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275 documents disponibles
02 avril 2024
Au cours des dernières années, les producteurs ont du avoir recours à l'utilisation de semences traitées avec des insecticides pour lutter notamment contre les ravageurs des semis dans les grandes cultures au Québec. Parmi les ravageurs des semis, les vers fil-de-fer (larve de taupins) peuvent attaquer les grains lors de
la germination, mais dans la majorité des parcelles dépistées au Québec depuis 2011, le nombre de vers fil-de-fer et les dégâts occasionnés ne justifient pas l'utilisation de semences traitées. Peu de choses sont publiées sur les vers fil-de-fer qui peuvent être confondus avec différentes larves et autres arthropodes également présents dans le sol. Enfin, ces organismes de petites tailles sont difficilement identifiables, car très peu d'outils d'identification visuelle sont disponibles actuellement pour caractériser ces importants ravageurs des semis. Dans ce contexte, il convenait donc de développer des méthodes de reconnaissance fiables qui permettront de considérablement mieux identifier et gérer les populations de vers fil-de-fer, en favorisant une approche raisonnée et intégrée, plus respectueuse de notre environnement et de notre santé. Notre objectif était donc de fournir des outils visuels conviviaux pour les agronomes, conseillers des clubs-conseil, dépisteurs et producteurs afin qu'ils puissent avoir une meilleure connaissance des neuf genres de vers fil-de-fer présents au Québec et qu'ils soient en mesure de reconnaître plus facilement ces espèces. Des fiches descriptives de chacun des neuf genres présents au Québec, ont donc été élaborées selon les connaissances disponibles et publiées au moment de leur conception, principalement sur la base de données canadiennes. Ces fiches ont été mises en pages et utilisées pour la réalisation d’un guide d’identification des vers fil-de-fer dans les grandes cultures au Québec. Ce document de 44 pages, disponible en version papier et numérique permet également d’offrir aux utilisateurs (chercheurs,
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25 août 2023
clérotiniose dans le soya en fin de saison : comment l'évaluer et quoi faire en cas d'infection. Jaunissement du soya en fin de saison. Mauvaises herbes résistantes au glyphosate : plusieurs cas rapportés dans les dernières semaines. Désherbage de fin de saison. Pensez aux céréales d'automne. COMMENT ÉVALUER
LA SCLÉROTINIOSE DANS LE SOYA EN FIN DE SAISON ET QUOI FAIRE EN CAS D'INFECTION T. Copley1, Y. Faucher2, V. Samson2 et B. Duval2 1. Chercheuse (CÉROM) 2. Agronome (MAPAQ) Les symptômes de la sclérotiniose sont observés actuellement dans certains champs de soya. Bien que cette maladie puisse causer des pertes de rendement, ce n’est pas toujours le cas, même quand elle est répandue au champ. Il est donc pertinent de bien évaluer la sévérité de la maladie dans un champ, soit de calculer le « DSI » (Disease severity index ou indice de sévérité de la maladie) afin de mieux comprendre si les seuils de dommages économiques ont été atteints. L’évaluation du DSI permet également de planifier les méthodes préventives à implanter pour des années subséquentes afin de réduire de futures pertes. Voici comment calculer le DSI : Choisir 5 à 10 stations de façon aléatoire au champ. Les stations devraient être représentatives de l’état général du champ et ne devraient pas se trouver uniquement dans des foyers symptomatiques. Évaluer la sévérité de la maladie sur un minimum de 50 plantes par station, soit 25 plantes par rang. Compter le nombre de plantes dans chaque catégorie suivante : 0- Aucun symptôme de la sclérotiniose; 1- Maladie présente sur les branches latérales; 2- Maladie présente sur la tige principale, mais les gousses sont saines et ne présentent pas de symptômes; 3- Maladie présente sur la tige principale et les gousses sont atteintes ou plante symptomatique et flétrie ou plante morte. Calculer le DSI selon la formule suivante : Le DSI peut aider à déterminer si le seuil de dommages économiques a été atteint,
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18 août 2023
Puceron du soya : les populations sont majoritairement faibles et le stade du soya ne sera bientôt plus à risque. Défoliation dans le soya : quel ravageur fait quel dommage? Chrysomèle de l'asclépiade. PUCERON DU SOYA : LES POPULATIONS SONT MAJORITAIREMENT FAIBLES ET LE STADE DU SOYA NE SERA BIENTÔT PLUS
À RISQUE J. Saguez1, B. Duval2, V. Samson2, S. Boquel1 et J. Breault2 1. Chercheur (CÉROM) 2. Agronome (MAPAQ) Selon les dépistages effectués les 14 et 15 août dans 62 champs suivis par le sous-réseau Grandes cultures, le puceron du soya était présent dans 59 champs. Toutefois, les populations sont encore très faibles, avec une moyenne provinciale de 31,8 pucerons/plant. Un seul site dépasse le seuil d’alerte de 250 pucerons/plant. Ce site est situé à Valcourt (Estrie) avec une moyenne de 355 pucerons/plant; le soya est au stade R5. La majorité des champs dépistés a maintenant atteint les stades R5 ou R6 et les infestations survenant à partir du stade R5 affectent peu le rendement du soya. Ainsi, compte tenu des faibles populations de pucerons et du stade de la culture, il y a peu de risque que les pucerons causent des pertes de rendement cette année. Si vous souhaitez plus de détails, vous pouvez consulter le document Lutte intégrée contre le puceron du soya. DÉFOLIATION DANS LE SOYA : QUEL RAVAGEUR FAIT QUEL DOMMAGE? Y. Faucher1, B. Duval1, S. Brousseau-Trudel1, S. Boquel2 et J. Saguez2 1. Agronome (MAPAQ) 2. Chercheur (CÉROM) On observe, à cette période de la saison, différents insectes défoliateurs dans les champs de soya. Même s’il n’est pas toujours possible d’observer le ravageur en action, il est souvent possible, par la façon dont la feuille est défoliée, d’identifier celui qui est en cause. La figure ci-dessous présente l’aspect des dommages causés par les principaux défoliateurs dans le soya. Dommages de défoliation du soya par divers ravageurs : A) Limaces B) Scarabées
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09 mai 2023
Article scientifique publié en anglais seulement sur l'identification et l'utilisation en champ d'une phéromone sexuelle d'Agriotes mancus, un taupin présent au Québec. Les phéromones peuvent être utilisées dans des pièges fosses. Agriotes mancus est une des espèces d'Agriotes prédominente. Elle possède un cycle de vie
et une morphologie similaires à d'autres espèces européennes qui sont invasives au Canada. Les composés volatils émis par des femelles d'Agriotes mancus ont été isolés et caractérisés en laboratoire et des leurres ont été testés en champ, à l'aide de pièges-fosses. Les expériences en champs ont montrée que les pièges contenant une combinaison de géranyl butanoate et de géranyl hexanoate capturent 30 fois plus d'Agriotes mancus que les pièges contenant uniquement un des deux composés. Les pièges composés de géranyl butanoate seul ont permis de collecter de grandes quantités d'Agriotes sputator, indiquant l'établissement de cette espèce invasive au Québec. L'utilisation de pièges à phéromone peut être inclue dans le développement de programmes de surveillance et de gestion des espèces natives and invasives d'Agriotes en Amérique du Nord.
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