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261 documents disponibles
16 janvier 2024
Fiche-synthèse du projet: Essai de cultures de couverture tardives en production maraichère en sols organiques. L’objectif principal de ce projet était d’identifier des espèces de cultures de couverture pour une implantation en fin de saison (septembre et octobre) en terre noire et de déterminer les périodes d’implantation
permettant d’obtenir un couvert végétal suffisant avant l’hiver. Les objectifs secondaires étaient de déterminer le potentiel de survie à l’hiver des espèces testées, ainsi que la quantité de résidus au sol au printemps et leur impact sur les travaux culturaux.
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Essai de cultures de couverture tardives en production maraichère en sols organiques (rapport final)
16 janvier 2024
Rapport final du projet: Essai de cultures de couverture tardives en production maraichère en sols organiques. L’objectif principal de ce projet était d’identifier des espèces de cultures de couverture pour une implantation en fin de saison (septembre et octobre) en terre noire et de déterminer les périodes d’implantation
permettant d’obtenir un couvert végétal suffisant avant l’hiver. Les objectifs secondaires étaient de déterminer le potentiel de survie à l’hiver des espèces testées, ainsi que la quantité de résidus au sol au printemps et leur impact sur les travaux culturaux.
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27 novembre 2023
Les informations présentées dans les fiches de la série Culture serricole émergente en région nordique proviennent de suivis effectués au sein d’entreprises québécoises entre 2021 et 2023. Les observations sur la régie de culture, les paramètres agronomiques (croissance, rendements) et phytosanitaires (ravageurs,
maladies, désordres) sont résumées et publiées à titre informatif afin de permettre aux producteurs intéressés par ces cultures d’avoir accès à des données antérieures. Une analyse agro-économique et de sensibilité y sont aussi présentées, permettant d’indiquer le potentiel de rentabilité de chaque culture. Consultez les fiches Rabiole - Sommaire d'essais Céleri - Sommaire d'essais Courgette - Sommaire d'essais Aubergine - Sommaires d'essais Oignon vert - Sommaire d'essais
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14 septembre 2023
Dernier avertissement phytosanitaire de la saison. Les récoltes se poursuivent avec des pertes causées par les maladies. Les ravageurs sont généralement sous contrôle. Rappel sur l'importance de détruire les résidus et de semer une culture de couverture après la récolte. Cet avertissement devrait être le dernier
communiqué régulier de la saison 2023. Cependant, comme les visites des champs se poursuivent jusqu'aux récoltes, un avertissement serait émis rapidement si un problème particulier survenait. Nous tenons à remercier tous les collaborateurs du RAP Crucifères qui, chaque semaine, nous ont fourni leurs observations afin de produire des communiqués qui, nous l'espérons, reflètent la réalité des différentes régions. Merci également au personnel du Laboratoire d'expertise et de diagnostic en phytoprotection (LEDP) du MAPAQ ainsi qu'à celui du secrétariat du RAP qui nous permettent de vous acheminer de l'information dans les meilleurs délais. Si vous avez des commentaires et/ou suggestions concernant les communiqués que nous publions chaque semaine, n'hésitez pas à nous en faire part à [email protected]. Bonnes récoltes et bonne fin de saison à tous! MALADIES Alors que la saison tire à sa fin, on observe une progression des maladies qui occasionnent des pertes de rendement depuis plusieurs semaines : nervation noire, pourriture molle bactérienne, pourriture sclérotique et taches alternariennes (ex. : tache noire). De manière générale, les autres maladies (tache bactérienne, hernie des crucifères, rhizoctonie, mildiou) demeurent stables. INSECTES RAVAGEURS Les principaux ravageurs s'attaquant aux crucifères demeurent présents, avec une intensité variable selon la culture et sa régie. L'activité des pucerons semble s'être stabilisée, mais le suivi des cultures à risque (ex. : crucifères asiatiques) doit être maintenu. Dans
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07 septembre 2023
Les maladies occasionnent des pertes à la récolte. Les ravageurs sont généralement sous contrôle. MALADIES Les conditions humides, la rosée persistante et l'épisode caniculaire favorisent le développement de la nervation noire, de la pourriture molle bactérienne et des taches alternariennes.
