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Solanacées, Avertissement No 1, 24 avril 2024

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24 avril 2024
La prévention du mildiou dans les tomates de champ.   PRÉVENTION DU MILDIOU DANS LES TOMATES DE CHAMP, PRINTEMPS 2024 En 2023, plusieurs cas de mildiou, maladie causée par l'oomycète Phytophthora infestans, ont été recensés au Québec. Ces cas ont été retrouvés autant dans des cultures de tomates que de pommes de terre. Dans la tomate, la maladie a été diagnostiquée dans les champs et les cultures abritées (tunnels et serres) autant en régie conventionnelle que biologique. Le mildiou est une maladie extrêmement destructrice et plusieurs efforts sont déployés chaque année pour détecter son apparition et surveiller sa progression. Des échantillons peuvent être analysés par le Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) pour déterminer le génotype présent. En 2023, c'est le génotype US-23 qui a été trouvé dans tous les échantillons analysés. En 2016, Frost et al. démontraient que le génotype US-23 survit plus longtemps sur des semences de tomates infectées que d’autres génotypes à des températures entre -3 et 4 °C. Cela veut dire que des tissus infectés par cet oomycète en 2023 et qui ont été enfouis au champ ou laissés dans une serre, même non chauffée et faiblement isolée, pourraient être encore viables en 2024. L'organisme survivrait uniquement sur du tissu végétal vivant, comme les semences de fruits contaminés tombés au sol et enfouis dans la couche superficielle du sol.   Le mildiou pourrait également avoir survécu sur des pommes de terre, soit dans des piles de rebuts ou dans des tubercules laissés au champ et qui germeront au printemps. Il pourrait donc y avoir des foyers d'infestation plus tôt qu’à l’habitude. Au début avril, un premier cas a d’ailleurs été déclaré dans l’État de New York dans la tomate en grand tunnel. Soyez particulièrement vigilant si vos cultures de tomates ou de pommes de terre, ou les cultures avoisinantes, ont été atteintes de mildiou en 2023. La vigilance est tout de même de Lire la suite
09 avril 2024
Le CRPTQ détient un rôle fédérateur au sein de la filière de la pomme de terre du Québec. Il doit gérer les attributions des droits de production et commercialisation des variétés avancées, développée par le programme de développement variétal du CRPTQ, et ce, avec différentes entreprises du Québec afin de maximiser la commercialisation de ses variétés. Par le présent document, le CRPTQ procède à un appel d’expression d’intérêt (AEI) auprès des entreprises de semences du Québec intéressées d’acquérir les droits de production et de commercialisation de ses variétés avancées. Le CRPTQ a l’obligation de réaliser tous ses AEI de façon publique et élargie. C’est ainsi que le conseil d’administration et la direction du CRPTQ a mis en place de nouvelles modalités (Annexe 1) pour faciliter l’accès de variétés du CRPTQ par des producteurs de semences de plus petite envergure et à des coûts plus accessibles. Le processus d’AEI inclura des niveaux de priorités selon les conditions établies dans l’Annexe 1... Formulaire (accessible en cliquant ici) Lire la suite
27 mars 2024
L’équipe de réalisation et les partenaires agricoles ont permis la structuration de la BD-Horus et la création de l’application web Horus. L’application Horus via des menus conviviaux, facilite la visualisation et l’interprétation des données requises pour déterminer la qualité des sols cultivés. L’application regroupe les variables indicatrices et des indices de la productivité du sol, de la diversité des communautés microbiennes, du risque posé par des maladies de la pomme de terre ainsi que des indicateurs liés à diverses fonctions assumées par les communautés microbiennes. La volonté des producteurs à simplifier la gestion de leurs diverses variables indicatrices les incitera à confier à la BD-Horus la gestion de leurs données pour se prévaloir des avantages de l’application. L’application Horus est sécurisée et restreinte aux seuls utilisateurs munis d’un code d’accès. Toutes les données dont la consultation est autorisée sont associées à un sol géolocalisé et elles sont affichables sur une carte du champ. L’application permet de visualiser, comparer et positionner chaque variable indicatrice ou indice, des sols et les