Ajouté à Mes favoris.

Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire
Logo Agri-Réseau
S'informerLe savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

S'informer

Le savoir et l'expertise du réseau agricole et agroalimentaire

Chargement en cours

Filtrer la recherche 
  • Sujet(s) :
  • Production(s) :
Format
Type de contenu
Date de début
Date de fin
Régions
31 documents disponibles
24 mai 2023
Avez-vous semé des céréales d'automne au Québec en 2022 ? Le CÉROM souhaite connaître vos impressions quant à sa survie hivernale afin de mieux orienter ses recherches! Veuillez cliquer sur le lien ci-dessous afin de répondre à quelques questions qui nous permettront de bien évaluer la survie hivernale de la saison 2022-23. Une fois les données collectées et analysées, nous partagerons les conclusions avec vous. Aucune information spécifique à une entreprise/un producteur ne sera publiée. Merci de votre collaboration https://forms.gle/PTHhzDVqGby3wveB9   Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 21, 30 août 2022
30 août 2022
  INTRODUCTION À LA FICHE TECHNIQUE PENSEZ AUX CÉRÉALES D’AUTOMNE M. Neau 1, S. Brousseau-Trudel 2, J. Saguez 3 et H. Brassard 2 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Agronomes (MAPAQ)  3. Chercheur (CÉROM)   À cette période de l’année, plusieurs pensent aux semis de céréales d’automne. Ce type de culture génère de nombreux bénéfices agronomiques, économiques et environnementaux lorsqu’intégré dans la rotation. La fiche technique Pensez aux céréales d’automne présente les points à considérer avant de semer une céréale d’automne pour maximiser la réussite de l’établissement et de la survie hivernale. Les prochaines semaines sont également propices au développement de certains ravageurs pouvant s’attaquer aux céréales d’automne, dont la tipule des prairies et la noctuelle fiancée. Une attention particulière doit donc être portée dans les champs en semis direct et dans ceux ayant déjà eu un historique d’infestation.     Toute intervention envers un ennemi des cultures doit être précédée d’un dépistage et de l’analyse des différentes stratégies d’intervention applicables (prévention et bonnes pratiques, lutte biologique, physique et chimique). Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) préconise la gestion intégrée des ennemis des cultures et la réduction des pesticides et de leurs risques.   Cet avertissement a été révisé par la Direction de la phytoprotection (MAPAQ). Pour des renseignements complémentaires, vous pouvez contacter l’avertisseur du réseau Grandes cultures ou le secrétariat du RAP. La reproduction de ce document ou de l’une de ses parties est autorisée à condition d'en mentionner la source. Toute utilisation à des fins commerciales ou publicitaires est cependant strictement interdite. Lire la suite
05 août 2022
Grandes cultures, Avertissement No 17, 5 août 2022
Grandes cultures, Avertissement No 15, 22 juillet 2022
21 juillet 2022
Puceron du soya : dépistage recommandé dans la plupart des régions. Altises à tête rouge : observées dans du maïs (stades végétatifs), mais pas d'inquiétude. Pourriture à sclérotes du soya : suivi et vigilance. Pucerons et virus de la jaunisse nanisante de l'orge : présence observée dans des céréales de printemps. Mauvaises herbes : dépistage et détection de résistances. Ravageurs du canola : situation tranquille. Ver-gris occidental des haricots : faibles captures de papillons, dépistage dans les champs à risque.   PUCERON DU SOYA : DÉPISTAGE RECOMMANDÉ DANS LA PLUPART DES RÉGIONS S. Mathieu 1, B. Duval 1, J. Breault 1, J. Saguez 2 et M. Neau 3 1. Agronomes (MAPAQ)  2. Chercheur (CÉROM)  3. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)   Les populations du puceron du soya sont en augmentation dans plusieurs champs suivis par le RAP Grandes cultures depuis la semaine dernière. Puisque l’ensemble des champs de soya sont encore à un stade de développement critique face à ce ravageur, le dépistage des champs est recommandé pour les régions du Centre-du-Québec, de l'Estrie, de Lanaudière, des Laurentides et de la Montérégie. Le seuil d’alerte (moyenne de 250 pucerons/plant) indiquant qu’il faut suivre les champs de près a été atteint dans 15 des 65 champs dépistés par le RAP (voir les données). La densité de pucerons par plant et d’ennemis naturels étant variable d’un champ à l’autre, il est important de faire une vigie dans chaque champ. Pour rappel, il n’est pas justifié de traiter à partir de 250 pucerons/plant. Ce seuil indique qu’il faut dépister plus régulièrement les populations de pucerons, évaluer le stress causé aux plants et suivre l’évolution des ennemis naturels avant de décider s’il faut intervenir. Il est donc important d’effectuer deux dépistages espacés de trois à sept jours afin de connaître l’évolution du nombre de pucerons.   Certains facteurs pourraient aider à contrôler les populations de pucerons dans les prochains jours : Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 14, 15 juillet 2022