Attention toutefois de ne pas confondre les taches alternariennes avec des taches d'origine abiotique comme la nécrose autogène, notamment dans le chou pommé. Également, la guttation observée dans certains champs pourrait favoriser l'entrée de la nervation noire dans les feuilles. Taches sur une feuille de chou pommé causées par la nécrose autogène (abiotique) CIEL Guttation observée à la marge des feuilles d'un chou pommé CIEL Par ailleurs, les symptômes causés par la hernie des crucifères sont davantage visibles en raison de l'assèchement des sols en l'absence de pluie. De manière générale, les autres maladies (tache bactérienne, pourriture sclérotique, rhizoctonie, mildiou) demeurent apparemment stables cette semaine. INSECTES RAVAGEURS Les principaux ravageurs s'attaquant aux crucifères demeurent présents, avec une intensité variable selon la culture et sa régie. L'activité des pucerons semble s'être stabilisée, mais le suivi des cultures à risque doit être maintenu. Quant aux thrips, qui sont de plus en plus nombreux dans les choux pommés, les interventions se poursuivent afin de les contrôler avant qu'ils ne se cachent trop loin dans les pommes destinées à l'entreposage. Thrips sur les feuilles enveloppantes du chou pommé CIEL Toute intervention envers un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des
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30 août 2023
Les maladies occasionnent de nombreuses pertes à la récolte. Ravageurs présents, mais généralement sous contrôle, excepté les pucerons qui sont en hausse. MALADIES Les conditions humides et la rosée persistante continuent de contribuer au développement des maladies. En effet, l'accumulation d'eau à
l'aisselle des feuilles et sur les inflorescences des crucifères favorise les infections par la pourriture molle bactérienne. Les dommages laissés par d'autres maladies (ex. : taches alternariennes) et certains insectes (ex. : cécidomyie du chou-fleur) constituent également des portes d'entrée privilégiées pour cette bactérie qui liquéfie les tissus et provoque une odeur nauséabonde. À l'heure actuelle, il n'existe aucune stratégie de lutte chimique permettant de contrôler cette maladie bactérienne ou de limiter ses dommages. De plus, les pertes liées aux taches alternariennes demeurent importantes, tant en régie biologique que conventionnelle. Le temps plus frais pourrait toutefois aider à freiner les infections de la tache noire alternarienne (Alternaria brassicicola) dont les infections primaires surviennent entre 28 et 31 °C. Quant à la nervation noire, qui se développe entre 25 et 30 °C, les symptômes semblent s'être stabilisés dans les champs où les mesures préventives sont respectées. Les pertes de rendement demeurent toutefois importantes dans le sud de la province. Le CUEVA (octanoate de cuivre) est l'un des seuls produits homologués contre cette maladie en régie biologique et conventionnelle. Il faut toutefois faire attention aux risques de phytotoxicité pouvant survenir lors d'une application de cuivre en conditions pluvieuses. Ce type de dommages (ex. : fines taches noires sur les feuilles externes des choux) a été recensé par endroits au cours des dernières semaines. De manière générale, les autres maladies (tache bactérienne, pourriture sclérotique, rhizoctonie, mildiou et hernie des crucifères) semblent se stabiliser,
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24 août 2023
Conditions météorologiques plus clémentes. Développement important de la nervation noire dans le sud de la province. Taches alternariennes et tache bactérienne en augmentation. Ravageurs présents, mais généralement sous contrôle, excepté les pucerons en hausse. Postrécolte : destruction des résidus de culture et implantation
de plantes de couverture. MALADIES Les conditions météorologiques de la dernière période correspondent davantage aux moyennes saisonnières, c'est-à-dire un temps plus frais et relativement sec. Toutefois, on observe une augmentation des symptômes de maladies fongiques et bactériennes qui ont profité des conditions humides des semaines précédentes pour infecter les cultures de crucifères. En effet, les taches alternariennes progressent dans l'ensemble du Québec tandis que la sévérité des symptômes de nervation noire augmente dans les secteurs à proximité de Montréal. D'importantes pertes de rendement sont rapportées dans le chou, le chou-fleur et le brocoli relativement à ces maladies. Il est important de garder en tête que la bactérie causant la nervation noire peut contaminer les vêtements, les équipements et la machinerie. Les mesures de biosécurité doivent donc être prises au sérieux pour freiner sa propagation. Par exemple, il est recommandé de travailler (travail mécanique ou manuel, y compris le dépistage) dans les champs sains en premier et de terminer par les champs ou parties de champ contaminés. Il est important de ne pas pénétrer dans les zones infectées si le champ n'est pas sec. Si un nouveau foyer d'infection est observé, il faut décontaminer les vêtements, les bottes, les outils et la machinerie avant d'entrer dans un autre champ de crucifères. Développement de la tache noire alternarienne (Alternaria brassicicola) sur une jeune inflorescence de brocoli CIEL Symptômes de nervation noire dans le chou pommé CIEL Les symptômes causés par la tache bactérienne sont également en augmentation dans les crucifères-feuilles
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