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28 mars 2024
La punaise terne est un insecte ravageur très important de plusieurs cultures en Amérique du Nord. Ce ravageur se nourrit de fleurs, bourgeons, fruits et ses pièces buccales pénètrent, de façon répétée, les tissus fragiles des plantes lors de son alimentation. La pénétration du stylet entraîne la formation de blessures par incision de la cuticule de l'épiderme et des cellules sous-jacentes. Également la salive injectée provoque la mort des cellules autour du canal alimentaire et génère une distorsion des points de croissance de la plante ce qui génère des fruits tachés ou déformés à la suite des piqûres. En ce qui concerne la culture de la framboise, il est mentionné que les adultes peuvent piquer les bourgeons ou les fruits de framboisiers, cependant, les dommages sont très peu connus et documentés visuellement dans les guides de dépistage. En effet, le guide québécois sur les ravageurs du framboisier mentionne uniquement des piqûres d’une à quelques drupéoles qui sèchent, brunissent et peuvent s’affaisser. La nutrition sur le méristème apicale pourrait également provoquer un dépérissement des pousses. Ce projet avait donc pour objectif premier d’évaluer en conditions semi-naturelles, l’impact des piqûres de punaises ternes sur différentes parties structurelles et stades phénologiques des framboisiers piqués (bouton vert serré, bouton vert dégagé, floraison, fruit vert, fruit rose, fruit rouge) en fonction des stades piqueurs du ravageur (différents stades nymphaux et stade adulte). Également un deuxième objectif visait à étudier le comportement alimentaire de la punaise et mieux documenter les dommages aux fruits rouges par des observations en laboratoire. Les résultats des expériences terrain sur deux ans n’ont pas pu conclure qu’une piqûre de punaise terne sur un stade bouton vert serré, dégagé, floraison ou fruit vert provoque des dommages visibles après plusieurs semaines. Les observations de dommage potentiellement attribuable à la punaise terne n’ont pas été Lire la suite

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28 mars 2024
Fiche technique suviant la réalisation du projet :Outils de gestion de la punaise terne en framboise d'été : méthode de dépistage et seuil économique d'intervention réalisée de 2019 à 2021. 

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27 mars 2024
Cette consultation a permis d’aller à la rencontre de trois types d’acteurs - les producteurs de semences de pomme de terre, les centres de recherche et les producteurs maraîchers biologiques et/ou diversifiés - pour mettre en évidence les nombreux enjeux qui existent pour mettre en circulation des cultivars sélectionnées à la ferme, tant au niveau du développement variétal que de la production/distribution de semences... Consultez le Rapport de consultation joint. Ce projet a été cofinancé par le Programme de recherche du Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec (CRPTQ) étant financé par les Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ). Lire la suite

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27 mars 2024
L’équipe de réalisation et les partenaires agricoles ont permis la structuration de la BD-Horus et la création de l’application web Horus. L’application Horus via des menus conviviaux, facilite la visualisation et l’interprétation des données requises pour déterminer la qualité des sols cultivés. L’application regroupe les variables indicatrices et des indices de la productivité du sol, de la diversité des communautés microbiennes, du risque posé par des maladies de la pomme de terre ainsi que des indicateurs liés à diverses fonctions assumées par les communautés microbiennes. La volonté des producteurs à simplifier la gestion de leurs diverses variables indicatrices les incitera à confier à la BD-Horus la gestion de leurs données pour se prévaloir des avantages de l’application. L’application Horus est sécurisée et restreinte aux seuls utilisateurs munis d’un code d’accès. Toutes les données dont la consultation est autorisée sont associées à un sol géolocalisé et elles sont affichables sur une carte du champ. L’application permet de visualiser, comparer et positionner chaque variable indicatrice ou indice, des sols et les valeurs moyennes des champs pour les comparer à des valeurs moyennes de référence calculées : 1) Pour tous les champs de l’entreprise inscrits dans la BD ou 2) Pour tous les champs de la BD ou 3) Pour tous les champs de la BD qui partagent les mêmes caractéristiques texturales. L’application Horus facilite ainsi l’intégration et la visualisation des données analytiques des producteurs année après année et intègre la géolocalisation des zones évaluées. De plus, elle facilite l’interprétation des variables et des indices et leur comparaison entre les champs de l’entreprise. L’utilisation des données de référence pondère l’interprétation des résultats obtenus dans les champs de l’entreprise et permet à l’entreprise de (a) se fixer des objectifs d’amélioration de la qualité de ses sols cultivés, et (b) d’évaluer les effets année après année Lire la suite