15 juillet 2022
Puceron du soya : seuil d'alerte non atteint (majorité des champs dépistés). Insectes défoliateurs du soya : à surveiller. Carence en potassium dans le soya : à surveiller. Pourriture phytophtoréenne : quelques cas observés. Pourriture à sclérotes du soya : champs à risque? Maladies dans les céréales : à surveiller. Pucerons dans les céréales : faut-il s'en préoccuper? Chrysomèle des racines du maïs : évaluation des dommages racinaires et dépistage des adultes à prévoir dans les prochaines semaines.     PUCERON DU SOYA : LA MAJORITÉ DES SITES NE DÉPASSENT PAS LE SEUIL D'ALERTE M. Neau 1, S. Boquel 2, J. Saguez 2, J. Breault 3, S. Mathieu 3 et V. Samson 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheurs (CÉROM)  3. Agronomes (MAPAQ)   Parmi la soixantaine de champs dépistés cette semaine par le RAP Grandes cultures, quatre sont près du seuil d’alerte de 250 pucerons par plant, et seulement cinq l’ont dépassé. Pour rappel, ce seuil n’est pas un seuil d’intervention. Il indique qu’il faut suivre les champs de près, dépister tous les trois à sept jours pour noter l’évolution des populations de pucerons et l’abondance des ennemis naturels, et tenir compte de plusieurs facteurs avant d’intervenir. Le puceron du soya peut affecter la culture jusqu’au stade « R5 ». La plupart des champs sont encore loin de ce stade. Pour rappel, un traitement phytosanitaire hâtif entraîne un risque de réinfestation du champ par le puceron en éliminant les ennemis naturels, comme les coccinelles. Le dépistage est recommandé, particulièrement en Lanaudière, dans les Laurentides et en Montérégie, où les populations sont actuellement plus abondantes. Les autres régions semblent pour le moment épargnées. En plus de la quantité de pucerons, le niveau de stress subi par la culture et la présence d’ennemis naturels sont des éléments à prendre en compte pour juger de la pertinence d’un traitement. Certains cultivars tolèrent beaucoup mieux la présence Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 13, 8 juillet 2022
08 juillet 2022
Légionnaire uniponctuée : diminution des captures, dépistage de larves (champs à risque). Puceron du soya : présence en Montérégie, dépister avant tout traitement. Cicadelle de la pomme de terre : présence faible, sauf en Montérégie-Ouest. Criocères des céréales : quelques observations, mais rarement problématique. Cécidomyie du chou-fleur : certains champs semés tardivement sont à risque. Charançon de la silique : abondances élevées dans un nouveau champ en Capitale-Nationale. Altises du canola : faible risque de défoliation. Rouille jaune : présence dans quelques champs de blé d'automne. Pourriture à sclérotes du soya : risques lors des prochains jours? Fusariose de l'épi : évaluer le risque et stade d'intervention avec un fongicide. Pucerons dans les céréales : quelques cas mentionnés.     LÉGIONNAIRE UNIPONCTUÉE : LE PIC DE VOL DES PAPILLONS EST PASSÉ, LA SURVEILLANCE DES LARVES EST DE MISE DANS LES CHAMPS À RISQUE M. Neau 1, J. Saguez 2 et B. Duval 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheur (CÉROM)  3. Agronome (MAPAQ)   Depuis la semaine dernière, les captures de papillons de légionnaire uniponctuée ont fortement diminué. Depuis le début mai, les captures sont globalement faibles, excepté dans quelques pièges localisés dans les régions de l’Abitibi-Témiscamingue, de Lanaudière, de la Montérégie-Est et de l’Outaouais (voir les données ici).   Considérant que les œufs auraient été pondus avant et pendant le pic de vol qui s’est produit la dernière semaine de juin, et tenant compte de la vitesse de développement de l’insecte, liée aux conditions climatiques actuelles (fraîches et humides) favorables à l’insecte, le RAP estime qu’il est temps de dépister les larves de légionnaire uniponctuée dans les champs à risque. Un dépistage des larves peut être envisagé dans les champs à risque situés dans des secteurs où des papillons ont été capturés, et ce, peu importe le nombre de papillons : Les champs de céréales de printemps Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 12, 30 juin 2022
