyques sont en hausse dans toutes les cultures, particulièrement sur le concombre. Une année plutôt calme pour les thrips, mais n'oubliez pas qu'ils se déplacent massivement lorsque l'herbe n'est pas fauchée régulièrement, le long des serres. Voyez comment les températures extrêmes (tableau) peuvent jouer un rôle dans l'échec de certains agents de lutte biologique. Détection du sphinx de la tomate en Estrie et en Montérégie. Une punaise miride appelée Microtechnites (syn. Halticus) bractatus de plus en plus présente sur le concombre, le poivron, l'aubergine et même le céleri en serre.   NOUVEAUTÉ : RÉSEAU DE SERRES SENTINELLES   Le réseau des serres sentinelles est un nouveau réseau de surveillance phytosanitaire provincial dans les serres maraîchères. Il a été mis en place par le Réseau d'avertissements phytosanitaires (RAP), au début de l’été 2020, afin de dépister les ravageurs, les maladies et autres problèmes abiotiques (désordres, carences, phytotoxicités) dans des serres de différentes tailles, régies et cultures sur l’ensemble du territoire québécois. Ce réseau est coordonné par la chercheure-entomologiste Geneviève Labrie et la chargée de projet Catherine Sylvestre, du Centre de recherche agroalimentaire de Mirabel (CRAM), ainsi que par l'avertisseure et experte en serriculture au MAPAQ, Liette Lambert. Au total, une vingtaine d’agronomes et autres professionnels formant l’équipe de collaborateurs (MAPAQ, clubs, consultants) visitent une quarantaine d’entreprises serricoles dans 10 régions du Québec. Cette équipe se réunit virtuellement chaque semaine pour partager leurs observations, identifier les problématiques souvent validées par des diagnostics du Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ, discuter des meilleures pistes de solution à utiliser par les producteurs et faire le point sur les projets de recherche en cours. Lire la suite
Cultures maraîchères en serre, Avertissement No 9, 22 juillet 2020
22 juillet 2020
On observe divers cas de désordres physiologiques et de carences surtout en lien avec l’irrigation et la transpiration des plants : carence en calcium (pourriture apicale sur tomate et poivron, brûlure de la pointe (tipburn) sur laitue et feuilles en cuillère, dans le concombre), maturation inégale des fruits, carence en magnésium, fentes de croissance, insolation ou collet vert, microfendillement ou « russeting ».   CARENCE EN CALCIUM Les symptômes d’une carence en calcium s’expriment différemment selon les cultures : de la pourriture apicale sur la tomate et le poivron, des jeunes feuilles en cuillère dans le concombre (avertissement No 5), ou encore de la brûlure de pointe (tipburn) dans la laitue.   Liette Lambert, agr. (MAPAQ) Julie Marcoux, t.p. (MAPAQ) La carence en calcium est reliée à l’absorption de l’eau par les racines, puis à son transport dans le plant. Le calcium voyage dans l’eau de transpiration, mais aussi grâce à la pression racinaire qui se produit surtout durant la nuit et le matin, avant que les plants ne transpirent activement.    Par son rôle direct dans la formation des parois cellulaires, le manque en calcium se verra d’abord au niveau des jeunes tissus à croissance rapide, particulièrement en temps de canicule et d’ensoleillement intense. Le calcium se dirige donc vers les organes qui transpirent le plus, soit les vieilles feuilles au détriment des fruits et des jeunes feuilles. Alors, trop de feuilles peuvent monopoliser le calcium au détriment des fruits qui, par ailleurs, doivent aussi être protégés des rayons du soleil. Il faut trouver le bon équilibre feuilles/fruits. Sachant que 50 % de tout le calcium est absorbé par l’extrémité racinaire, tout ce qui limite l’absorption d’eau par les racines peut causer cette carence : racines déficientes ou malades; excès d’eau qui asphyxie les racines; excès de sels dans le terreau ou dans la solution nutritive qui brûlent les racines; irrigations insuffisantes Lire la suite
Cultures maraîchères en serre, Avertissement No 8, 26 juin 2020
26 juin 2020
La chaleur intense des 2 dernières semaines a causé bien des stress aux plants, une perte de vigueur, des brûlures foliaires parfois importantes et divers désordres aux cultures maraîchères en serre . À cela s’ajoutent des débuts de moisissure olive et une progression des tétranyques (avertissement Nº 6) et des thrips (avertissement Nº 2).   