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18 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
31 juillet 2023
Développement du camérisier : stades phénologiques et modèles bioclimatiques pour le Québec Pour mieux comprendre le développement de la camerise, voici des outils qui abordent les sujets suivants : Les stades phénologiques importants pour le camérisier (stades de croissance) Des modèles bioclimatiques de degrés-jours
(DJ) pour différents cultivars de camérisiers Les périodes de floraison des cultivars et leur synchronisme Ces outils sont le fruit de travaux sur le camérisier menés durant trois ans et dans six régions du Québec par une équipe du MAPAQ, en collaboration avec Agriculture et Agroalimentaire Canada. À consulter Rapport de l’étude Fiche des stades phénologiques du camerisier Fiche de la période de floraison du camerisier Rapports hebdomadaires des modèles bioclimatiques du camerisier Développement du camerisier : stades phénologiques et modèles bioclimatiques pour le Québec Conférence d'une durée de 44 minutes. Visionner Quelques indicateurs de la productivité de la camerise Conférence d'une durée de 27 minutes. Visionner
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09 mai 2022
Début des activités de dépistage. Pourriture sclérotique. Remerciements aux collaborateurs. Sommaire agrométéorologique. DÉBUT DES ACTIVITÉS DE DÉPISTAGE L’équipe de dépisteurs du Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) Bleuet nain commence ses tournées des champs pour être en mesure de brosser un portrait
hebdomadaire de l’état phytosanitaire de la culture. Toutes les semaines, les avertissements présenteront l’ensemble des observations rapportées par les dépisteurs, de même que les meilleures stratégies de lutte pour apporter des solutions aux différentes problématiques phytosanitaires. Les avertissements, axés sur les activités phytosanitaires, seront brefs afin d’en faciliter la lecture. Il est possible de cliquer sur les hyperliens pour avoir accès à de l’information supplémentaire. POURRITURE SCLÉROTIQUE La pourriture sclérotique est de plus en plus observée dans les champs en récolte du Saguenay–Lac-Saint-Jean et de la Côte-Nord. Si votre champ a un historique d’infection de pourriture sclérotique, surveillez l’avancement de la culture si vous désirez procéder à un traitement préventif contre cette maladie. Pour déterminer s’il y a suffisamment de plants susceptibles d’être infectés dans le champ, choisissez 20 tiges au hasard. Comptez le nombre de tiges qui ont des bourgeons floraux au stade BBCH53. Multipliez le nombre de tiges obtenu par cinq pour obtenir un pourcentage. Lorsque 40 à 50 % des bourgeons sont au stade BBCH53, il y a suffisamment de tissus apparents pour permettre une infection par la pourriture sclérotique. Pour plus d’information sur la pourriture sclérotique, vous pouvez consulter le document La pourriture sclérotique. La figure 8 de ce document illustre les stades de sensibilité du bleuetier au développement de la maladie, soit du débourrement jusqu’au début de la floraison. Actuellement, les bleuetières de certains secteurs du Saguenay–Lac-Saint-Jean sont dans cette période de
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09 mai 2022
Un gel printanier qui est synchronisé avec la période de floraison peut provoquer d’importantes pertes de rendement dans un contexte de production de bleuets sauvages cultivés. Peu d’études se sont intéressées à la protection des fleurs contre le gel dans cette production au Québec. Les méthodes de protection sont beaucoup
mieux documentées pour d’autres cultures comme la vigne, la canneberge ou la fraise. Au Québec, l’utilisation de machine à vent est une méthode principalement observée dans la vigne. Ce projet visait à évaluer la performance d’une machine à vent selon la portée de celle-ci, le gain de température qu’il est possible d’atteindre et l’impact sur le rendement en fruits. Les essais se sont déroulés au printemps 2021 à Normandin. Cette période a été marquée par des périodes de gels à la fin mai causant un important synchronisme « fleurs-gel » qui a touché la majorité des superficies de bleuets au Saguenay-Lac-Saint-Jean. Pour le Québec, ce n’est que le tiers du rendement annuel moyen qui a été atteint en 2021.