30 juin 2022
Puceron du soya : premières observations en Montérégie. Légionnaire uniponctuée : faibles captures de papillons et dépistage de larves à envisager dans certains secteurs. Pourriture à sclérotes du soya : quels champs sont à risque? Altises, cécidomyie du chou-fleur, charançon de la silique et méligèthe des crucifères : situation dans le canola. Céréales : maladies à surveiller. Syndrome de croissance rapide : premières observations.     PREMIÈRES OBSERVATIONS DE PUCERONS DU SOYA EN MONTÉRÉGIE M. Neau 1, S. Boquel 2, B. Duval 3, J. Saguez 2 et V. Samson 3 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Chercheurs (CÉROM)  3. Agronomes (MAPAQ)   De faibles populations de puceron du soya ont été observées dans certains champs de la Montérégie, ce qui est habituel à la fin juin. La situation est loin d’être alarmante, d’autant plus que des ennemis naturels sont actifs, notamment des coccinelles. Ces dernières sont très efficaces pour contrôler les populations de pucerons. À partir du 11 juillet, le RAP Grandes cultures dépistera les pucerons dans une soixantaine de champs de soya et vous informera de l’évolution des populations dans les différentes régions productrices de soya au Québec.   Pour plus d’information sur le puceron du soya et sur l’identification des ennemis naturels, consultez le bulletin d'information Stratégie d’intervention recommandée au Québec contre le puceron du soya et la vidéo Le dépistage du puceron du soya en cinq points.   Pucerons prédatés par une coccinelle asiatique sur du soya Source : S. Mathieu, agr. (MAPAQ) LÉGIONNAIRE UNIPONCTUÉE : FAIBLES CAPTURES DE PAPILLONS et DÉPISTAGE DE LARVES À ENVISAGER DANS CERTAINS SECTEURS M. Neau 1, B. Duval 2, J. Saguez 3 et V. Samson 2 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Agronomes (MAPAQ)  3. Chercheur (CÉROM)   Depuis le début mai, les captures de papillons de la légionnaire uniponctuée sont faibles dans la majorité des pièges installés par Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 11, 23 juin 2022
23 juin 2022
Rouille brune, oïdium et fusariose : à surveiller dans les céréales. Fonte des semis : à surveiller dans le soya. Symptômes de manque d'azote : conditions fraîches et pluvieuses pouvant être en cause. Soya jaune : causes possibles en début de saison. Charbon : observé dans les céréales. Tipule des prairies : son activité tire à sa fin. Cicadelle de la pomme de terre : présence faible dans les champs suivis par le RAP. Maïs tombé ou cassé : causes possibles.     MALADIES DES CÉRÉALES : ROUILLE BRUNE, OÏDIUM ET FUSARIOSE À SURVEILLER T. Copley 1 et Y. Dion 2 1. Chercheuse (CÉROM)  2. Agronome (MAPAQ)   La rouille brune a été observée dans les Laurentides et en Montérégie-Est sur le blé d’automne (dans différentes localités), ainsi qu’au Centre de recherche sur les grains (CÉROM), dans plusieurs parcelles de blé d’automne, de seigle d’automne et de blé de printemps. Les conditions fraîches et humides des dernières semaines favorisent le développement de la rouille brune. Les spores sont transportées sur de longues distances par des vents forts, favorisant la dispersion de la maladie d’une région à l’autre.   Le développement de la rouille brune tôt dans la saison, c’est-à-dire à des stades précédant le gonflement de l’épi dans la gaine, peut engendrer des pertes de rendement significatives. Dans le cas du blé d’automne, la floraison a eu lieu et la culture est au stade de remplissage des grains. Les interventions avec un fongicide à ce stade ne corrigeront pas des pertes de rendement potentielles, d’autant plus que la maladie n’a pas été détectée avant et qu'elle n’affecte pas ou très peu la feuille étendard. La situation est toute autre dans le cas des céréales de printemps. Les cultures de printemps sont à des stades peu avancés de développement. La détection hâtive est donc critique pour prendre les meilleures décisions de contrôle. Si la rouille brune est signalée dans votre région, un dépistage régulier (une fois par semaine) est recommandé, Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 2, 6 mai 2022
06 mai 2022