CANICULE ET GESTION CLIMATIQUE   La période de chaleur intense des 2 dernières semaines a laissé des traces : perte de vigueur, nouaison faible, feuilles flétries, brûlures, réduction de la qualité des fruits (fruits mous, fendillements, russetting…), perte de la couleur et de la quantité de racines. Dans tous les cas, il faut améliorer la consommation en eau de vos plants en favorisant la transpiration. La transpiration reste un mécanisme très important tout en servant de refroidisseur, quelle que soit la culture. Dès que l’humidité relative passe sous la barre du 55 %, la transpiration cesse parce que les stomates des feuilles se ferment pour se protéger de la déshydratation. L’absence de transpiration a plusieurs effets négatifs : augmentation de la température foliaire et ambiante, arrêt de fabrication des sucres que la plante brûle pour sa respiration et arrêt de transport de certains éléments nutritifs clés, comme le calcium, le bore et le potassium, des racines vers les organes en croissance. Souvent, le niveau des sucres baisse tellement que les feuilles les plus exposées au soleil, celles de l’apex, deviennent molles, flétries, noircissent ou sèchent (photos ci-dessous). Cela est un signal provenant de la plante qui indique qu’il faut faire attention de garder un niveau d’humidité relative plus grand que 55 % dans la serre. Lorsqu'il fait 28 ºC dans la serre, le taux d'humidité devrait se situer entre 55 et 65 %, et non pas à 80 % ! En visant ces valeurs, les plantes sont en mesure de bien « travailler » une bonne partie de la journée, lors d'une canicule.   Photo : Régis Larouche, Lire la suite
Cultures maraîchères en serre, Avertissement No 7, 23 juin 2020
23 juin 2020
État de la situation des cultures maraîchères en serre : avec la canicule viennent les pucerons. Beaucoup d'ennemis naturels viennent de l’extérieur des serres pour prêter main-forte à ceux déjà présents. Cependant, ce n’est pas suffisant pour contrôler les pucerons. Assurez-vous d'utiliser les bons agents de lutte biologique, surtout si vous avez de l’hyperparasitisme.   Actuellement, les principales espèces de pucerons sont présentes dans les serres. On rapporte également les premiers cas de puceron du melon sur concombre (Aphis gossypii). Restez alerte avec cet insecte et intervenez très rapidement pour éviter qu’il ne se répande comme une traînée de poudre dans les serres. Attention à l'hyperparasitisme (photo) si vous utilisez Aphidius. La meilleure solution consiste à utiliser un « cocktail » d’agents de lutte biologique : coccinelles, chrysopes, Aphidoletes, Aphelinus et Aphidius. Ne pas utiliser ce dernier s’il y a de l’hyperparasitisme. Par ce temps très chaud, pensez à ombrager les serres (chaux temporairement ou produit commercial) et à humidifier pour éviter que vos auxiliaires faillissent à la tâche. Comme nous, ils ont besoin d'eau et de fraîcheur!   Si vous utilisez déjà Aphidius, surveillez attentivement les hyperparasites qui les attaquent. Les momies de pucerons sont alors parasitées par l’hyperparasite qui a pris la place d'Aphidius en le tuant. C’est en regardant le trou d’émergence sur le dos du puceron momifié qu’on s’en rend compte. Le contour est alors très irrégulier au lieu d’être bien lisse parce que l’hyperparasite le mâchouille pour sortir de la momie (photo). Cet intrus détruit donc tout le travail réalisé par Aphidius et conduit souvent au dérapage insoupçonné du contrôle biologique. La stratégie doit donc changer en utilisant des prédateurs qui ne seront pas victimes de cette manœuvre : coccinelles, chrysopes (vendus sous forme d’œufs et de larves), syrphes et Aphidoletes.   Liette Lambert, Lire la suite
Cultures maraîchères en serre, Avertissement No 6, 16 juin 2020
16 juin 2020
État de la situation des cultures maraîchères en serre : Augmentation des niveaux de tétranyques dans plusieurs cultures comme le concombre, la tomate, le poivron et l’aubergine. La chrysomèle rayée du concombre, associée au flétrissement bactérien, mortelle et irréversible, est de plus en plus présente dans les serres. Poursuivre la lutte préventive des thrips avec les agents de lutte biologique et suivre le marquage des fleurs de tomate pour la pollinisation. Premiers cas de chenilles (arpenteuse) sur tomate.   En raison de la crise de la COVID-19, le Québec pourrait faire face à une perturbation de son approvisionnement d’équipements de protection individuelle (EPI) au cours de l’été 2020, laquelle perturbation pourrait mener à une pénurie. En toute circonstance, le respect des étiquettes des pesticides et le port d’EPI approprié sont obligatoires (article 36 du Code de gestion des pesticides). La meilleure protection contre l’exposition aux pesticides est de porter un équipement de protection individuelle. Si vous n’êtes pas en mesure de vous procurer un EPI : Ne pas appliquer de pesticides sans les EPI appropriés. Assurez-vous de porter les protections prescrites sur l’étiquette. Si possible, retardez les applications jusqu’à l’obtention des bons EPI. Utilisez des produits à moindre risque pour la santé (consultez SAgE pesticides) pour connaître les IRS des produits) ou pensez aux solutions de rechange. Utilisez, s’il y a lieu, des pesticides qui pourraient être appliqués avec des EPI actuellement disponibles ou réutilisables, comme des gants lavables et réutilisables. Advenant un manque dans l’approvisionnement des EPI, veuillez contacter votre fédération régionale de l’UPA pour les informer de la situation. Des démarches sont en cours pour assurer la disponibilité des équipements.   TÉTRANYQUE À DEUX POINTS   L'acarien prédateur Phytoseiulus persimilis n'a besoin que de tétranyques et d'humidité pour bien travailler Liette Lambert, Lire la suite
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