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14 septembre 2021
Une équipe du MAPAQ, en collaboration avec Agriculture et Agroalimentaire Canada, ont mené des travaux sur le camérisier durant trois ans, dans six régions du Québec. Le rapport présente : Les stades phénologiques importants pour le camérisier (stades de croissance); Des modèles bioclimatiques de degrés-jours (DJ)
pour différents cultivars de camérisiers; Les périodes de floraison des cultivars et leur synchronisme. Consultez tous les contenus (rapports, conférences et fiches techniques) en lien avec le projet
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22 février 2021
OBJECTIF DU PROJET • Année 2016: Documenter l’impact potentiel des CC sur les ravageurs et maladies présents au Québec ---Revue de littérature • Année 2017-2018: Modéliser l’impact des CC pour des études de cas selon les scénarios climatiques à l’horizon 2041-2070 pour le Québec • Année 2018-2019: Identifier et proposer
des mesures d’adaptation aux CC pour ces ravageurs et maladies ciblés des quatre secteurs de cultures
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15 janvier 2020
Ce projet a pour objectif général de documenter l’impact des changements climatiques (CC) sur les ravageurs et maladies des principales cultures fruitières du Québec (pomme, canneberge, fraise et framboise) et d’identifier des mesures d’adaptation. Cinq objectifs spécifiques ont été établis. Premièrement, une revue de littérature
sur des espèces ciblées de ravageurs et maladies déjà présentes dans les cultures de la pomme, la canneberge, la fraise et la framboise a été réalisée afin de documenter leurs caractéristiques (temps de développement, survie, cycle de vie, etc.) et les variables pour déterminer quelles espèces pourraient être favorisées par les changements climatiques (Objectif 1). Dans une deuxième étape, une revue de littérature a été effectuée pour déterminer quelles espèces exotiques envahissantes (EEE) présentent une menace pour les quatre cultures fruitières du Québec (Objectif 2). Une troisième étape visait à modéliser finement l’effet des changements climatiques sur le développement phénologique de sept études de cas choisies grâce aux revues de littératures précédentes et sur la phénologie des cultures qu’elles attaquent (Objectif 3). Enfin une quatrième étape visait à identifier et recommander des mesures d'adaptation aux effets des CC pour les ravageurs et maladies visées dans les études de cas (Objectif 4). Finalement un dernier objectif visait à réaliser une synthèse des projets réalisés au Québec sur la phytoprotection en lien avec les changements climatiques pour dégager des recommandations sur les besoins de recherches à poursuivre dans le futur.
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15 janvier 2019
La drosophile à ailes tachetées (Drosophila suzukii Matsumura) provoque des dommages significatifs aux cultures de bleuets en corymbe, fraises et framboises. La pulvérisation d'insecticide est recommandée en période de récolte afin de contrôler les populations et réduire la quantité de larves dans les fruits. En présence
de fruits mûrs ou en mûrissement, le seuil d'intervention actuel est d'un seul adulte capturé par site de piégeage. Cependant, le lien entre les captures dans les pièges, les dommages aux fruits et les pertes économiques demeure peu documenté. Ce projet a permis d’acquérir les connaissances nécessaires pour déterminer si les captures dans les pièges peuvent prédire les niveaux de dommages (nombre de larves ou adultes présents dans les fruits infestés) et les pertes de rendement au champ. Le dépistage, les dommages et les rendements ont été évalués dans des champs de framboises d’été et framboises d’automne sur cinq fermes situées dans trois régions au Québec. Les résultats de 2016 et 2017 montrent que peu importe la distance entre le prélèvement des fruits et le piège, celle-ci n’influence pas le nombre de larves observées dans les fruits avec un test de sel. Également, nos résultats montrent que la corrélation la plus significative existe entre le nombre de femelles de D. suzukii capturées dans les pièges et les larves observées dans les fruits avec un test de sel lorsque les fruits sont cueillis la même journée que le dépistage du piège. Les modèles linéaires mettant en relation le nombre de femelles dépistées et les nombres de larves/100 fruits et les pertes de rendement donnent des équations prédictives avec des R carrés supérieurs à 69%.
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