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Fraise, Avertissement No 2, 17 avril 2024

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17 avril 2024
Poursuite du dépaillage et stades de développement. Évaluez si vos champs, nouveaux plants ou fraisiers sauvages sont porteurs de virus. Dépistage des oeufs de pucerons du fraisier. Femelles hibernantes de tétranyques. Affiches PFI fraise 2024-2025.     POURSUITE DU DÉPAILLAGE ET STADES DE DÉVELOPPEMENT   Selon les informations reçues par les conseillers qui ont débuté les tournées terrain, après la Montérégie et le Centre-du-Québec, le dépaillage s’est poursuivi cette semaine pour certains champs en Mauricie et en Capitale-Nationale.    Dans des champs de cultivars hâtifs sous bâches (SEASCAPE 2e année ou CLERY), le stade « début floraison » est atteint dans certains champs en Montérégie, alors que le stade « début boutons verts » est atteint dans certains champs du Centre-du-Québec. ÉVALUEZ SI VOS CHAMPS, NOUVEAUX PLANTS OU FRAISIERS SAUVAGES SONT PORTEURS DE VIRUS   Si vous avez eu des problèmes de virus dans certains champs l'an dernier, les prochaines semaines seront un bon moment pour faire des analyses pour savoir si les champs qui ont hiverné, les fraisiers sauvages à proximité ou encore les nouveaux plants qui seront implantés sont porteurs de virus. Ceci vous guidera à savoir si des interventions contre les insectes vecteurs de virus seront nécessaires au cours de la saison, afin de limiter la dispersion des virus à d'autres champs. Un échantillon est composé de trois jeunes feuilles MATURES prélevées sur des plants différents. Vous pourrez par la suite les acheminer au Laboratoire d’expertise et de diagnostic en phytoprotection du MAPAQ. DÉPISTAGE DES ŒUFS DE PUCERONS DU FRAISIER   Des œufs de pucerons du fraisier ont commencé à être observés dans des champs qui venaient d’être dépaillés. Tout de suite après le dépaillage, vous pouvez vérifier la présence des œufs de pucerons du fraisier qui ont hiverné dans vos champs. Ces œufs sont noirs et luisants, et localisés Lire la suite

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15 avril 2024
La punaise terne, Lygus lineolaris, est un ravageur important de la fraise au Québec qui provoque d'importantes pertes de rendement. En agriculture conventionnelle, la lutte contre cet insecte se fait par le biais d’applications insecticides tandis que les producteurs en régie biologique sont démunis face à cette problématique. Ces dernières années, un nouvel équipement a fait son apparition sur le marché : les mini-tunnels rétractables. Les mini-tunnels utilisent le même principe que les grands tunnels, mais ils sont trois fois moins dispendieux et plus versatiles en plus de présenter les mêmes avantages. Il s’agit de tunnels bas (environ 28 po) qui recouvrent une butte à la fois tout au long de la saison de culture. Un système d’arceaux recouverts d’un film transparent retenu par des élastiques permet de remonter ou descendre les côtés selon le climat. Le film transparent, qui permet de protéger les plants de la pluie et des éclaboussures de sol, peut être remplacé par un filet anti-insecte, permettant l’exclusion des principaux ravageurs, dont la punaise terne. L’objectif général du projet est de développer une nouvelle méthode de contrôle alternative aux pesticides utilisant des filets d’exclusion anti-insecte pour lutter contre la punaise terne (Lygus lineolaris) dans la culture de la fraise d’automne. Ainsi, un essai de plein champ a été conduit durant les saisons 2020, 2021 et 2022 sur le site de la ferme expérimentale du CIEL à Lavaltrie (2020 et 2021) et à Lanoraie (2022). Nous y avons testé 3 types de filets anti-insecte (17, 56 et 70 g) installés sur armature de mini-tunnels et un filet anti-insecte (70 g) installé sans armature, soit directement déposé sur la culture, pour lutter contre la punaise terne. Leur efficacité a été comparée à un témoin non traité et à un témoin commercial avec une régie de traitements insecticides conventionnels contre la punaise terne. En 2020, la faible population de punaises ternes sur le site d’essai n’a pas permis d’observer Lire la suite

