Pour tout éleveur de gibier, la prévention doit être une priorité. En effet, les bonnes conditions alimentaires et sanitaires vont beaucoup contribuer à un bon état de santé de l’élevage. Il faut se rappeler que les mauvaises conditions d’élevage vont affaiblir et stresser les animaux et ainsi prédisposer ceux-ci aux maladies. Par ailleurs, l’efficacité des traitements tant préventifs que curatifs sera grandement influencée par les conditions d’élevage, car les problèmes rencontrés sont souvent multifactoriels. Ce feuillet met donc en évidence les différentes mesures préventives pouvant être utilisées dans les élevages de gibiers tels le sanglier, le wapiti, le cerf et le bison. Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques  Lire la suite

L’élevage du bison requiert de bonnes installations de contention permettant de manipuler les animaux de façon sécuritaire pour l’opérateur et les animaux eux-mêmes. Une chute à bétail (corral) pour les regrouper et bien les diriger ainsi qu’une cage de contention pour les immobiliser facilitent notamment le suivi de la santé du troupeau, tant au point de vue préventif que curatif. En effet, diverses maladies nutritionnelles, parasitaires, bactériennes et virales que l’on observe souvent chez les bovins domestiques peuvent affecter le bison. Plusieurs de ces maladies peuvent être évitées par une bonne conduite d’élevage, une vaccination et une vermifugation adéquates, tandis que d’autres ne se présenteront qu’occasionnellement dans un élevage pratiqué dans de bonnes conditions. En s’appuyant principalement sur la littérature concernant les principales maladies présentes chez les bovins et susceptibles d’affecter le bison, ce feuillet en décrit les symptômes de même que les traitements pouvant être effectués par le vétérinaire. Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques  Lire la suite

Ce feuillet présente plusieurs types d’installations possibles pour l’élevage des cervidés. Il puise ses sources dans la littérature et principalement dans les commentaires recueillis auprès des éleveurs qui ont accepté de partager le fruit de leur expérience.   Avant même d’accueillir des cervidés sur un site d’élevage, il faut : posséder l’équipement de base pour les garder sur les lieux : les clôtures; avoir un système permettant de manipuler le troupeau par petits groupes : le corral. Les individusde chaque groupe sont répartis dans des logettes avant d’être introduits un à la fois dans le système de contention; pouvoir recevoir et expédier facilement des animaux grâce à une zone de chargement. Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques    Lire la suite

Le bison, le wapiti, le cerf rouge et le sanglier sont quatre espèces de grands gibiers élevés au Québec, entre autres pour leur viande. Qu’il s’agisse d’un monogastrique comme le sanglier ou de ruminants comme le bison, le wapiti et le cerf rouge, les principes de base de la nutrition et de l’alimentation qui s’appliquent sont les mêmes. L’animal ingère une certaine quantité d’aliments composés d’eau et de matière sèche. La matière sèche fournit les nutriments : l’énergie, les protéines, les minéraux et les vitamines. Enfin, il convient de rappeler l’importance de l’eau que les animaux boivent (eau de boisson). Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques  Lire la suite

Le bison est un ruminant élevé pour sa viande. Il est reconnu pour sa grande efficacité alimentaire et sa capacité à survivre dans des conditions difficiles. Cependant, survie ne rime pas avec productivité ou rentabilité. Afin d’optimiser la reproduction et la croissance subséquente du bison, des exigences alimentaires particulières doivent être respectées. L’alimentation du bison comporte deux principes de base. Le premier principe est que le bison, en tant que ruminant, se nourrit principalement de fourrages; les grains sont ajoutés comme suppléments. Le deuxième principe est la planification de l’alimentation en fonction des périodes de perte de poids inévitables. Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques  Lire la suite

La commercialisation de la viande de grands gibiers élevés au Québec et des autres activités reliées à cet élevage (agrotourisme, chasse, etc.) se distingue de celle des productions animales conventionnelles (boeuf, porc, poulet) sur plusieurs points. La venaison est un produit haut de gamme aux caractéristiques gustatives particulières et considéré d’emblée comme un produit de niche ou un produit du terroir, les volumes produits sont plus faibles, les grands gibiers eux-mêmes exercent un attrait sur une partie de la population de par la nature même de l’élevage (semi-liberté dans un milieu naturel), etc. Cette distinction peut comporter des avantages tout en représentant un défi, car la viande de grands gibiers est en éternelle concurrence avec les autres viandes. Par ailleurs, les quatre productions (cerf rouge, wapiti, bison, sanglier) ne sont pas toutes au même niveau en ce qui concerne la commercialisation, et ce, même si l’écart tend à rétrécir. Citons, à titre d’exemple, l’existence de regroupements d’éleveurs de cerfs rouges, certains depuis plus de 10 ans, et plus récemment d’éleveurs de wapitis qui confient la commercialisation à des transformateurs/distributeurs, alors qu’il n’existe pas de tels regroupements pour le bison et le sanglier à ce jour. Quoi qu’il en soit, les éleveurs de grands gibiers du Québec doivent demeurés ouverts et à l’affût des marchés et de l’environnement dans lequel ils évoluent, sans oublier qu’une diversification des produits, des services et de la mise en marché peut être un garant de rentabilité. Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques  Lire la suite

Animaux mythiques faisant partie des légendes depuis plusieurs millénaires, les cervidés constituent, de nos jours, un élevage en forte expansion qui se voit offrir des opportunités aussi grandes que ses défis. Ce feuillet se veut un résumé des points importants (productivité, critères de qualité, transformation, mise en marché, etc.) à considérer pour rentabiliser la production de viande de cervidés et établit des liens avec la satisfaction des clients et des transformateurs. Les exemples présentés s’appliquent au cerf rouge et au wapiti, étant donné le nombre plus important d’entreprises pour ces deux espèces. Toutefois, plusieurs des concepts décrits sont transférables au cerf Sika, au daim et aux autres cervidés. Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques  Lire la suite

La vocation d’une bisonne d’élevage est de produire un bisonneau vivant chaque année. L’objectif global d’un élevage de bisons est de maximiser la récolte nette de bisonneaux, soit le nombre de kilogrammes de bisonneau sevré par femelle reproductrice en inventaire dans le troupeau, et ce, au meilleur coût possible. Dans ce contexte, chaque éleveur est appelé constamment à prendre des décisions qui lui permettront, à chaque génération, d’améliorer le potentiel génétique de son troupeau de reproducteurs. Un programme de reproduction adéquat, basé sur une série d’objectifs de reproduction et d’élevage définis au préalable, doit d’abord être mis en place. Ces objectifs deviennent autant de points de référence que tout bon gestionnaire pourra utiliser, dans le futur, pour évaluer son efficacité à prendre les décisions d’élevage qui s’imposent. Consulter la collection Les Grands Gibiers Domestiques  Lire la suite

Ce document se veut un aide-mémoire pour tous ceux qui possèdent des grands gibiers en lien avec les nouveaux Règlement sur les animaux en captivité et Règlement sur les permis de garde d’animaux en captivité qui sont entrés en vigueur le 6 septembre 2018.