Chargement en cours
- Toutes les organisations
- Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC)
- Association des médecins vétérinaires praticiens du Québec (AMVPQ)
- Association des producteurs de fraises et framboises du Québec (APFFQ)
- Association des producteurs maraîchers du Québec (APMQ)
- Banque Nationale du Canada (BNC)
- Caïn Lamarre S.E.N.C.R.L./Avocats
- Centre de recherche en sciences animales de Deschambault (CRSAD)
- Centre de recherche, de développement et de transfert technologique acéricole inc.
- Centre de référence en agriculture et agroalimentaire du Québec (CRAAQ)
- Centre d'études sur les coûts de production en agriculture (CECPA)
- Centre d'expertise en production ovine du Québec (CEPOQ)
- Centre d'expertise et de transfert en agriculture biologique et de proximité (CETAB+)
- Centre d'innovation sociale en agriculture (CISA)
- Fédération des producteurs d'œufs du Québec (FPOQ)
- Financement agricole Canada (FAC )
- Fondaction
- Fonds d'investissement pour la relève agricole (FIRA)
- Institut de recherche et de développement en agroenvironnement (IRDA)
- Institut de technologie agroalimentaire du Québec (ITAQ)
- Institut de valorisation des données (IVADO)
- Institut nationale d'agriculture biologique (INAB)
- La Financière agricole du Québec (FADQ)
- Lactanet
- Le Bulletin des agriculteurs
- Les Apiculteurs et Apicultrices du Québec (AADQ)
- Les Éleveurs de porcs du Québec (EPQ)
- Les éleveurs de volailles du Québec
- Les Producteurs de grains du Québec (PGQ)
- Les Producteurs de lait du Québec (PLQ)
- Les producteurs de pommes du Québec (PPQ)
- L'Union des producteurs agricoles (UPA)
- Ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ)
- Mouvement Desjardins
- Ordre des agronomes du Québec (OAQ)
- Sollio Groupe Coopératif
- Université McGill
- VIA Pôle d’expertise en services-conseils agricoles
28 documents correspondants à votre recherche et/ou filtre(s) sélectionné(s)
09 mai 2023
Article scientifique publié en anglais seulement sur l'identification et l'utilisation en champ d'une phéromone sexuelle d'Agriotes mancus, un taupin présent au Québec. Les phéromones peuvent être utilisées dans des pièges fosses. Agriotes mancus est une des espèces d'Agriotes prédominente. Elle possède un cycle de vie
et une morphologie similaires à d'autres espèces européennes qui sont invasives au Canada. Les composés volatils émis par des femelles d'Agriotes mancus ont été isolés et caractérisés en laboratoire et des leurres ont été testés en champ, à l'aide de pièges-fosses. Les expériences en champs ont montrée que les pièges contenant une combinaison de géranyl butanoate et de géranyl hexanoate capturent 30 fois plus d'Agriotes mancus que les pièges contenant uniquement un des deux composés. Les pièges composés de géranyl butanoate seul ont permis de collecter de grandes quantités d'Agriotes sputator, indiquant l'établissement de cette espèce invasive au Québec. L'utilisation de pièges à phéromone peut être inclue dans le développement de programmes de surveillance et de gestion des espèces natives and invasives d'Agriotes en Amérique du Nord.