valeurs moyennes des champs pour les comparer à des valeurs moyennes de référence calculées : 1) Pour tous les champs de l’entreprise inscrits dans la BD ou 2) Pour tous les champs de la BD ou 3) Pour tous les champs de la BD qui partagent les mêmes caractéristiques texturales. L’application Horus facilite ainsi l’intégration et la visualisation des données analytiques des producteurs année après année et intègre la géolocalisation des zones évaluées. De plus, elle facilite l’interprétation des variables et des indices et leur comparaison entre les champs de l’entreprise. L’utilisation des données de référence pondère l’interprétation des résultats obtenus dans les champs de l’entreprise et permet à l’entreprise de (a) se fixer des objectifs d’amélioration de la qualité de ses sols cultivés, et (b) d’évaluer les effets année après année Lire la suite
26 mars 2024
Des pommes de terres galées (présentant des symptômes de la gale commune) ont été obtenus de 24 producteurs (36 champs distincts) localisés dans 8 régions administratives du Québec. Les Streptomyces spp. responsables de symptômes de la gale commune ont été isolés en cultures pures à partir de ces pommes de terre, permettant d'obtenir une représentativité de la diversité des Streptomyces spp. causant la gale commune à l'échelle provinciale... Consultez le Rapport final joint. Ce projet a été cofinancé par le Programme de recherche du Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec (CRPTQ), étant financé par les Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ). Lire la suite
26 mars 2024
Le nématode des lésions : - Vers microscopiques de 0.5 mm - Appartient au genre Pratylenchus - Entre et ressort des racines pour s'y nourrir et s'y reproduire - Endommage le système racinaire - Cause la mort prématurée des pommes de terre en synergie avec le champignon, Verticillium dahliae... Consultez le pamphlet joint.   Lire la suite
26 mars 2024
Une des premières étapes pour la gestion du nématode des lésions est de faire un dépistage des genres/espèces de nématodes présents dans le champ. Pour ce faire, un échantillonnage de sol effectué à l’automne, après la récolte en septembre/octobre, à une profondeur de 0-30 cm, va permettre de déterminer quel est le genre de nématodes qui est présent. L’échantillonnage au printemps est aussi possible mais les nématodes y sont généralement moins nombreux. Consultez le Guide joint. Ce projet a été cofinancé par le Programme de recherche du Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec (CRPTQ), étant financé par les Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ). Lire la suite
26 mars 2024
Les symptômes sur la pomme de terre s’observent sur les feuilles, les pétioles, les tiges et les racines bien que peu fréquents Mais en général, les symptômes foliaires (Fig 1 A) sont rares et peuvent être confondus avec une déficience en calcium Toutefois, le symptôme plus distinctif dans la pomme de terre est la présence dans la chair des tubercules d’arcs et de nécroses liégeux communément appelés « Spraings » en anglais (Fig 1 B) Ces dommages peuvent être considérés comme une réponse d’hypersensibilité à l’infection virale visant à freiner sa progression L’intensité de ces arcs liégeux est plus prononcée sur les tubercules de plus grosse taille, les tubercules récoltés plus tardivement et s’accroît pendant l’entreposage Cependant, la transmission du virus de tubercules de pomme de terre mère vers des tubercules filles est limitée. Consultez le guide joint. Ce projet a été cofinancé par le Programme de recherche du Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec (CRPTQ), étant financé par les Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ). Lire la suite
26 mars 2024