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27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque.  La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial. Lire la suite

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27 mars 2024
L’anthracnose est une maladie courante qui cause des pertes de rendement importantes dans la culture de la fraise en Amérique du Nord. Elle se développe très rapidement lorsque l’inoculum est présent et que les conditions climatiques sont favorables. Or, dans le cas de la culture de la fraise d’automne, ces conditions se rencontrent toute la saison. L’hypothèse de ce projet est que l'utilisation de fongicides à moindre risque, appliqués avant ou en alternance avec des fongicides conventionnels, permettrait de contrôler la maladie. Ainsi, on réduirait l'usage des pesticides conventionnels, dont les indices de risque pour la santé (IRS) et pour l’environnement (IRE) sont plus élevés que ceux des biofongicides et fongicides à moindre risque.  La première année du projet, dans un contexte de résistance au groupe 11 de la souche d’anthracnose retrouvée dans l’essai, nous avons démontré qu’il semble possible de mieux protéger les fruits avec une alternance où deux fongicides conventionnels (excluant le groupe 11) sur trois sont remplacés par des biofongicides, qu’avec une alternance de fongicides conventionnels. Les résultats des deux dernières années du projet ont permis d’observer que la stratégie 3 (rotation de fongicides à risques réduits et de fongicides conventionnels (1 sur 2)) a suivi les résultats du témoin commercial. La troisième année a permis de montrer que la stratégie 3 réduit l’incidence d’anthracnose à la récolte par rapport au témoin non traité, de façon non statistiquement différente du témoin commercial. C’est-à-dire qu’en réduisant de moitié les traitements conventionnels, cette stratégie a statistiquement aussi bien protégé les fruits que le témoin commercial. Lire la suite

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27 mars 2024
Voici le rapport final (version longue) du projet de recherche "Améliorer l'efficacité de l'utilisation de l'eau dans la pomme de terre par une connaissance plus approfondie des cultivars".  Consultez le Rapport final joint. Ce projet a été cofinancé par le Programme de recherche du Consortium de recherche sur la pomme de terre du Québec (CRPTQ) étant financé par les Producteurs de pommes de terre du Québec (PPTQ). Lire la suite
Un retour en arrière, les débuts du temps des sucres

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27 mars 2024
Extrait du livre de Noël Vinet, Les Érablières... du passé, du présent et de l’avenir...de 300, de 3 000 ou de 30 000 entailles! Personne ne peut nous dire avec exactitude à quand remonte les débuts des sucres! La tradition orale des Amérindiens ne peut nous renseigner à cet effet...mais par les écrits que nous ont laissés les premiers arrivants en Nouvelle-France, nous savons que depuis longtemps les Amérindiens avaient découvert les vertus de l’eau d’érable. À l’aide d’un tomahawk, ils entaillaient les érables et recueillaient l’eau dans des contenants d’écorce de bouleau. Par la suite, ils faisaient bouillir l’eau d’érable dans des auges en bois ou dans des vases d’argile en y déposant des pierres rougies par le feu pour concentrer le réduit. Les femmes utilisaient ce sirop dans la préparation de leurs viandes afin de lui donner un goût particulier. Bien des légendes à cet effet ! Plusieurs légendes ont été véhiculées au fil du temps concernant la découverte de l’eau d’érable, l’une des plus réalistes serait celle-ci; «Un Iroquois, frappa de sa hache un érable et en vit sortir un liquide qu’il goûta et s’aperçut qu’il avait un bon goût. Les femmes décidèrent donc d’utiliser cette eau pour faire mijoter les viandes et s’aperçurent que cette eau donnait bon goût aux viandes.» D’autres légendes font référence à un jeune Iroquois qui vit un écureuil croquer une petite branche d’un érable et de lécher la sève qui en sortit. Il eut alors l’idée de faire pareil et trouva le goût des plus intéressants... Nous ne saurons sans doute jamais l’origine exacte de la découverte de l’eau d’érable mais un fait est certain, les Amérindiens en connaissaient les vertus bien avant l’arrivée des Blancs et ce chez plusieurs peuples Amérindiens dont; les Micmacs, les Montagnais, les Abénaquis, les Hurons, les Algonquins, les Iroquois, les Mohawks, les Wendats, les Ojibways des Grands Lacs et les Malécites du Témiscouata. Les premiers sucriers; les Amérindiens! La tradition orale des Amérindiens Lire la suite
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