Lire la suite
23 septembre 2022
Fruit d'une collaboration du CÉROM avec Agriculture et Agroalimentaire Canada et l'Université Simon Fraser, cette note scientifique (en anglais) rapporte la première mention au Québec d'Agriotes sputator, une espèce de taupin invasive. Ce ravageur originaire d'Europe était jusqu'à maintenant localisé dans les Maritimes,
mais il semble se déplacer vers l'Ouest. Les larves (vers fil-de-fer) de cette espèce sont très dommageables pour plusieurs cultures. L'article traite également des possibles implications que l'arrivée de cette espèce pourraient avoir au Québec. Vous pouvez demander une copie au co-auteur : julien.saguez@cerom.qc.ca
Lire la suite
02 mars 2022
Du sarrasin et des abeilles aux cultures de couverture et semis directs, nous explorons comment Henry Denotter, producteur du bassin versant de Wigle Creek, et Pamela Joosse, spécialiste de la gestion des sols et des éléments nutritifs, ont travaillé ensemble pour réduire la pollution du lac Érié dans le cadre des Laboratoires
vivants d'Agriculture et Agroalimentaire Canada. (Les premiers seize pour cent est la série de balados d'Agriculture et Agroalimentaire Canada qui explore les idées les plus fraîches en alimentation et en agriculture. The podcast is also available in English: Resolving soil nutrient loss and pollution in Lake Erie)
Lire la suite
19 novembre 2021
DU NOUVEAU À LA FERME EXPÉRIMENTALE DE NORMANDIN - Des orientations de recherche nouvelles en agricultures nordique et autochtone, jumelées à des ressources scientifiques accrues. Située en zone nordique, à la frontière de la forêt mixte et de la forêt boréale, la Ferme expérimentale de Normandin d’Agriculture et
Agroalimentaire Canada (AAC) est en opération depuis 1936. Les recherches qu’on y a menées ont contribué de façon importante à l’agriculture pratiquée dans la région du Saguenay-Lac-Saint-Jean au Québec. Récemment, AAC et les organisations agricoles de cette région se sont lancés dans une réflexion en profondeur concernant le mandat et les priorités de recherche de la ferme expérimentale pour les années à venir.
Lire la suite
15 octobre 2021
Rapport final d'un projet sur la biologie et la reproduction de la légionnaire uniponctuée élevée à différentes températures en conditions de laboratoire et en milieu naturel. Le projet visait également à évaluer l'attractivité des phéromones utilisées pour le dépistage de l'insecte. Ce projet a été réalisé par le CÉROM
en collaboration avec l'université Laval, en vertu du volet 4 du programme Prime-Vert 2013-2018 et il a bénéficié d’une aide financière du ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation (MAPAQ) par l’entremise de la Stratégie phytosanitaire québécoise en agriculture 2011-2021. Ce projet a également reçu le soutien de Mitacs dans le cadre du programme Mitacs Accélération et a permis de financer une partie de la Maîtrise de Sandrine Lemaire-Hamel.
Lire la suite
28 mai 2021
VER-GRIS MOISSONNEUR : zones touchées : Charlevoix, Chaudière-Appalaches et Bas-Saint-Laurent. DÉSHERBER par temps sec. VER-GRIS NOIR : dépistage des champs de maïs à risque. Suivi des MALADIES DES CÉRÉALES d'automne. CHRYSOMÈLE DU HARICOT dans le soya. Émergence de l'AMARANTE TUBERCULÉE. JAUNISSEMENT du maïs. Télécharger
l'enregistrement audio de l'avertissement Lecture audio de l'avertissement RAP GC no 5 du 28 mai 2021 PRÉSENCE DU VER-GRIS MOISSONNEUR : DÉPISTAGE RECOMMANDÉ DANS LES ZONES TOUCHÉES PAR LE RAVAGEUR Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les papillons Lecture audio sur le VGM (avertissement RAP GC no 5 du 28 mai 2021) Depuis la dernière semaine, de nouvelles observations de larves de ver-gris moissonneur ont été rapportées au RAP Grandes cultures. Le ravageur est présent dans plusieurs champs dans la région de Charlevoix, à La Pocatière et à Saint-Pascal (Bas-Saint-Laurent) et dans les localités de