Des échantillons de sols et de tubercules de pomme de terre ont été collectés en 2019, 2020 et 2021 dans 40 champs couvrant six régions administratives du Québec. Pour ces années d’échantillonnages, les nématodes du genre Trichodorus et Paratrichodorus, vecteurs du virus du bruissement du tabac (TRV), n’ont pas été détectés dans aucun des échantillons. Par contre, des nématodes phytoparasites (n = 2 255) ont été identifiés au genre à l'aide de leurs caractéristiques morphologiques et moléculaires, et plusieurs élevages d’isolats québécois du nématode des lésions ont été établis. Des tests de pathogénicité ont été réalisés pour les trois espèces de Pratylenchus retrouvées au Canada dans l’étude du CanPEDnet, soient P. penetrans, P. crenatus et P. neglectus. Des tests d'interactions avec V. dahliae ont également été complétés. La caractérisation moléculaire du gène COI des nématodes a été complétée sur 270 individus en provenance du Québec et 18 individus ont des séquences compatibles avec P. penetrans, 251 avec P. crenatus, et 1 avec P. neglectus. Ces données ont permis d’évaluer la diversité génétique à l’intérieur et entre les champs afin de développer des outils diagnostic pour ce groupe de nématodes. La prévalence du virus du bruissement du tabac (TRV) a également été testée. Les extractions d’acides nucléiques de 246 échantillons de tubercules de pommes de terre et de sols ont été colligées. Aucun échantillon de tubercules ou de sols ne s’est avéré positif pour le TRV. De plus, la prévalence de six autres virus qui n’étaient pas ciblés par ce projet a été évaluée. Ces virus sont, le virus de l’enroulement de la pomme de terre (PLRV), le virus A de la pomme de terre (PVA), le virus V de la pomme de terre (PVV), le virus X et Y de la pomme terre (PVX et PVY) et le virus du sommet touffu de la pomme de terre (PMTV). Sur le cumul des trois années, 60% des échantillons de tubercules étaient porteurs du PVY, 6% pour le PLRV et 3% pour le PVX. Le TRV et le PMTV ont été Lire la suite
26 mars 2024
Notre objectif global était de réduire les pertes économiques subies par la pomme de terre dans les régions de culture canadiennes à cause du doryphore de la pomme de terre (doryphore). Plus précisément, nous voulions déterminer la sensibilité locale des populations de doryphores à plusieurs classes d'insecticides grâce à un réseau national de surveillance de la résistance, améliorer la gestion de la résistance, mieux caractériser la base moléculaire du développement de la résistance et mettre au point de nouveaux outils de vulgarisation pour améliorer les pratiques de gestion. Voici le rapport final du projet de recherche.  Ce projet de recherche a été cofinancé par le Programme de recherche du CRPTQ. Le Programme de recherche du CRPTQ finance des projets de recherche appliquée répondant aux enjeux de la filière de la pomme de terre du Québec.  Lire la suite
15 mars 2024
MISE EN GARDE BIEN QU’IL NE SOIT PAS PERMIS D’UTILISER L’HYPOCHLORITE DE SODIUM À LA CONCENTRATION RECOMMANDÉE DANS LE PRÉSENT PROTOCOLE POUR LE TRAITEMENT DES SEMENCES EN RÉGIE BIOLOGIQUE, UNE DÉROGATION DU CONSEIL DES APPELLATIONS RÉSERVÉES ET DES TERMES VALORISANTS (CARTV) A ÉTÉ ACCORDÉE POUR LES SAISONS DE CULTURE 2024 ET 2025. LE TRAITEMENT EST DONC AUTORISÉ POUR LES DÉTENTEURS D’UNE CERTIFICATION BIOLOGIQUE EN RESPECTANT LE PRÉSENT PROTOCOLE, POUR PRÉVENIR LE VIRUS DU FRUIT RUGUEUX BRUN DE LA TOMATE (TOBRFV) DANS LES TOMATES. CETTE DÉROGATION EST UNIQUEMENT APPLICABLE SUR LE TERRITOIRE DU QUÉBEC. Le virus du fruit rugueux brun de la tomate (ToBRFV) a été détecté pour la première fois en 2014, en Israël. Depuis, le virus a été trouvé dans plusieurs pays d'Europe, d'Amérique du Nord et d'Asie. Le ToBRFV peut considérablement réduire la productivité des cultures de tomate et la qualité marchande des fruits. Au Québec, sa présence a été confirmée pour la première fois en 2021, dans des serres de tomate. Le ToBRFV fait partie de la famille des Tobamovirus reconnus pour être hautement transmissibles par contact. Bien qu’inoffensif pour l'humain, il cause des pertes de rendement considérables sur les plants et les fruits. Même à l'extérieur de la plante-hôte, ce virus est persistant longtemps dans l'environnement, ce qui le rend difficile à éradiquer et a souvent pour conséquence la cession de la production de tomates sur un site, et ce, pour plusieurs années. Le virus peut se transmettre par les semences. Or il n’existe aucune certification, à ce jour, qui garantit l'absence de virus au niveau des lots de semences achetés. D'ailleurs, des chercheurs italiens ont détecté la présence du virus dans plusieurs lots testés de nombreux semenciers. Des études récentes ont démontré l'efficacité d'un trempage de semences, dans une solution d’hypochlorite de sodium (2,5 %), pour éradiquer le virus. Une solution d'eau de Javel aurait donc la capacité d'éradiquer le virus qui se Lire la suite
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