Ver-gris noir : captures élevées en début de saison, prévoir un délai avant de semer! Survie hivernale de la luzerne. Vers fil-de-fer : idéal de dépister lors des semis de maïs.     CAPTURES DE VER-GRIS NOIR ÉLEVÉES EN DÉBUT DE SAISON : PRÉVOYEZ UN DÉLAI AVANT DE SEMER! M. Neau1, H. Brassard 2, B. Duval 2, J. Saguez 3 et V. Samson 2 1. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)  2. Agronomes (MAPAQ)  3. Chercheur (CÉROM)  Des papillons de ver-gris noir ont été capturés dans la majorité des pièges installés à travers la province (données disponibles ici). Depuis 2014, il s’agit des captures les plus élevées pour cette espèce en début de saison. Au printemps, les papillons pondent leurs œufs sur des végétaux en début ou en reprise de croissance, dont les mauvaises herbes et les cultures de couverture. Après un désherbage, les larves (chenilles) peuvent se déplacer vers les cultures à proximité pour s’alimenter. Afin de prévenir d’éventuels dommages à ces cultures, il est recommandé de détruire les mauvaises herbes (voir la fiche technique Désherbage de début de saison) ou le couvert végétal de 10 à 14 jours avant le semis. Ce délai permet d’affamer les larves. Dans le cas de céréales d'automne utilisées comme culture de couverture et détruites au printemps, ce délai contribue aussi à prévenir le transfert de certains champignons pathogènes, qui pourraient causer la fonte des semis, vers les racines des cultures. Pour les champs avec une culture de couverture et les prairies dont le couvert végétal ne sera pas détruit, il est recommandé d’évaluer les dommages aux plants et la présence de larves dans les prochaines semaines. La fiche technique Ver-gris noir précise les stratégies à adopter selon le taux d’infestation.     SURVIE HIVERNALE DE LA LUZERNE H. Martel 1 et M. Neau 2 1. Agronome (MAPAQ)  2. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM) État de santé des prairies Un hiver avec des périodes de redoux et une faible accumulation Lire la suite
Grandes cultures, Avertissement No 1, 27 avril 2022
27 avril 2022
Survie à l’hiver des céréales d’automne : comment on s’en tire?     SURVIE À L'HIVER DES CÉRÉALES D'AUTOMNE : COMMENT ON S'EN TIRE? Y. Dion 1, M. McElroy 2, S. Mathieu 1, H. Brassard 1 et M. Neau 3 1. Agronomes (MAPAQ)  2. Chercheur (CÉROM)  3. Coordonnateur du RAP GC (CÉROM)   Les conditions climatiques ont été jusqu’ici, pour plusieurs régions, peu favorables à un examen poussé des champs de céréales d’automne. Le feuillage de ces cultures peut être endommagé par le gel, mais avant d’évaluer leur survie, il est préférable de laisser quelques jours aux plants afin qu’ils débutent leur croissance printanière. Les dommages aux cultures peuvent être causés par plusieurs phénomènes : Un semis trop tardif à l’automne associé à des conditions ne favorisant pas le développement adéquat des plantules et l’accumulation des réserves pour l’hiver peut rendre les plants plus vulnérables au froid. Les conditions hivernales entraînant la fonte du couvert de neige et laissant apparaître les plants sont particulièrement problématiques lorsqu’elles entraînent la formation de glace. Les conditions du printemps sont extrêmement cruciales : les fluctuations de température prolongées au-dessus du point de congélation qui sont suivies de gels et la formation de nappes d’eau qui tardent à se résorber occasionnent des conditions d’anoxie (absence d’oxygène) néfastes aux céréales d’automne. Les céréales d’automne entament un processus d’endurcissement au froid à partir du mois de septembre. La tolérance est au maximum en novembre (figure 1). Au cours de l’hiver et du printemps, le niveau de cette tolérance au froid s’affaiblit selon les températures auxquelles sont soumises les céréales. Plus le réchauffement est important et prolongé, plus le niveau de tolérance au froid est réduit. Figure 1 : Endurcissement au froid (température minimale de survie) du blé d’automne de septembre à mai (Tiré de Struthers et Greer, 2001, dans le Guide de production : Lire la suite
1 à 10 sur 31

En cliquant sur « Accepter tous les cookies », vous acceptez le stockage de ces témoins de connexion sur votre appareil. Ceux-ci permettent au CRAAQ de générer des statistiques et d'améliorer votre expérience utilisateur. Vous pourrez les désactiver en tout temps dans votre fureteur Web.

Ceci est la version du site en développement. Pour la version en production, visitez ce lien.