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15 avril 2024
La punaise terne, Lygus lineolaris, est un ravageur important de la fraise au Québec qui provoque d'importantes pertes de rendement. En agriculture conventionnelle, la lutte contre cet insecte se fait par le biais d’applications insecticides tandis que les producteurs en régie biologique sont démunis face à cette problématique. Ces dernières années, un nouvel équipement a fait son apparition sur le marché : les mini-tunnels rétractables. Les mini-tunnels utilisent le même principe que les grands tunnels, mais ils sont trois fois moins dispendieux et plus versatiles en plus de présenter les mêmes avantages. Il s’agit de tunnels bas (environ 28 po) qui recouvrent une butte à la fois tout au long de la saison de culture. Un système d’arceaux recouverts d’un film transparent retenu par des élastiques permet de remonter ou descendre les côtés selon le climat. Le film transparent, qui permet de protéger les plants de la pluie et des éclaboussures de sol, peut être remplacé par un filet anti-insecte, permettant l’exclusion des principaux ravageurs, dont la punaise terne. L’objectif général du projet est de développer une nouvelle méthode de contrôle alternative aux pesticides utilisant des filets d’exclusion anti-insecte pour lutter contre la punaise terne (Lygus lineolaris) dans la culture de la fraise d’automne. Ainsi, un essai de plein champ a été conduit durant les saisons 2020, 2021 et 2022 sur le site de la ferme expérimentale du CIEL à Lavaltrie (2020 et 2021) et à Lanoraie (2022). Nous y avons testé 3 types de filets anti-insecte (17, 56 et 70 g) installés sur armature de mini-tunnels et un filet anti-insecte (70 g) installé sans armature, soit directement déposé sur la culture, pour lutter contre la punaise terne. Leur efficacité a été comparée à un témoin non traité et à un témoin commercial avec une régie de traitements insecticides conventionnels contre la punaise terne. En 2020, la faible population de punaises ternes sur le site d’essai n’a pas permis d’observer Lire la suite

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11 avril 2024
Différentes stratégies de lutte contre la tache angulaire du fraisier causée par la bactérie phytopathogène Xanthomonas fragariae ont été évaluées au cours des saisons estivales 2022 et 2023.

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11 avril 2024
Différentes stratégies de lutte contre la tache angulaire du fraisier causée par la bactérie phytopathogène Xanthomonas fragariae ont été évaluées au cours des saisons estivales 2022 et 2023.
Fraise, Avertissement No 1, 10 avril 2024

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10 avril 2024
Début du dépaillage en Montérégie et au Centre-du-Québec. Évaluation des dommages de gel hivernal et du cœur rouge du collet. Traitement à la CHAUX SOUFRÉE contre la moisissure grise et le blanc.     DÉPAILLAGE   Dans les secteurs les plus chauds de la Montérégie et du Centre-du-Québec, certains producteurs ont entamé ou entameront sous peu le dépaillage de leur fraisière. À la suite de la fonte des neiges, les champs de fraises doivent être dépaillés. Mais quel est le meilleur moment pour effectuer cette opération? Consultez la fiche technique Le dépaillage des fraisières, afin de vous aider à bien planifier le meilleur moment pour effectuer cette opération et de voir le rôle que la paille peut jouer pour couper le cycle de transmission de certaines maladies. Pour un aperçu du couvert de neige présent selon les secteurs, vous pouvez consulter ce site.   ÉVALUATION DES DOMMAGES DE GEL HIVERNAL ET DU CŒUR ROUGE DU COLLET (PHYTOPHTHORA CACTORUM) Lorsque les fraisiers recommencent leur croissance au printemps, on remarque à l’occasion des plants brunis qui ne montrent aucun signe de débourrement ou encore des plants qui peinent à démarrer. Est-ce dû au gel hivernal ou à des maladies? En coupant le cœur de certains plants afin d’évaluer le brunissement des tissus du collet, divers symptômes sont observables. Pour savoir comment procéder et voir des photos des divers symptômes, consultez la fiche Évaluation visuelle du gel hivernal dans les fraisières ainsi que la publication Identifier le cœur rouge du collet dans le fraisier (Phytophthora cactorum).   CHAUX SOUFRÉE La CHAUX SOUFRÉE (LIME SULPHUR) est homologuée dans la fraise contre le blanc et la moisissure grise, pour une application au début de la croissance, après l’enlèvement de la paille. Dans les champs de 2e et 3e année de production qui ont connu un niveau élevé de maladie par la moisissure grise et le blanc en 2023, ce traitement peut être intéressant.    Lire la suite
27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque.  La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial. Lire la suite
27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque.  La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial. Lire la suite
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