Saint-Jean-Port-Joli et de Sainte-Louise (Chaudière-Appalaches). Ces observations s’ajoutent à celles signalées dans le dernier avertissement. Un collaborateur du réseau a dépisté 5 champs dans Charlevoix le 25 mai. Le dépistage s’est fait en grattant le sol sur quelques centimètres de profondeur et en dénombrant les larves à 5 stations représentatives dans chacun de ces champs. La taille des larves retrouvées variait entre 1 et 2,5 cm. Le dépistage de cette espèce est recommandé dans les prairies et les céréales, en particulier dans les zones où l’espèce a été observée cette année et dans les zones touchées l’année dernière. Attention de ne pas confondre le ver-gris moissonneur avec d’autres espèces de vers gris. Il n’y a pas de seuil économique d’intervention pour les prairies autres que la luzerne pure. Aucun produit n’est homologué pour lutter contre les vers gris dans tous les types de prairies. Dans les cas d’infestations dans des prairies, la stratégie pourrait être de devancer la fauche et ainsi
Lire la suite
14 mai 2021
VER-GRIS MOISSONNEUR signalé dans Charlevoix : dépistage recommandé dans les zones qui ont été touchées en 2020. PERTINENCE DE L’UTILISATION DE FONGICIDES POUR PROTÉGER LE FEUILLAGE DES CÉRÉALES. Pics d’activité des adultes de la MOUCHE DES SEMIS. TIPULE DES PRAIRIES : des dommages pourraient
être observés. Télécharger l'enregistrement audio de l'avertissement Lecture audio RAP GC avertissement no 3 du 14 mai 2021 PRÉSENCE DU VER-GRIS MOISSONNEUR DANS CHARLEVOIX : DÉPISTAGE RECOMMANDÉ DANS LES ZONES TOUCHÉES PAR LE RAVAGEUR L’ANNÉE PASSÉE Groupe de travail du RAP Grandes cultures sur les papillons Télécharger l'enregistrement audio de cette section de l'avertissement Lecture audio sur le ver-gris moissonneur (RAP GC avertissement no 3 du 14 mai 2021) Des larves de ver-gris moissonneur (VGM) ont été signalées dans les derniers jours dans un champ de luzerne et quelques champs de légumes dans la région de Charlevoix. En 2020, plusieurs champs de grandes cultures (prairies, avoine-pois, céréales) ont été infestés par des larves de VGM. Le premier cas avait été rapporté au RAP à la mi-juin à Saint-Jean-Port-Joli en Chaudière-Appalaches. Un peu plus tard, des cas ont été rapportés dans la municipalité voisine de Sainte-Louise. Plusieurs champs de la région de Charlevoix et dans plusieurs secteurs (surtout ouest) du Bas-Saint-Laurent (La Pocatière, Saint-Denis, Kamouraska, Saint-Pascal, Rivière-du-Loup, Saint-Arsène, Saint-Hubert et Saint-Germain) ont également été affectés par le ravageur. Certaines cultures ont été complètement détruites par l'insecte. Il est possible que les papillons aient pondu dans les champs des zones affectées à l’automne passé et que les œufs aient survécu en raison de l’hiver doux et du printemps sec. La survie de larves au printemps pourrait aussi être affectée par la présence ou non d’ennemis naturels. Les vers-gris moissonneurs s'alimentent de feuilles et de tiges en débutant par
Lire la suite
06 mai 2021
Comment évaluer l’impact du gel et du froid sur les grandes cultures? Cet avertissement traite notamment de l’impact du gel sur les céréales déjà en terre et sur le maïs semé à l’aide d’un semoir spécialisé pour l’installation de film plastique. IMPACT DU GEL ET DU FROID SUR LES SEMIS RÉALISÉS ET À VENIR
Télécharger l'enregistrement audio de l'avertissement Lecture audio RAP GC avertissement no 2 du 7 mai 2021 Lors de la période de semis et au moment de la levée, les épisodes de gel ou tout simplement de refroidissement peuvent causer du stress ou des dommages aux cultures. La fiche technique Temps froid et gel printanier : effets sur les cultures traite de l’impact du froid lors de la germination et après la levée pour le maïs, le soya et les céréales, et décrit les méthodes pour évaluer les dommages. Semis de céréales Les céréales, semées à l’automne ou au printemps, supportent bien les épisodes de gel et de froid à cette période de l’année. Par ailleurs, les épisodes de gel successifs ont pu endommager certains champs. L’heure est au diagnostic. Les graines non germées résistent bien à des températures glaciales. C’est surtout au moment de la germination que le blé peut être affecté par un épisode de gel. Si la température est bien en dessous du point de congélation, il serait possible de perdre des plants. Les jeunes plants, jusqu’au stade de la 1re feuille, peuvent être vulnérables au gel. Après ce stade, la survie des plants a peu de chance d’être compromise. La température gélive se situe autour de -2 °C pour des expositions prolongées, mais le point de croissance est sous le sol et la céréale est bien protégée. À la suite d'un épisode de gel, voici les symptômes pouvant être observés chez les céréales : rougissement des feuilles, port flasque, jaunissement, dessèchement et pincement sur les feuilles. À gauche : Semis de seigle de printemps 2021, affecté par la neige et le gel, une journée après un gel de -4 °C
Lire la suite
15 avril 2021
7 ASTUCES EN CE DÉBUT DE SAISON POUR PROTÉGER LA SANTÉ DE VOS CULTURES Télécharger l'enregistrement audio de l'avertissement Plusieurs actions peuvent être mises en œuvre pour prévenir et mieux contrôler les ennemis des grandes cultures tout en favorisant la rentabilité des entreprises agricoles.
1. Planifiez vos rotations En plus des bénéfices économiques découlant de l’amélioration de la qualité des sols, l’alternance d’au moins trois cultures différentes dans un champ donné permet de réduire la pression de certains insectes, mauvaises herbes et maladies. Un sol bien structuré et riche en matière organique rend les racines moins sujettes aux maladies. Autre exemple, la rotation des cultures est très efficace pour contrôler la chrysomèle des racines du maïs. Le printemps est un bon moment pour planifier l'ensemencement d'une céréale d'automne après la culture du soya ou pour planifier vos engrais verts d’automne à la dérobée. 2. Pensez à désherber en début de saison Les températures chaudes des derniers jours ont favorisé la germination et la croissance des mauvaises herbes. Il est donc nécessaire de prévoir dès maintenant une stratégie de désherbage puisque les cultures tirent avantage à être exemptes de mauvaises herbes au moment de la levée. Des périodes critiques durant lesquelles les cultures doivent être préservées de cette compétition pour l’eau, la lumière et les éléments fertilisants ont été établies. Par exemple, la période critique pour le maïs s'étend du stade 2 feuilles au stade 8 feuilles. Les mauvaises herbes qui apparaîtront au-delà de ces périodes auront beaucoup moins d’impacts sur le rendement. Pour en savoir plus sur ces périodes critiques, consultez la fiche technique Désherbage de début de saison. Un retard sur le désherbage des vivaces et des volontaires de céréales d'automne rend l’opération de désherbage plus difficile à réaliser. Une autre bonne raison de désherber tôt en
Lire la suite
10 février 2021
Cette fiche synthèse résume les résultats d'un projet de développement et de transfert de connaissances en agroenvironnement. L'objectif principal de ce projet était de favoriser l'adoption de pratiques de conservation des sols tels que le semis direct et les cultures de couverture en Chaudière-Appalaches. Il visait notamment
à favoriser chez les entreprises agricoles l'acquisition des connaissances nécessaires à la réussite d'une implantation de soya dans une culture vivante de seigle d'automne en semis direct. Le projet a permis de comparer les rendements du soya dans des parcelles semées avec ou sans seigle d'automne. Le projet a aussi permis de documenter la pratique sur plusieurs aspects soit notamment, la performance du seigle, le contrôle des mauvaises herbes et la qualité du sol.
Lire la suite
1 à 10 sur 28